La voix de son Maitre 1899

  

  

  

  

 

 

 

Francis James Barraud était un peintre britannique. Son œuvre la plus célèbre, His Master's Voice, représentant un chien qui écoute un gramophone, est l'un des logotypes les plus connus de l'industrie de la musique. 

 

So, farewell HMV. Without stating the obvious, for those too young to know, it was originally His Masters Voice; hence the painting of Nipper listening to the cutting edge technology with which the brand was associated.

  

The original painting was by Francis Barraud in 1898.

 

 

  

  

‘According to contemporary Gramophone Company publicity material, the dog, a fox terrier called Nipper, had originally belonged to Barraud’s brother Mark. When Mark Barraud died, Francis inherited Nipper, along with a cylinder phonograph and a number of recordings of Mark’s voice. Francis noted the peculiar interest that the dog took in the recorded voice of his late master emanating from the trumpet, and conceived the idea of committing the scene to canvas.

  

  

  

 

  

  

In early 1899, Francis Barraud applied for copyright of the original painting using the descriptive working title Dog looking at and listening to a Phonograph. He was unable to sell the work to any cylinder phonograph company but the Gramophone Company purchased it later that year, under the condition that Barraud modify it to show one of their disc machines.’ So, like a shaggy dog story, the dog eventually became adopted by HMV. (Source:Wiki)

 

 

 

Do we see, in the evolution of company and design, an archetypal story of decline and fall for a once great brand? They started off making things and were a major record label, radio manufacturer etc. Then they stopped making things and started selling things. Things that became less and less relevant as time went by. In the meantime, Nipper became a less characterful mascot (I seem to recall there was even a period when he had his record player taken away) as the retailer moved beyond music, and music moved into downloads. The writing was on the wall; a once proud brand now a hostage to fortune.

Sad – he was one of the more memorable, idiosyncratic and charming identities of the last hundred years. I hope all is not lost. Like the Playboy brand which is highly prized for its logo but not its products (see story here), perhaps the design will outlive the company. After all, they were not the original owner. I hope so. It’s a terrible day for the folk that worked in the stores. And a slightly sad one for anyone who hates to see a lovely design disappear from the high street.

 

 

 

http://www.jkrglobal.com/?s=original+source

 

 

Name:            Nipper

Born:               1884

Resident:        London

Occupation:   Posing for paintings, attacking Gramophones, looking for His  

Masters Voice

     Loves : Being a world famous icon, treats

Francis Barraud’s painting of a fox terrier to an early gramophone remains one of the oldest and best-known of trademarks and records logos. It was a brilliantly conceived piece of commercial art that has become one of the worlds most recognised trade marks.

Nipper was a stray dog found by Mark Barraud (Francis Barraud’s brother) in 1884. He was called Nipper because he a habit of nipping at the back legs of any visitors. Nipper became Francis’ pet three years later when Mark died.  The iconic ‘His Master’s Voice’ painting was made some time before 1899, although in the original Nipper was listening to an Edison phonograph.

On May 31, 1899, Barraud went to the Maiden Lane offices of The Gramophone Company with the intention of borrowing a brass horn to replace the original black horn on the painting. Manager William Barry Owen suggested that if the artist replaced the machine with a Berliner disc gramophone the Company would buy the painting.  Since then Nipper has been the face of a huge global brand the ‘His Master’s Voice’ painting is one of the most recognised trademarks in the world.

http://www.dailycabot.com/category/histoire/ 

 

 

 

 

 

William McGregor Paxton, "The House Maid," 1910

 

 

 

William McGregor Paxton
'Tea Leaves', 1909

 

 

 

 

 

 

 

 

  

  

 

William McGregor Paxton

  

  

The yellow jacket 1907

  

    

  

  

  

  

  

  

  

  Enfant dans la lumière du soleil, 1908 (via : arte-historia.com)

  

    

  

The studio 1905

 

 

Joli fille ou Paresse (via : wikipedia)

 

 

 

La russe, 1913 (via : wikipedia)

 

 

 

 

 

 

 

Quittant le studio, 1912 (via : arte-historia.com)

 

 

Cristal, 1900 (via : arte-historia.com)

 

 

 

La figurine, 1921 (via : arte-historia.com)

 

 

 

La lettre, 1908 (via : arte-historia.com)

 

 

 

Mrs Paxton, 1896 (via : arte-historia.com)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le peintre dans le jardin

 

 

 

Carl Spitzweg est un poète et peintre allemand romantique, né le 5 février 1808 à Unterpfaffenhoffen, quartier de Germering près de Munich (Bavière), et mort le 23 septembre 1885 à Munich. Il est considéré comme l'un des représentants majeurs de la période Biedermeier.

 

 

 

La mère de Carl Spitzweg, Franziska Spitzweg (née Schmutzer), était la fille d'un riche commerçant de fruits de la région de Munich. Son père, Simon Spitzweg, était du village d'Unterpfaffenhoffen, près de la ville de Fürstenfeldbruck, en Haute-Bavière. Carl Spitzweg avait deux frères. L'aîné Simon devait reprendre l'entreprise paternelle, Carl devait devenir pharmacien et le plus jeune Edouard, devait devenir médecin.

 

 

 

 

A l'âge de 11 ans, Carl perdit sa mère. Le père épousa encore la même année la sœur de son épouse défunte, Maria Kreszenz. Carl Spitzweg a terminé ses études secondaires en 1825, après avoir reçu de nombreux prix.

 

Passage du Dimanche 1841

 

Il avait suivi des études de pharmacie, de botanique et de chimie à l'université de Munich et s'installa comme pharmacien en 1832. Peignant tout d'abord par passion pendant son temps libre il décida d'en faire son activité principale à partir de 1833.

  

  

  

  

Ses tableaux s'inspirent de la vie du petit peuple, mais il peint également des paysages. Il s'était depuis 1847 lié d'amitié au peintre Moritz von Schwind qu'il admirait.

 

 

 

Il collabora entre 1843 à 1853 au journal Fliegenden Blätter en tant qu'humoriste et caricaturiste.

 

Autoportrait 1840

 

Carl Spitzweg parlait plusieurs langues et voyageait beaucoup, le plus souvent à pied. Il visita Paris, Londres, Prague, l'Italie et la Belgique. En 1865 pour raison de santé il cessa ses voyages et resta à Munich. Il est mort en septembre 1885 des suites d'une attaque cérébrale.

  

Carl Spitzweg est inhumé dans l'ancien cimetière du Sud de Munich

 

 

 

1880 - Art et Science

 

 

 

 

 

1850

 

  

Le pauvre poete 1839

 

 

Voici une œuvre que l’on connaît bien peu en France mais qui est, par delà le Rhin, presque aussi renommée que la Joconde de Vinci. Le pauvre poète (Der arme Poet) de Carl Spitzweg est une œuvre très importante dans l’histoire de l’art allemand… Commençons donc ici par une petite rétrospective afin de comprendre pourquoi.

 

Au début du 19^ème siècle, l’Europe est marquée par le romantisme allemand. Les œuvres de peinture de l’époque mettent l’homme au centre des compositions, en harmonie avec lui-même et avec la nature ou réfugié dans un monde de sentiments intérieurs.

  

  

  

Ce mouvement de liberté individuelle connaît un coup d’arrêt avec le congrès de Karlsbad de 1819. Lors de ce congrès, les représentants des états allemands décidèrent de mesures répressives (censure, contrôles) afin d’endiguer les risques de révolution.

  

Commence alors le Biedermeier. La critique se fait plus insidieuse, moins frontale. L’œuvre de Carl Spitzweg est symbolique de cette contestation fine et détournée.

 

 

 

Derrière des œuvres de genre apparemment anodines, Spitzweg délivre un discours souvent très satirique sur ses contemporains. Avec Der arme Poet, Spitzweg détourne la figure jusqu’alors très idéalisée par les romantiques du pauvre poète, de l’intellectuel reclus.

 

 

Ce tableau nous dévoile l’intérieur d’une petite mansarde. Une petite cage de quelques mètres carrés dans laquelle habite un excentrique, un farfelu. Le « poète » en question se tient allongé sur un pauvre matelas. Il tient dans sa bouche une plume et regarde sa main. On a d’abord cru que l’homme tenait ainsi sa main pour déclamer des vers.

  

De nouvelles analyses expliquent que l’ermite est en fait en train d’écraser entre ses doigts une puce.

  

Le parapluie suspendu au plafond et l’emmitouflement du personnage nous indiquent que la pièce n’est pas chauffée et mal isolée. Certains éléments accentuent le ridicule du personnage : un pince-nez, un bonnet de nuit et des pages de poésie placées dans le poêle pour être brûlées.

 

 

Daumier, Poète dans la mansarde, 1842

 

Dans son ouvrage Daumier et l’Allemagne, Werner Hofmann compare la France et l’Allemagne au travers des œuvres de Daumier et Spitzweg sur le même thème du pauvre poète, qui était alors très souvent repris dans l’Art de l’ouest-européen.

  

L’analyste explique que les deux œuvres sont conformes au cliché énoncé par Stendhal qui veut que « la vie des allemands est contemplative et imaginaire, celle des français est toute de vanité et d’activités ».

  

  

En comparant Der arme Poet de Spitzweg et Poète dans la mansarde de Daumier, Hofmann explique que « le poète allemand, à l’aise dans son monde pittoresque, ne se concentre que sur la puce qu’il tient entre ses doigts. Le Français, un mélancolique furieux, contemple avec méfiance le plafond ; le texte qu’il rédige est à coup sûr un pamphlet, un libelle enflammé ».

 

 

 

 

Le pauvre poète de Spitzweg prend à contre-pieds le stéréotype romantique de l’homme conscient de sa petitesse, face à une nature toute puissante. Le personnage de Spitzweg est un peu l’anti-héros, le contre-modèle du voyageur de Friedrich.

  

  

  

  

A la place de ce rêveur grandiose au cœur d’une nature infinie, Spitzweg met en scène un individu grotesque, concentré sur le minuscule, et dont la seule perspective paysagère est le toit enneigé de la maison d’en face, qu’il ne peut apercevoir qu’au travers sa toute petite fenêtre.

http://scribouillart.wordpress.com/2008/08/26/le-pauvre-poete-carl-spitzweg/

 

 

 

  

  

  

 

 

 

1855 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lettre de Papa

  

  

 

 

 

 

 

Joaquín Sorolla y Bastida, Amalia Romea, Senora de Laiglesia, 1897

  

  

Joaquín Sorolla y Bastida (en castillan) ou Joaquim Sorolla i Bastida (en catalan), né le 27 février 1863 et mort le 10 août 1923, est un peintre espagnol.

 

Joaquín SOROLLA Y BASTIDA 1908

 

 

Sorolla est connu pour ses scènes de genre alliant réalisme et lyrisme ainsi que pour ses scènes de plage et sa maîtrise de la couleur blanche dont il use avec brio dans de nombreux tableaux.

 

  

  

Promenade au bord de la mer (Paseo a orillas del mar), 1909. 

 

Porrait de Mr TAFT, président des Etats Unis

 

 

Sorolla est né à Valence, en Espagne ; il est le fils aîné d'un marchand, également nommé Joaquín Sorolla, et de son épouse, Concepción Bastida.

  

  

 

  

  

Sa sœur Concha naît un an plus tard. En août 1865, leurs deux parents meurent (lors d'une épidemie de choléra) et les enfants sont pris en charge par leur tante maternelle et leur oncle. Sorolla fut d'abord formé dans sa ville natale par Francisco Pradilla y Ortiz, puis en Italie et à Paris.

  

Ayamonte

  

  

Là, il subit l'influence des impressionnistes. À 18 ans, il s'établit à Madrid, étudiant les chefs d'œuvre du Musée du Prado. À 22 ans, Sorolla obtint une bourse pour étudier la peinture à Rome. Il y développa son style et sa technique.

 

 

traite des blanches

 

 

De retour en Espagne, sa palette s'éclaircit avec les plages méditerranéennes, les ébats d'enfants, les nus, les pêcheurs valenciens.

  

  

  

Il obtint son premier succès important avec Une autre Marguerite, qui lui valut la médaille d'or à Madrid et fut vendu à la galerie Saint-Louis. Il devint vite très connu et le meneur incontesté de l'école moderne espagnole de peinture.

  

  

  

  

Son tableau Le retour des pécheurs fut admiré au salon de Paris et acquis par l'État pour le musée du Luxembourg.

  

  

Jeunes à la plage

  

Il remporta une médaille d'honneur à l'exposition universelle de Paris en 1900 et fut nommé chevalier de la légion d'honneur. Une exposition de ses œuvres — paysages, portraits — à la galerie Georges Petit à Paris en 1906 lui apporta une gloire encore plus grande et lui valut de devenir officier de la légion d'honneur.

  

  

Maman et son Bébé

  

  

En 1933, Paul Getty acheta dix de ses tableaux représentant des scènes de plages impressionnistes.

 

 

  

  

  

  

À la fin de sa vie, il réalise de grandes compositions pour décorer l'Hispanic Society de New York, évoquant les jeux et les costumes des régions espagnoles.

  

  

  

En 1920, une attaque le laisse paralysé, et Sorolla meurt en 1923 à Madrid.

 

Après sa mort, sa veuve fit don de beaucoup de ses tableaux à l'État espagnol.

 

Ces peintures forment maintenant le fond du musée Sorolla situé dans la maison de l'artiste à Madrid.

 

  

  

Œuvres

On trouve également ses tableaux à la Galerie nationale de Berlin, dans les musées de Venise et Madrid et dans de nombreuses collections privées en Europe et en Amérique, en particulier à Buenos Aires. Il peignit des portraits du roi Alphonse et de la reine Victoria Eugénie d'Espagne.

(liste non exhaustive)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- Portrait of Miss Isabella Nairn

 

 

 

 

Annabel

 

1864-1937, peintre portraitiste et décorateur. Harrington Mann étudie à la Slade School avec le peintre et graveur français, Alphonse Legros, puis à Paris, avec Boulanger et Jules Lefebvre.

  

 

 

 

A Family Portrait Of Four Children

 

Young Girl In A Blue Dress

 

 

 

Annabel And Her Toys

 

Boy With A Red Ball

 

 

 

A Girl With Red Hair

 

 

 

Eton Boy

 

 

 

Portrait Of A Young Girl

 

 

 

The Study Hour

 

 

 

 

 

The Fairy Tale

 

 

 

 

The Violet Sweater

 

 

 

 

A Young Harrovian

 

 

 

 

 

Dorothy Duveen

 

 

Erminie Pamela Sharpe At 6 Years Old (Artist’s Niece)

 

 

Study Of A Young Girl

 

 

 

Red Ribbons

 

 

Mona and Kathleen

 

 

William, Frances and Michael Black

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Francis Howard

 

 

 

 

Alice Marjorie Cunningham (d.1943), Wife of Augustus Kennedy-Erskine, 18th of Dun, with Their Daughters Marjorie and Millicent

 

 

 

 

 

A Young Woman  1891

 

 

Alexander Fergusson

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Biographie

Tissot est né à Nantes, France.

Dans les environ de 1856, il commença à étudier à l' École des Beaux-Arts à Paris par Hippolyte Flandrin et Lamotheet se lie d'amitié avec Edgar Degas

et James Abbott McNeill Whistler.

 

 

 

  

Tissot expose au Salon de Paris pour la première fois en 1859, deux portraits de femmes et trois scènes en costume médiéval de Faust. Ce dernier montre l'influence du peintre belge Henri Leys (Jan août Hendrik Leys), dont il avait rencontré à Anvers en 1859.

  

  

Cependant, dans le milieu des années 1860, Tissot a commencé à se concentrer sur représentant souvent des femmes, bien que pas toujours montré à la robe moderne. Comme ses contemporains tels que

Alfred Stevens et Claude Monet, Tissot a également exploré japonisme, y compris les objets japonais et les costumes dans ses photos. Un portrait de Tissot de Degas, de ces années (Metropolitan Museum of Art, New York), montre qu'avec un écran japonais accroché au mur.^[

 

 

Tissot a combattu dans la Guerre Franco-Prusse puis dans la défense de la Commune de Paris. Parce que les associations politiques causées par ce dernier, ou tout simplement en raison de meilleures possibilités, il quitte Paris pour Londres en 1871.

  

  

  

Ayant déjà travaillé comme un caricaturiste pour Thomas Gibson Bowles, le propriétaire du magazine Vanity Fair, ainsi qu'il exposa à la Royal Academy, Tissot est arrivé avec des connexions sociales et artistiques établies à Londres.

  James Tissot
Le Bal, 1883-1885, musée d’Orsay

  

Il a rapidement développé sa réputation comme un peintre de femmes élégamment habillées dans des scènes de la vie à la mode.

 

 

 

AUTO PORTRAIT

 

 

En 1874, Degas lui a demandé de se joindre à eux à la première exposition organisée par les artistes, nous appelons les impressionnistes, mais refusa de Tissot. Il continua d'être proche de l'artistes cependant. Berthe Morisot lui rendit visite à Londres en 1874, et il se rendit à Venise avec Edouard Manet à vers la même époque.

 

 

  

Il voit aussi Whistler régulièrement. 1875-6, Tissot a rencontré une divorcée irlandaise nommée Mme Kathleen Newton, qui devient la compagne et le modèle fréquent du peintre. Elle a emménagé dans le ménage de Tissot Wood de St. John's, Londres, 1876 et y resta jusqu'à sa mort dans les derniers stades de la consommation en 1882.

 

 

 

 

Après la mort de Kathleen Newton, Tissot revient à Paris. Une grande exposition de son œuvre a eu lieu en 1885 à la Galerie Sedelmeyer, où il montre 15 grands tableaux dans une série intitulée La Femme à Paris.

  

Les scènes de genre, des femmes à la mode, qu'il a peint à Londres, à la différence de ces peintures représentent les différents types et catégories de femmes, dans leurs contextes professionnels et sociaux.

  

Les œuvres suggèrent l'influence des estampes japonaises dans leur utilisation des angles inattendus et la charpente.

 

 

 

Pendant le milieu des années 1880, Tissot a connu une révélation religieuse qui a amené à passer le reste de sa vie, illustrant la Bible. En 1886, 1889 et 1896 pour faire des études sur le paysage et le peuple, il se rend au Moyen-Orient.  

  

Ils ont été publiés dans une édition française en 1896–7 et dans un anglais en 1897-8. Tissot a passé les dernières années de sa vie à travailler sur des peintures de sujets de l'ancien Testament (Jewish Museum, New York).  

  

Bien que jamais, il a terminé la série, en 1901, il expose 80 d'entre eux à Paris et gravures après eux ont été publiés en 1904. Tissot meurt dans le département du Doubs en France en 1902, alors qu'il vivait dans le Château de Buillon, dont il avait hérité de son père en 1888.^]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ETUDE

 

 

 

tableau definitif " la mauvaise nouvelle"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ramsgate	In Church	Portrait de femme (Portrait of a Woman)	Letter 'L' with Hats
Le premier homme tué que j'ai vu (Souvenir du siège...	Le Comedien	Querelle d'amoureux (Lover's tiff)	Le foyer de la Comédie-Fraçaise pendant le siège...
Portrait de M. B ... (Portrait of Mrs. B ...)	Jacques Without A Dowry Aka Sunday In The Luxembourg...	Portrait de Miss L ..., ou Il faut qu'une porte soit...	Premier frontispiece (avec le monogramme) (First Frontispiece...
Le veuf (The Widower)	L'Ete (Summer)	Querelle d'Amoureux (The Lover's Quarrel')	Matinée de printemps (Spring Morning)
Le portique de la Galerie nationale à Londres (The...	The Hammock	L'Auberge des Trois-Corbeaux (The Three Crows Inn,...	The Ball on Shipboard (detail)
Jacques A Dandy	The Garden Bench (detail 2)	The Garden Bench (detail)	Self-Portait (detail)
Major-General The Hon. James MacDonald	Young Ladies Looking At Japanese Objects 2	At The Louvre 2	Tea 1872
The Circle of the Rue Royale (detail)	Study for 'Too Early'	The Garden	Study For 'Le Sphinx' (Woman In An Interior)
Self Portrait 3	Study for 'The Last Evening'	A young woman, seated in profie to the left, wearing...	The Flight of the Prisoners
Le banc de jardin	Portrait of Vicomtesse de Senonnes	Madame Eugene Grieg en promenade	Portrait of Mlle L L
The Japanese Scroll	Berthe	Histoire ennuyeuse	Girl in Bonnet Bathing Kittens
Still-life wit Shells	Frontispiece Etching Portrait William Eglinton Twixt...	À la fenêtre (By the Window)

 

Kathleen Newton In An Armchair	Algeron Moses Marsden	Le croquet (Croquet)	Bad News (or The Parting)
During the Service (or Martin Luther's Doubts)	Deuxième frontispiece (Assise sur le globe) (Second...	Un Dejeuner	Ruins (Voices Within)
Entre les Deux Mon Coeur Balance (How Happy I Could...	Spring I	Study For The Prodigal Son In Modern Life: The Departure	Waiting
By The Thames At Richmond	Une Veuve (A Widow) 1868	Une Convalescente (A Convalescent)	Hush! (or The Concert)
Goodbye, on the Mersey	Femme à la fenêtre (Woman at a Window)	Le chapeau Rubens (The Rubens Hat)	La Cheminee
In The Louvre	Octobre (October) (or 'L'Automne - Autumn')	Self Portrait 2	Marguerite In Church
Portrait Of Miss Lloyd	The Departure: Study for the Prodigal Son	Jeunes Femmes Regardant des Objets Japonais (Young...	La Soeur Ainee
In the Conservatory I	Le Journal (The Newspaper)	Portrait de M. N ... (Portrait of Mrs. N ...)	Foreign Visitors at The Louvre
Marguerite Au Rempart (Marguerite by the Rampart)	Le Rendez Vous	Portrait of the Marquise de Miramon nee Therese Feuillant	Beating The Retreat In The Tuileries Gardens
Gentleman in a Railway Carriage 1872	Trafalgar Tavern, Greenwich	Le Dimanche Matin (Sunday Morning)	The Bunch of Lilacs
Jacques Croquet	Promenade dans la Neige (A Winter's Walk) (or Winter)	The Dreamer	Jeune Femme A L Eventail
Jacques In An English Garden	In the Greenhouse	Portrait Of The Pilgrim

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Karl GUSSOW (1843-1907) : le bruit de la mer. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

JUNGE FRAU IN SCHWARZ

 

 

 

 

 

 

  Il est formé par François-Joseph Navez, un disciple de Jacques-Louis David.
 Pendant un temps, ses thèmes historiques et son goût pour le kitsch oriental en font un peintre académique.
 

À partir de 1860, il change de sujet et il connaît un énorme succès grâce à ses tableaux de jeunes femmes habillées à la dernière mode posant dans des intérieurs élégants : ses scènes d'intérieur bourgeois le rapprochent de Henri Gervex. Il est surnommé le "Gerard Terborch" français, pour son talent à rendre les détails et les étoffes somptueuses.

 

 

 

Alfred Stevens

 

  

  

 

 

 

Alfred Stevens (1823-1906) "La Femme à la Harpe"

 

 

 

Alfred Stevens, "Young Lady on the Beach,"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alfred Stevens

  

Il fait un triomphe à l'Exposition universelle de Paris de 1867 où il reçoit la Légion d'honneur. C'est un ami intime de Manet, à qui il présente le marchand de tableaux Paul Durand-Ruel, et de son cercle de relations : Degas, Morisot et Baudelaire.

Il influence James Whistler avec il partage un enthousiasme pour les estampes japonaises.
Vers la fin de sa vie, son style n’est pas sans similitude avec celui de son contemporain John Singer Sargent.

Source : wikipedia

 

 

Karl Albert Buehr

 

 

Portrait Of Countess Katalin Mihaly Karolyi

Girl With Flower Branch

Luise Eisner

Johannes II van Liechtenstein

 

A Portrait Of Mr. Stuart Spaulding

  

  

  

 

 

 

 

 

  

Sir Walter Westley Russell CVO RA (31 May 1867 – 16 April 1949) was a British painter and art teacher. He became a member of the Royal Academy of Arts in 1926 and served as Keeper of the Royal Academy Schools from 1927 to 1942.

 

 

Russell was born in Forest Gate, Essex, in 1867 and studied at the Westminster School of Art under Professor Frederick Brown. He exhibited five works at the Royal Academy between 1891 and 1904, including The Pierrots, Tea Time and a portrait. He exhibited at New English Art Club from 1893.

 

 

 

 

CORDELIA c. 1930 

 

He was a teacher and then Assistant Professor at the Slade School of Fine Art between 1895 and 1927. As a landscape painter he worked mainly in Yorkshire, Norfolk and Sussex. He also painted portraits and genre pictures. He was one of 150 artists chosen to represent Britain at the 1912 Venice Bienniale Exhibition.

During World War I, he was a lieutenant in the Royal Engineers and was mentioned in dispatches.

 

 

 

 

Sir Walter RussellMr Minney 1920

  

He was elected an Associate Member of the Royal Academy on 22 April 1920, becoming a full Academician on 23 February 1926 and a Senior Academician on 1 January 1943. He served as Keeper of the Royal Academy Schools from October 1927 (he was appointed at the General Assembly on 28 June 1927) leading the school through a period when it was abolishing the Visitor system in favour of permanent staff.

  

  

He retired in 1942, becoming Honorary Keeper from Michaelmas Day until the end of the year. He also became a member of the Society of Painters in Water Colours in 1930 and was a trustee of the National Gallery (appointed in 1927) and of the Tate Gallery (appointed 1934).

  

Costanza, 1939(via : Art Renewal Center)

  

Russell was appointed a Commander of the Royal Victorian Order in 1931, and was knighted in 1935.

  

He married Lydia Burton (1881–1944) in 1900 and they had no children. He died at his home in Kensington, London in 1949.

 

 

 

 

 wikipedia

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1. Jan Cornelisz. Verspronck était un peintre portraitiste hollandais. Portail de la peinture Portail des arts Portail du XVIIe siècle Portail des Pays-BasWikipédia

    

•  Naissance : 1600, Haarlem, Pays-Bas

   Décès : 30 juin 1662, Haarlem, Pays-Bas

   Parent : Cornelis Engelsz

   Périodes : Baroque, Siècle d'or néerlandais