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Etienne Adolphe Piot (1850 - 1910) - Origami dreams
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François GERARD (1770-1837)
François Pascal Simon Gérard, dit baron Gérard, né à Rome, est un peintre d’histoire, portraitiste et illustrateur néo-classique français. il fut l'un des principaux peintres du premier Empire et de la Restauration. Peintre de cour sous Napoléon Ier, puis Premier peintre des rois Louis XVIII et Charles X, Gérard bénéficia d'une grande renommée, non seulement française, mais aussi européenne.
Tableau peint par le baron François Gérard (1770-1837)
Madame Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, later Princesse de Bénévent
(née Noël-Catherine Verlée, 1761–1835), ca. 1808 François Gérard, called Baron Gérard (French, 1770–1837) Oil on canvas
Caroline Ferdinanda Luise of Naples and Sicily by François Gérard, 1820-37
(ca early 1820’s) France, Rijksmuseum Amsterdam
Le portrait de Madame Récamier, peint par François Gérard, est l’un des plus beaux tableaux du musée Carnavalet.
La beauté et le charme de Juliette Récamier (1777-1844), épouse d'un riche banquier, lui suscitèrent une foule d'admirateurs, parmi lesquels Chateaubriand, dont elle fut l'égérie durant plusieurs décennies et jusqu'à sa mort.
Le modèle est représenté dans une pose alanguie, allongée sur une chaise « étrusque », dans un décor qui rappelle celui d’une salle de bain antique. Elle fut l'une des premières à se meubler en style "étrusque" et à s'habiller "à la grecque", sous le Directoire, et joua de ce fait un rôle non négligeable dans la diffusion du goût pour l'Antique qui allait prévaloir sous l'Empire. Le chef-d’œuvre de Gérard, pour nous qui n’avons pas connu le modèle, semble rendre admirablement compte de sa beauté et de son charme : « La vérité ne peut aller plus loin, écrit un journaliste du temps, et elle est si séduisante pour l’œil et pour l’imagination qu’elle produit tout l’effet de l’idéal. »
Ce tableau a toujours passé pour le paradigme de l’esprit du Consulat et à ce titre, il fut – et est toujours – abondamment reproduit aussi bien par la miniature ou par l’estampe que par des interprétations en trois dimensions en terre-cuite ou en porcelaine.
Juliette offrit la toile au prince Auguste de Prusse, amoureux éconduit, en 1808. « Pendant des heures entières, lui écrivait le prince, je regarde ce portrait enchanteur, et je rêve un bonheur qui doit surpasser tout ce que l’imagination peut offrir de plus délicieux ».
À la mort d’Auguste, en 1843, la toile fut rendue à Mme Récamier.
La Ville l’acheta à ses héritiers en 1860.
A l’intérieur du musée, on surnomme plaisamment ce tableau « la Joconde de Carnavalet ».
Kochubey Viktor PavlovichHortense de Beauharnais
Eglée Auguie Ney, duchese d’Elchingen, 1st Princess de la Moskowa (1782-1856) François Pascal Simon Gérard (1770-1837) 1808 The Albany Institute of History and Art
Baronesse Mathieu de Favier, Marquise de Jaucourt by François-Pascal-Simon Gérard, called Baron Gérard (auctioned by Christie's).
Napoléonic Baroness de Favier wears a dress with a criss-cross bodice filled in with a modesty piece
1808 Charles Maurice de Talleyrand Périgord (1754–1838), Prince de Bénévent by baron François Gérard (French, Rome 1770–1837 Paris) I Metropolitan Museum of Art
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Fur Traders Descending the Missouri, 1845 George Caleb Bingham
(American, 1811–1879) Oil on canvas
29 x 36 1/2 in. (73.7 x 92.7 cm)
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Par Dona Rodrigue dans Portrait 1801 - Young Woman Drawing Marie-Denise Villers le 12 Octobre 2013 à 22:31
Sketching. Portrait 1801 - Young Woman Drawing Marie-Denise Villers
(French, Paris 1774–1821) Metropolitan Museum
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Lina Gröger (Portrait of the Artist's Foster Daughter)",
1802, by Friedrich Carl Gröger (German, 1766-1838)
Friedrich Carl Gröger
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Joshua Reynolds : Miss Mary Hickey 1770
Joshua Reynolds (16 juillet 1723 – 23 février 1792) est un peintre britannique spécialiste du portrait.
Il fut le premier président de la Royal Academy.
Sir Joshua Reynolds' oil on canvas, 'Study of a Black Man'.
Man in painting;
Francis Barber.
Né à Plympton Saint Maurice dans le Devon,
Joshua Reynolds fait son apprentissage
chez Thomas Hudson de 1740 à 1743.
Entre 1749 et 1752, il séjourne en Italie, principalement à Rome.
Lady Elizabeth Delme and Her Children by Sir Joshua Raynolds
Après son installation à Londres en 1753, il domine en Grande-Bretagne, avec son rival Thomas Gainsborough,
l'art du portrait dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Sir Joshua Reynolds - Captain Robert Orme
Il fut l'ami de Oliver Goldsmith, Edmund Burke,
David Garrick et Angelica Kauffmann.
Il fonda le Literary Club avec Samuel Johnson.
Après avoir perdu l'usage de l'œil gauche en 1789,
il meurt le 23 février 1792 à Londres.
Il est enterré dans la cathédrale Saint-Paul.
Joshua REYNOLDS
Sir Joshua Reynolds - The Ladies Waldegrave
Elizabeth, Lady Amherst, 1767
Colonel George K. H. Coussmaker,
Grenadier Guards by Joshua Reynolds 1782
Elizabeth, Countess of Warwick by Sir Joshua Reynolds,
ca 1780 England, the Frick Collection
"Lady Smith and Her Children" by Sir Joshua Reynolds (1787) at the Metropolitan Museum of Art, New York - From the curators' comments:
"Charlotte, the daughter
of Sir Francis Blake Delaval, married in 1776 Sir Robert Smith,
Member of Parliament for Colchester.
Their children are George Henry, Louisa, and Charlotte."
Portrait de Lavinia Spencer, comtesse
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Edmund Tarbell: the blue veil 1898
Edmund Charles Tarbell (26 avril 1862 – 1er août 1938) était un peintre impressionniste américain, membre du groupe des Ten American Painters.
Il est né à West Groton dans le Massachusetts dans une famille d'origine anglaise arrivée en Amérique en 1647. Son père, Edmund Whitney Tarbell, contracta la fièvre typhoïde pendant son service durant la Guerre de Sécession et mourut en 1863.
Sa mère, Mary Sophia Fernald, se remaria par la suite avec David Frank Hartford et déménagea avec lui à Milwaukee, dans le Wisconsin ; le jeune "Ned" et sa sœur Nellie Sophia restèrent à Groton, où ils furent élevés par leurs grands-parents du côté du père.
Dans sa jeunesse, Tarbell suivit les cours d'art de George H. Bartlett à la Massachusetts Normal Art School. Entre 1877 et 1880, il fut en apprentissage à la Forbes Lithographic Company à Boston. En 1879, il entra à la School of the Museum of Fine Arts de Boston, où il suivit l'enseignement d'Otto Grundmann.
La jeune femme au corsage fleuri 1911
Il était dans la même classe que deux des futurs membres des Ten American Painters : Robert Reid et Frank Weston Benson.
Reverie, 1913
En raison de son talent, Tarbell fut encouragé à poursuivre ses études en France, à Paris ; il s'y rendit et, en 1883, entra à l'Académie Julian, où il suivit les cours de Gustave Boulanger et Jules-Joseph Lefebvre.
Sa formation fut à la fois marquée par l'académisme et par le mouvement impressionniste, par les classiques du Louvre et les œuvres alors en vogue dans les galeries de la ville ; cette double influence se retrouve dans ses travaux.
En 1884 Tarbell commença un Grand Tour qui l'emmena en Italie, et, l'année suivante, en Italie encore, puis en Belgique, Allemagne et en Bretagne.
Tarbell retourna à Boston en 1886 et se fit illustrateur, professeur d'art privé, et portraitiste. En 1888, il épousa Emeline Souther, qui faisait partie d'une famille influente de Dorchester (Massachusetts).
En 1889, Tarbell prit la suite de son mentor, Otto Grundmann, à la Museum School, où il fut un professeur populaire.
Préparation du matin 1907
Parmi ses étudiants figura Margaret Fitzhugh Browne.
Son influence sur la peinture à Boston était si majeure que ses disciples étaient surnommés les Tarbellites.
Les Soeurs 1921
En 1914 il cofonda la Guild of Boston Artists, dont il fut le premier président jusqu'en 1924 ; en 1919, il devint principal de l'école d'art de la Corcoran Gallery of Art, à Washington (district de Columbia).
The Letter; Josephine at the family's island summer home
En 1891 le tableau intitulé Au verger (In the Orchard) établit sa réputation d'artiste, et est considéré comme son principal chef-d'œuvre.
Mother and Child in a Boat, 1892; Emeline with Josephine
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Portrait de femme au chapeau noir, manière de
Matthew William Peters (1741/1742-1814)
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Wyciszenie
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Thomas Sully Francis Hopkinson
Thomas Sully, né le 9 juin 1783 et mort le 5 novembre 1872, est un artiste peintre américain, principalement connu pour ses portraits, comme ceux de John Quincy Adams, le marquis de La Fayette, la reine Victoria ou de Thomas Jefferson. Entre 1801 et sa mort, il produisit 2631 peintures répertoriées.
Thomas Sully - The Torn Hat [1820]
1822 Thomas Sully (1783-1872). Elizabeth Bordley (Mrs. James Gibson).
Peintre américain (Horncastle, Grande-Bretagne,
1783 – Philadelphie 1872).
1830 Thomas Sully (1783-1872). Mrs. William Griffin.
Thomas Sully Francis Hopkinson, 1834
1842 Thomas Sully (1783-1872) Mrs. George Lingen.
Thomas Sully (1783-1872).
Né en Grande-Bretagne, il fut élevé à Charleston,
où ses parents avaient émigré.
1834 Thomas Sully (1783-1872). The Love Letter.
Portrait of George Washington (1732–1799)
Thomas Sully 1820 Minneapolis Institute of Arts
D'abord établi à New York (1806), puis à Philadelphie (1808),
il fit un séjour à Londres
(1809-10) avant de revenir aux États-Unis.
"Portrait of the Artist Painting His Wife", c. 1810, by Thomas Sully (English, 1783-1872)
Portrait de Thomas SULLY, trois mois avant sa mort.
Il y avait été l'élève du peintre américain
Gilbert Stuart et fut à Londres celui de
Benjamin West.
Thomas Sully (1783 - 1872) - Portrait of Fanny Kemble, 1834
Thomas Sully (1783-1872). Lady With A Harp.
1830 Thomas Sully (1783-1872). Mary Anne Heide Norris.
Il devint rapidement un portraitiste réputé.
Son style, de formation anglaise, rappelle celui de Lawrence.
Mrs. Klapp 1814 by American Thomas Sully (1783 - 1872)
Comme ce dernier, Sully sut donner à ses modèles de la dignité,
de l'élégance et une pointe de douce mélancolie,
qui lui assura un immense succès
(Colonel T. H. Perkins,1831, Boston, M. F. A. ;
Mère et enfant,1840, Metropolitan Museum).
Thomas Sully (1783-1872). Rebecca Gratz.
Son prestige fut énorme (près de 2 000 portraits et 400 paysages).
Il fut aussi envoyé en Angleterre en 1838 pour faire le portrait de la nouvelle reine, Victoria, commandé par la Society of the Sons of Saint George de Philadelphie
(coll. part.).
Il s'essaya avec talent à la peinture d'histoire dans un tableau destiné au Capitole de Washington : Washington franchissant le Delaware(1819 ; Boston, M. F. A., esquisse à New York, Metropolitan Museum).
Reine Victoria
Thomas Sully Francis Hopkinson
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Lu Jian Jun" peintre chinois"
Les œuvres de Lu Jian Jun sont vraiment remarquables!le rendu des tissus est impressionnant de réalisme... Quel talent...
Les photos sont prises sur son site
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John Everett Millais Peter Lely
Carolus-Duran Thomas Anchutz
Gustave Jean Jacquet Jean Jacques Henner
Emile Levy Pablo Ruiz Picasso
JOHN WILLIAM GODWARD
CONTEMPORÂNEOS
KAROL BAK
ZHAO KAILIN XUE YANQUN
Zhang Yibo Zhao Chun
HANS MAKART (1840-1884)
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VITTORIO MATEO CORCOS ALBERT LYNCH
EDWARD SAMUEL HARPER LADISLAUS BAKALOWICZ
ANTONI CABA PEDER SEVERIN KROYER
INGRES RAFFAELLE GIANNETTI
JEAN ETENNE LIOTARD FRIEDRICH VON AMERLING
JOHN ALEXANDER WHITE ROBERT REID
ROBERT SPENCER LEON BONNAT
LOUIS MICHEL VAN LOO EDWARD ROBERT HUGHES
WILLIAM MERRITT CHASE
ALBERT MOORE
AUGUSTE TOULMOUCHE
JOSHUA REYNOLDS
FEDERICO DE MADRAZO Y KUNTZ
WALTER ERNEST WEBSTER
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WILHELM PETERS
Wilhelm Peters (født 1851, død 1935) var en norsk maler.
Han gikk i årene 1867–1870 i lære hos tegneren David Arnesen og maleren J.F. Eckersberg. Han ble tidlig illustratør, og ble oppdaget av kong Karl IV som fikk ham sendt til Kungliga Konsthögskolan i Stockholm sammen med medstudenten Axel Ender. Etter studiene i Sverige reiste han til Roma, og studerte under Antonio Piccinni fra 1873 til 1876. Gjennom stipender fikk han anledning til å reise mye, både i Norge og i andre land.
Peters' debut som maler kom på Høstutstillingen i 1882. Fra 1884 til 1923 var han overlærer ved Statens håndverk- og kunstindustriskole, med dekorativt maleri som fagområde. Han bosatte seg i Son, som en av de første av en lang rekke kunstnere som har valgt å slå seg ned der. Et av hans mest kjente malerier viser Frelsesarmesoldater som går forbi Thornegården i Son.
På P.S. Krøyers kjente maleri «Kunstnerfrokost» fra 1883 sitter Peters som nummer to fra venstre
Wilhelm Otto Peters (1851—1935) was a Norwegian painter who participated in the Modern Breakthrough in Nordic painting. He associated closely with the Skagen Painters in the early 1880s and was one of the first to paint the fishermen in Brøndums store.
Born in Oslo, Peters studied drawing from 1867 to 1870 under David Arnesen and J.F. Eckersberg. Working as an illustrator, he came to the attention of Karl IV who made arrangements for him to study at the Royal Swedish Academy in Stockholm from 1871 to 1873. He then went to Rome where he studied under Antonio Piccinni from 1873 to 1876, completing his studies in 1980 after periods in Munich and Paris.
Educated as a Historicist painter inspired by Alma Tadema, he turned to folklore, exhibiting in Denmark. While in Paris in the late 1879s, he was attracted by French Naturalism. When he arrived in Skagen in 1881, he had gained international experience from his travels to Germany, Rome and Paris and became a contributor to the Modern Breakthrough in Nordic painting.
After meeting Michael and Anna Ancher during his first visit to Skagen, he returned in 1882 and 1883 when he associated with Christian Krogh, P.S. Krøyer and Eilif Peterssen. He was one of the first of the Skagen Painters to paint the fishermen in the inn, a theme which was later adopted by Michael Ancher and Krøyer.[2]
Peters was successful in having one of his paintings exhibited at Oslo's Høstutstillingen (autumn exhibition) in 1882. In 1885, he became a head teacher at the Norwegian National Academy of Craft and Art Industry, a post he retained until 1923. In addition to his paintings and etchings, he created stained-glass windows including those in St. Olav's Cathedral, Oslo
Wilhelm Peters:
Sanking av sandorm, Finnmark, 1884
© Nordnorsk Kunstmuseum
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The Illuminated Sketchbook of Stephan Schriber (1494)
Selected pages from the Spätgotisches Musterbuch des Stephan Schriber, a manuscript which appears to be some kind of sketchbook, belonging to a 15th century monk working in South-West Germany, where ideas and layouts for illuminated manuscripts were tried out and skills developed.
(All images taken from the Bayerische Staatsbibliothek found via Europeana).
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