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    Tamara de Lempicka - 1929 - Photo by Dora Kallmus (Madame D'Ora Studio) - Paris -

     

      

    Tamara de Lempicka - 1929 -

    Photo by Dora Kallmus

    (Madame D'Ora Studio) - Paris -

     

     

    Tamara de Lempicka (1898 – 1980), born Maria Górska in Warsaw, Poland, was a Polish Art Deco painter and "the first woman artist to be a glamour star".

     

     

    Tamara de Lempicka, née le 16 mai 1898, à Varsovie, en Pologne, et décédée le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique, est sans doute la peintre la plus célèbre de la période Art déco.

      

    Fille d'avocat, elle évolue dans les milieux aisés entre l'Italie où elle découvre l'art, la Russie et les grandes villes d'eaux européennes.

      

    En 1914, elle s'installe à Saint-Pétersbourg pour apprendre la peinture.

     

    Elle s'éprend de Tadeusz Lempicki, un jeune avocat russe qu'elle épouse en 1916.

      

    La Révolution d'octobre bouleverse sa vie : son mari supporte mal d'avoir perdu sa vie privilégiée, et après un séjour à Copenhague elle décide, en 1918, de venir à Paris et d'entamer une carrière de peintre.

     

    Tamara de Lempicka, née le 16 mai 1898, à Varsovie, en Pologne, et décédée le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique, est sans doute la peintre la plus célèbre de la période Art déco.  Fille d'avocat, elle évolue dans les milieux aisés entre l'Italie où elle découvre l'art, la Russie et les grandes villes d'eaux européennes. En 1914, elle s'installe à Saint-Pétersbourg pour apprendre la peinture.

    A l'Académie de la Grande Chaumière, à partir de 1920 elle fréquente les ateliers de Maurice Denis et d'André Lhote.

      

      

      

    Passionnée par le cubisme autant que par la peinture d'Ingres ou le maniérisme de Pontormo, très influencée par André Lhote, l'artiste trouve son style, à la fois décoratif, élégant et sculptural, dès 1922, date à laquelle elle présente un portrait au salon d'Automne.

    Artist Tamara de Lempicka by Madame D'Ora

      

      

    En 1927, avec " Kisette au salon", elle obtient le premier prix à l'exposition internationale de Bordeaux, qui conforte son succés naissant dans les cercles élitistes.

      

      

      

      

    Au sein de cette riche société, elle a réalisé des portraits comme celui du Marquis d'Afflitto ou de Sommi en 1925, ainsi que celui du Prince Eristoff, du Comte Fürstenberg ou encore du Grand-Duc Gabriel en 1927.

     

    Tamara de Lempicka

    Mais c'est son autoportrait " Tamara dans la Bugati verte " en 1925 qui matérialise son style et l'incarne comme l'artiste de la modernité.

     

      

    Lartigue. La chambre de Tamara rue G. de Maupassant

     

    1928
    Epreuve photo N&B sur papier

     
    Association des Amis de J.H. Lartigue

     

     

     

    Cet intéressant document permet de voir comment Lempicka mettait en place sa composition au fusain avant d’en commencer l’exécution. Derrière le chevalet, on reconnait "Le modèle" (B. 63) et, au dessus du lit, le "portrait de la duchesse de La Salle" (B. 72). (Copyright Association des Amis de J.H. Lartigue

     

      

     

      

     

     

      

    Elle immortalise la bohème parisienne de son temps :

    André Gide, Suzy Solidor, et fréquente Paul Poiret ou encore Georges Braque.

     

    // Tamara de Lempicka (She looks just like the people she paints!)

      

    Mais sa célébrité vient aussi des nus provocants qu'elle produit. Elle frise régulièrement le scandale avec des personnages féminins aux poses provocantes et ses ambiances parfois équivoques, tels que " La Belle Rafaëla " ou " Les deux amies" en 1927.

      

      

    Elle divorce en 1928 pour se remarier, en 1933, avec un baron hongrois Raoul Kuffner.

      

      

    La montée du nazisme la préoccupe beaucoup, et elle décide de quitter l'Europe pour s'installer aux Etats-Unis. Cet éloignement, ce nouveau changement dans sa vie, et l'Art déco passant de mode, contribuent à ce que son œeuvre tombe dans l'oubli jusque dans les années 1970, où l'Art déco revient en grâce, et fasse ressurgir son nom.

      

      

    Vivant entre New York, Hollywood et le Mexique, elle meurt à Cuernavaca en 1980. Tamara de Lempicka aura avant tout marqué l'histoire de la peinture par une oeuvre proche du cubisme très particulière et totalement reconnaissable entre toutes, " Ne pas copier.

      

    Créer un nouveau style, des couleurs lumineuses et brillantes ... Je veux qu'au milieu de cent autres, on remarque une de mes oeuvres au premier coup d'oeil »(LMDA)

     

     

     

     

     RUE GUY DE MAUPASSANT

      

    In 1925, Lempicka took up residence at 5 rue Guy de Maupassant in Paris (16e arrondissement). Her decor for this studio-apartment was imbued with a certain dramatic effect.
     

      

    A photograph by Jacques-Henri Lartigue gives us one view of the bedroom (see "Jacques-Henri LARTIGUE"), where, under the painting "Portrait of the Duchess of La Salle" (B.72), the carved lacquer bed decor - based on a sketch by Lempicka of a sapphic scene - boldly strikes the eye. A closet and stool (not to be seen in this photo) existed in the same carved lacquer scheme. The furniture has since disappeared.

     

     

     

     

     

     

    Stifter. The place Wagram studio I

     

     

     

     

    Stifter. The place Wagram studio I

     

    http://www.en.lempickacatalogue.com:

    86/4daction/NomTeme/%3C%3E91/xx00001

    FIFTY%20SEVENTH%20STREET 

     

     

     

     

     

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    Tamara de LEMPICKA Dates : 1898 - 1980 Lieu de naissance : Moscow Tamara de Lempicka, est née Maria Gorska le 16 mai 1898, à Moscow.. Elle est issue d’une famille aisée et cultivée. Elle s’intéresse dès son plus jeune âge à l’art et découvre en Italie les maîtres de la Renaissance

    Tamara Gurwick-Gorska, dite , Tamara de Lempicka, la peintre la plus emblématique des années "Art Déco"et du Maniérisme.   

      

    Tamara occupe une place à part dans l'art du XXe siècle : malgré une production peu abondante (à peine 150 tableaux dans sa meilleure période qu'on situe entre 1925 et 1935), ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd'hui lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres.

      

      

    Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels, une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes, des couleurs vives, mais en nombre limité, mises en valeur par des fonds gris ou noirs.

     

     

    Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situent parfaitement dans leur temps, les portraits de Tamara de Lempicka ne négligent aucune des magistrales recettes de composition qui furent élaborées par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne..."

     

      

    Lors d’un voyage en Russie, elle rencontre le comte Tadeusz Lempicki. Ils se marient en 1916 à Petrograd. A la révolution d’Octobre, le couple quitte la Russie et s’installe à Paris avec leur fille Kizette.

     

     

    Tamara de Lempicka suit alors des cours de peinture à l’Académie Ranson avec Maurice Denis et à la Grande Chaumière avec André Lhote.  

     

     

     

     

     Emancipée, avide de réussite et de fortune, elle mène une vie faite de séances de peinture, de soirées mondaines et de voyages.

     

    Elle réalise alors de nombreux portraits - la Duchesse de la Salle (1925),

    Suzy Solidor (1933) ou son Autoportrait à la Buggati verte,

    appelé aussi Mon portrait (1929) – qui illustrent ses fréquentations et sa manière de vivre.  

      

     

     

      

    En 1928, Tamara et Tadeusz divorcent ; en 1933, elle se marie avec le baron Raoul Kuffner. Tous deux émigrent aux Etats-Unis. Elle continue à peindre mais abandonne le portrait mondain et se tourne vers desujets du quotidien à caractère rustique et vers les natures mortes. Le succès n’est plus au rendez-vous.la peintre russe la plus célèbre de la période Art déco.

     

     

     

     

    Brillante, belle et audacieuse, inclassable, mystérieuse et contradictoire, elle a fait de sa vie une succession de mises en scène très élaborées. Elle prône le luxe et la modernité. Elle aimait avant tout les femmes mais elle s'est mariée deux fois.

     

    .   Tamara de Lempicka, est morte le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Passée cette porte, on entrait dans un lieu qui était la quintessence du “style moderne”, comme cela se disait alors. Les meilleurs éléments de la prestigieuse “Union des Artistes Modernes” ont collaboré à la réalistion de cet atelier; en premier lieu Robert Mallet-Stevens, l’architecte de l’immeuble, mais également René Herbst, Djo-Bourjois, les frères Martel et, bien sûr, la coordinatrice de l’ensemble, Adrienne Gorska, sœur de Tamara.

     

     

    via: http://www.artistas-americanos.com/biography/images/tdlstud[1].jpg

    Son atelier, là j'adore

     

      

      

    A l'apogée de sa carrière, Tamara s'installe dans un nouvel appartement-atelier. Conseillée sans doute par sa sœur architecte Adrienne Gorska, elle a choisi un immeuble ultra moderne, signé Mallet-Stevens, qui vient d'être construit près du quartier Montparnasse, haut lieu de la vie artistique à Paris.

      

      

    La complémentarité entre l'artiste adulée pour son art, sa beauté, son élégance et un décor où sont rassemblés les meilleurs créateurs de son époque, est immédiatement salué dans la presse par de nombreux articles.

     

    De brillantes réceptions rassemblent les parisiens dont on parle. 

      

      

      

    La sœur de Tamara, était architecte membre de l'U.A.M. (Union des Architectes Modernes) dont faisait également partie Robert Mallet-Stevens qui construisit l'immeuble de la rue Méchain où Tamara installa son atelier en 1929. Adrienne épousa Pierre de Montaut, autre membre de l'U.A.M. et tous les deux se spécialisèrent dans la conception de salles de cinéma.

      

    C'est elle qui prit en charge la décoration de l'atelier de Tamara pour lequel elle créa quelques meubles en métal chromé.

     

    Ils s'harmonisaient parfaitement avec ceux de ses confrères Djo-Bourgeois,

    René Herbst et bien sûr Mallet-Stevens qui complétaient l'ameublement.

    Adrienne (Ada de Montaut) est décédée en 1969.

    Adresse: 7 rue Méchain Paris 14e. Un long article intitulé "Architectures modernes; L'atelier de Mme de Lempicka" paru en Janvier 1931 dans "Mobilier et Décoration" décrit l'atelier en détail (10 pages, 15 photos par Gravot).


    L'ambiance de l'atelier était parfaitement définie dans la légende, rédigée en style télégraphique, accompagnant la première photo:

     

    "Hall d'entrée, par Adrienne Gorska. Porte fer et tubes chromés harmonie gris froid et métal". Le ton était donné; cet atelier était une épure...

     

    (lire l'article complet en Bibliographie, voir "Remon") Un article de Darnetal paru dans "Notre Temps" de décembre 1932, restitue bien l'atmosphère qui régnait dans les fêtes que donnait Tamara dans son atelier flambant neuf construit par l'architecte Robert Mallet-Stevens en 1929:

     

    "La Santé (il s'agit de la prison. NDLR) s’élève - masse triste et sombre - dans ce quartier où la guillotine mit un peu son humour.

     

    A côté, un immeuble moderne se dresse gai et un peu farouche. Des voitures s’arrêtent; de jolies femmes et des garçons descendent et s’élèvent jusqu’au studio du peintre Tamara de Lempicka qui donne un cocktail, sa grâce, son sourire et quelques autres attractions. De ce magnifique studio gris et platiné, telle une chevelure moderne, se dégage une atmosphère d’intimité et de talent. Les portraits peints par la maîtresse de maison, accrochés ou posés sur les murs, accrochent les regards et crochètent les coeurs. Tamara de Lempicka a un talent bien à elle, spécial, personnel. Elle plonge au fond de ses modèles, tel un plongeur, dans la mer, à la recherche de perles rares, et elle en retire perles, pierres, émeraudes... ou crapauds!

     

    Ce soir, il n’est question que de brillants.

     

    L’assemblée sympathique et houleuse est d’une élégance complète et rare, la plupart des femmes sont jolies (prenant en cela exemple sur leur hôtesse). Quelques hommes sont intelligents et remplis de talent. La comtesse de Saint-Quentin mange des petits-fours que lui passe l’artiste photographe Lipmtzki, cependant que le docteur Boucard lui affirme qu’il faut remplacer toute nourriture par quelques pastilles de Lactéol! La très belle Ira Perrot parle de voyages, Kisling de choses plus ou moins "salées". Campana accoudé à la barre du bar jette ses manches en arrière dans uns geste prétorien et commence une plaidoirie se croyant au Palais.

      

      

      

    André Lhote s’exprime par aphorismes, Michel Georges-Michel qui sort de sa <<bohême>> retrouve le monde avec plaisir.

    Marcel Rochas couve sa femme, le peintre Rina, d’un regard admiratif et attendri; Rolf de Maré pense à ses ballets suédois en regardant les ballets hindous ;

    Suzy  Solidor pense à son dancing, etc., etc...

      

      

    Et Mme Nyoka Inyoka (DOC.87), entourée de son ballet, mime d’étranges et délicates figures.

    Sur des rythmes anciens, elle évoque et reconstitue l’Inde antique... et ce sont des danses comme des incantations et de la musique comme un déchirement du coeur.

      

      

    Dans un coin, un curieux et passionnant portrait de Mme Ira Perrot nous rend sa physionomie inquiétante et "Antinéasque" et plus loin, Tamara de Lempicka, contemple, ravie, son oeuvre et ses oeuvres." Vingt-sept ans plus tard, dans le numéro de Noël 1956 de la revue "Art & Décoration",

    "Tamara de Lempicka; ou la femme installée par le peintre",

    Boris J. Lacroix décrivait le changement radical que Tamara de Lempicka venait de faire subir à la décoration de son atelier de la rue Méchain.

      

      

    Il y parlait de "ce jeu du mauvais goût exquis" et du "goût du paradoxe"

    qui l'avait inspirée.

      

     

      

    C'est bien le moins qu'on pouvait dire face aux anachroniques stucs vénitiens qui, tout à coup, envahissaient l'espace épuré de Mallet-Stevens. (Cf. Bibliographie, voir Lacroix).

     

     

     

     

     

     

     

    Tamara de Lempicka occupe une place à part
    dans l'art du XXe siècle


    malgré une production peu abondante
    (à peine 150 tableaux dans sa meilleure période qu'on situe entre 1925 et 1935),
    ce sont ses peintures qui sont choisies le plus souvent aujourd'hui
    lorsqu'il s'agit d'illustrer les années folles de l'entre-deux-guerres.

    Ses modèles se caractérisent par des regards interrogateurs et sensuels,
    une bouche pulpeuse pour les femmes et pincée pour les hommes,
    des couleurs vives, mais en nombre limité,
    mises en valeur par des fonds gris ou noirs.
     
     
     
    Derrière une stylisation néo-cubiste, qui les situent parfaitement dans leur temps,
    les portraits de Tamara de Lempicka ne négligent aucune
    des magistrales recettes de composition qui furent élaborées
    par ses grands prédécesseurs de la Renaissance italienne.
     

     

     

     

     


     

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    Tamara de LEMPICKA

    Années folles et art déco

    Tamara de LempickaTamara de Lempicka est née le 16 mai 1898, à à Moscou et non à Varsovie, en Pologne.
    Issue d'un milieu aisé, elle s'instale en 1914 à Saint-Pétersbourg pour se former à la peinture.

     

    C'est là-bas qu'elle rencontrera Tadeusz Lempicki, un avocat russe qu'elle épouse en 1916. La Révolution d'octobre fera fuir le couple qui s'installera à Paris, mais Tadeusz supporte mal d'avoir perdu sa vie privilégiée et refuse de travailler. Le couple bat de l'aile.

      

    Tamara de Lempicka décide d'entamer une carrière de peintre.
     

      

    En 1920, à l'Académie de la Grande Chaumière, elle reçoit l'enseignement de Maurice Denis et d'André Lhote.

     

     

     

    Autant passionnée par le cubisme que par la peinture d'Ingres ou encore celle de Pontormo dont elle part copier

     

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    les œuvres en Italie, Lempicka a son style à elle, tout à la fois décoratif, élégant et sculptural, dès 1922, date à laquelle elle présente un portrait au salon d'Automne.

     

     

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    Le succès ne tarde pas et le peintre immortalise la bohème parisienne de son temps : André Gide, Suzy Solidor, de riches industriels, des princes russes émigrés, etc.

      

     

      

    Lempicka fréquente Paul Poiret ou encore Georges Braque.
    Les peintures de Tamara de Lempicka frisent régulièrement le scandale :

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    ses personnages féminins sont souvent garçonnes, ses ambiances parfois équivoques.

     

      

    Elle divorce en 1928 pour se remarier, en 1933, avec le Baron Raoul Kuffner (décédé en 1960).

     

    Ce nouveau changement de statut social lui fera perdre de vue le monde artistique de l'époque autant à titre personnel que dans son œuvre.

     

      

      

    Fuyant la guerre, Lempicka s'installe aux Etats-Unis.

     

    Après-guerre, son œuvre tombe dans un profond oubli jusqu'à ce que la mode Art déco, revenue en vogue dans les années 1970, fasse ressurgir son nom.

     

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    Tamara de Lempicka n'est sans doute pas une artiste majeure du XXe siècle : sa production pléthorique et par trop homogène manque de chefs d'œuvre, elle aura avant tout marqué l'histoire de la peinture par un style reconnaissable entre tous, charmant, un peu lisse et totalement en phase avec ces années folles de l'entre-deux-guerres qui se sont plues, par elle, à se regarder vivre.
    Tamara de Lempicka décède le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique.

      

     

        Site de Tamarahttp://www.delempicka.org/ 

      

      

    Oeuvres de LEMPICKA

    Calla LiliesAmethysteKizette au balconAdam et EvePortrait du Dr BoucardJeunes fillesJeune fille endormieLe ModelePrintempsMère SupérieurePortrait de Marjorie FerrySummerAutoportrait à la voiture vertePortrait de la duchesse de SalleJeune fille aux gantsLa Dormeuse

    CLIQUER SUR l'IMAGE pour agrandir LE TABLEAU

      

     

     

     

     

    Photo

     

     

    Portrait of Marquis Sommi, 1925, Tamara de Lempicka

     

     

     

     

     

     

     

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