•  

     

     

      

    Portret van een meisje in blauw, Johannes Cornelisz. Verspronck,

    Rijksmuseum, Amsterdam

    Portret van een vrouw, Lucas Cranach de oudere,

    Natonal Gallery, Londen

    Portret van Gravin Ursula Mniszek, Dmitry Levitsky,

    The State Tretyakov Gallery, Moskou

    Gravin van Haussonville, Jean-Auguste-Dominique Ingres,

    The Frick Collection, New York

    Portret van een vrouw, Hans Baldung,

    Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid

    De geboorte van Venus, Sandro Botticelli,

    Uffizi Gallery, Florence

    Flora, Rembrandt, The State Hermitage Museum,

    St. Petersburg

    Portret van M.I. Lopukhina, Vladimir Borovikovskiy, T

    he State Tretyakov Gallery, Moskou

    Portret van Hendrickje Stoffels, Rembrandt,

    Gemäldegalerie, Berlijn

    Portret van Madame Roulin, Vincent van Gogh,

    Van Gogh Museum, Amsterdam

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    La Soirée by Jean Béraud, ca 1880 France, Musée Carnavalet

      

      

    La Soirée by Jean Béraud, ca 1880 France, Musée Carnavalet

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    1 commentaire
  •  

     

     

    Waiting for William by John George Brown, 1879

    Waiting for William by John George Brown, 1879

     

     John George Brown est né le 11 novembre 1831 à Durham en Angleterre.
     
    Très tôt, la peinture l’attire mais ses parents veulent l’en dissuader en tentant de le faire entrer comme apprenti verrier, peine perdue.
     
    En Angleterre, Brown  étudie sous William B. Scott et poursuit ses études à la National Academy of Design à New York. Il  étudie à Newcastle-on-Tyne, dans l’Académie d’ Edimbourg.
     

     
    En 1853, ses parents et lui déménagent à New York City, il étudie avec Thomas Seir Cummings à la National Academy of Design où il est académicien national de 1861 à 1863.Il devient vice président de l’Academy de 1899 à 1904.Pour payer ses études il devient souffleur de verre dans Brooklyn.
     
    En 1855, John épouse la fille de son employeur, son beau-père encourage ses talents artistiques en le soutenant financièrement pour qu’il puisse peindre à plein temps.
     
    En 1866, il devient l’un des membres fondateurs de la Société des Eaux-Color.
     
    John George Brown est célèbre pour ses peintures de gamins qu’il a vu dans les rues de New York, comme les cireurs de chaussures, les vendeurs de journaux ou musiciens des rues dont les collectionneurs fortunés sont friands. Cependant, Brown a falsifié ses sujets comme toujours heureux et en bonne santé avec juste une touche de crasse pour les cosmétiques. Ces scènes étaient vraiment en dessous de sa capacité artistique car le but de Brown était de ne pas provoquer l'inquiétude sociale parmi les clients. Beaucoup de peintures de Brown ont été reproduites dans la lithographie et largement distribué avec des thés emballés.
     
    Brown a affirmé ne jamais oublier ses origines pauvres, en disant: «Je ne peins pas les pauvres garçons uniquement parce que le public aime ces images et me paie pour eux, mais parce que, moi aussi, j’étais autrefois un pauvre garçon comme eux ».
     
    Brown essaie  de capturer l'esprit des enfants des rues comme des personnes qui «se tirent vers le haut par leurs propres moyens."
     
    Brown fut l'un des peintres de genre les plus réussis de la fin du 19e siècle.
     
    Le succès financier de Brown lui permet de peindre des paysages pour son plaisir.
     
    Il expose une grande partie de ses tableaux à la National Academy of Design de 1858 à  1900 où il a également enseigné pendant de nombreuses années.
     
    Il décède le 8 février 1913 à New York.

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Madame Élisabeth de France (1764–1794) by Adélaïde Labille-Guiard, ca 1787 France, the Metropolitan Museum of Art
Click for a huge image

      

      

    Madame Élisabeth de France (1764–1794)

    by Adélaïde Labille-Guiard,

    ca 1787 France, the Metropolitan Museum of Art

     

     

    Adélaïde Labille-Guiard, appelée aussi Adélaïde Labille des Vertus,

    née le 11 avril 1749 à Paris, où elle est

    morte le 24 avril 1803, est une peintre, miniaturiste et pastelliste française

     

    Une famille de commerçants parisiens

     

    Adélaïde Labille est la plus jeune des huit enfants, dont la plupart meurent en bas âge, d’un couple de bourgeois parisiens.

    Son père Claude-Edmé Labille est mercier et propriétaire de la boutique de mode,

    À la toilette, située rue Neuve-des-Petits-Champs,

    dans la paroisse Saint-Eustache.

      

    C’est dans cette boutique que débuta Jeanne Bécu, future Madame du Barry.

     

    Sa sœur aînée, Félicité, dont la date de naissance est inconnue, épouse en 1764 dans la paroisse Saint-Eustache à Paris,

    le miniaturiste Jean Antoine Gros.

      

    Gabriela Dellosso, Self-Portrait Homage to Adelaide Labille Guiard

    Cet artiste, né en 1732 à Toulouse, est aussi un collectionneur avisé de tableaux. Mais Félicité meurt après quatre ans de mariage.

      

    On ignore si Adélaïde garde contact avec Gros, sa seconde épouse, la pastelliste Pierrette Madeleine Cécile Durant et son fils,

    le peintre de l’Empire Antoine Jean Gros.

      

    File:Adélaide Labille-Guiard 001.jpg

    Portrait de son mari, François-André Vincent (1795)

      

      

    Les mariages

    Adélaïde Labille épouse à vingt ans Nicolas Guiard, un commis auprès du receveur général du Clergé de France.

      

    Son mari ne lui est donc d’aucune aide dans sa carrière de peintre.

    Sur son contrat de mariage signé le 25 août 1769, il est indiqué qu'Adélaïde est peintre de l’Académie de Saint-Luc.

      

    Elle exerce déjà en tant que peintre professionnel.

    Les époux se séparent officiellement le 27 juillet 1779, la séparation de biens existant sous l’Ancien Régime.

      

    Ils divorcent en 1793 une fois que la législation révolutionnaire le permet.

    Le 8 juin 1799, Adélaïde épouse en secondes noces

    le peintre François-André Vincent,

    lauréat du Prix de Rome en 1768 et membre de l’Académie des Beaux-Arts.

      

    Elle le connaît depuis l’adolescence.

      

    Comte de Provence

     

     

    Mais Adélaïde ne retire rien de bénéfique de cette union avec ce peintre célèbre, étant déjà une artiste reconnue pour ses pastels et ses peintures.

    Ce mariage dure jusqu’à la mort d’Adélaïde en 1803.

    Même après son divorce et son remariage, Adélaïde conserve le nom de Guiard, puisque c’est sous le nom

    d’Adélaïde Labille-Guiard qu’elle est connue dans le monde artistique.

      

      

    File:Comtesse de Selve.jpg

    Portrait de la Comtesse Charlotte Elisabeth de Selve

    (1736-1794)

    faisant de la musique (1787)

      

    La formation artistique

    Adélaïde Labille-Guiard maîtrise admirablement la miniature, le pastel et la peinture à l’huile, mais on ne sait que peu de choses sur sa formation.

      

    Étant une femme, elle est exclue des formations fournies par les peintres dans leurs ateliers ne pouvant pas suivre l’enseignement aux côtés de jeunes hommes.

      

    Elle suit donc seule un enseignement auprès de maîtres acceptant de prendre des jeunes filles comme élèves contre rétribution.

    Durant son adolescence, Adélaïde suit une formation de miniaturiste auprès du portraitiste, habile miniaturiste et peintre à l'huile François-Elie Vincent.

      

     

    Né en 1708 à Genève, François-Elie est professeur à l’Académie de Saint-Luc avant d’accéder en 1765 à la charge de conseiller.

      

    La famille de Vincent est proche d’Adélaïde.

      

    Elle connaît donc depuis son adolescence François-André Vincent,

    le fils de son maître.

     

    Après son mariage avec Guiard, elle fait son apprentissage du pastel chez un maître du genre Quentin de La Tour entre 1769, date de son mariage et 1774, année où elle expose à l’Académie de Saint-Luc un portrait

    d’un magistrat au pastel.

    Elle est ensuite initiée à la peinture à l’huile par François-André Vincent.

      

    File:Labille-Guiard, van Loo.jpg

    Portrait de Charles Amédée Philippe van Loo (1785)

      

      

    L’Académie de Saint-Luc et les Salons jusqu’en 1782

    Adélaïde est admise à l’Académie de Saint-Luc en 1769 grâce

    à François-Élie Vincent alors qu’elle a à peine vingt ans.

      

    Pour son agrément, elle présente une miniature dont on ne sait rien.

      

    Appartenir à l’Académie de Saint-Luc permet à Adélaïde d’exercer professionnellement son art.

      

    De nombreuses femmes artistes appartiennent à l’Académie de Saint-Luc.

    On compte cent trente femmes en 1777.

    Ce n’est qu’en 1774 qu’elle expose pour la première fois au Salon de l’Académie de Saint-Luc.

      

    L’œuvre qu’elle y présente est un portrait de magistrat au pastel.

    Dès cette première exposition, Adélaïde voit ses œuvres comparées à celles

    de Elisabeth Vigée-Lebrun.

      

    Celle-ci, dont le père était l’adjoint d’un ancien professeur, est entrée avec facilité à l’Académie de Saint-Luc.

      

    Les critiques prennent soin de ne comparer entre elles que des œuvres réalisées par des femmes.

     

     

    Le succès de ce salon fut tel que l’Académie royale de peinture et de sculpture en prend ombrage.

      

    L’édit de mars 1776 abolit « jurandes, communautés et confréries d’art et de métier ». L’Académie de Saint-Luc ferme donc ses portes en 1777.

     

    Dès lors Adélaïde cherche à entrer à l’Académie royale pour se faire connaître.

    Pour y entrer, il est nécessaire de présenter une peinture à l’huile.

    Elle commence son apprentissage de la peinture à l’huile auprès

    de son ami d’enfance François-André Vincent.

     

    Après la fermeture de l’Académie de Saint-Luc, le salon de la Correspondance, un Salon permanent, est créé en 1779 rue de Tournon

    par Pahin de la Blancherie.

     

     

      

    Les artistes n’appartenant pas à l’Académie royale de peinture et de sculpture peuvent y exposer leurs œuvres contre une cotisation minime.

    The Sculptor Augustin Pajou

     

    Il ouvre en 1781. Adélaïde choisit d’y exposer que des pastels qui sont bien accueillis par les critiques.

    C’est grâce à des hommes qu'Adélaïde parvient à se faire connaître en tant que peintre et pastelliste.

      

    François-André Vincent, reçu tout juste à l’Académie royale de peinture, envoie à Adélaïde plusieurs personnalités de l’Académie comme Vien, les professeurs Voiriot et Bachelier, son ami Suvée, pour faire leur portrait.

      

    Ses hommes, appréciant le talent de l’artiste, sont alors acquis à sa candidature à l’Académie royale de peinture.

     

    En 1782, elle expose au salon de la Correspondance, son autoportrait au pastel et les portraits à l’huile

    de Vincent et de Voiriot.

     

    File:Labille-Guiard, Self-portrait with two pupils.jpg

    Autoportrait, avec deux élèves

    En 1787, elle décide cette fois de se représenter dans toute la splendeur acquise par son statut de peintre de l’Académie avec une robe coûteuse qui accroche la lumière.

    On ne peut qu’admirer le talent du peintre pour le rendu de cette robe.

    Elle tient toujours pinceaux et palette, mais le spectateur la voit désormais par les yeux de son modèle. Derrière elles, se tiennent

    ses deux élèves Mesdemoiselles Capet et Carreaux de Rosemond.  

      

     

    Le Salon de 1783 et le pamphlet

    En 1783, elle finit la série des portraits d’académiciens au pastel. Ils sont représentés assis, en buste, en habit et tenant leur couvre-chef sous le bras.

    C’est grâce aux relations de sa famille avec ce sculpteur qu'Adélaïde reçoit la commande du portrait de Pajou. Le portrait est exposé en 1783 où il est accueilli chaleureusement pour sa ressemblance.

    Les critiques comparent les pastels de Adélaïde avec ceux de Quentin de La Tour, le maître du genre.

      

    Adélaïde est une artiste reconnue dans ce domaine.

      

      

    Sous le titre de Supplément de Malborough au Salon, un auteur demeuré inconnu publie des couplets

      

    où les femmes peintres Anne Vallayer-Coster, Elisabeth Vigée-Lebrun et

    Adélaïde Labille-Guiard sont injuriées, de même que le peintre Hue lors du Salon de 1783.

     

    Adélaïde y est accusée d’avoir de nombreux amants dont

    François-André Vincent.

      

    Il ne s’agit que d’accusations mensongères courantes pour les femmes qui exercent un métier défini alors comme masculin, d’autant plus quand, comme Adélaïde, elles sont séparées de leur mari.

     

     

    Dès qu’elle en prend connaissance, Adélaïde écrit à la comtesse d'Angiviller, épouse du directeur des Bâtiments du Roi une lettre pour faire arrêter la publication de ce pamphlet.

      

    1749 Adelaide Labille-Guiard (French Neoclassical Painter, 1749-1803) Self Portrait

      

      

    Cette femme, qui a des relations, n’a aucun mal à confier à la police cette affaire.

    Tous les pamphlets imprimés sont détruits.

      

    Malgré ce pamphlet, ces amis artistes comme Vincent et Pajou continuent à soutenir Adélaïde.

      

      

      

    L’entrée à l’Académie royale de peinture et de sculpture

    Adélaïde Labille-Guiard est reçue en 1783 en même temps que Elisabeth Vigée-Lebrun à l’Académie royale de peinture et de sculpture.

      

    Alors que Vigée-Lebrun doit sa nomination de la reine, Adélaïde la doit aux amis qu’elle a parmi les académiciens.

     

    La première effigie d’artiste qui servit de réception est

    celle du sculpteur Jacques Sarrazin peint

    par François Lemaire pour sa réception en 1657.

      

      

    De dimensions standard, les effigies d’artistes représentent principalement des peintres d’histoire ou des sculpteurs, portant perruque, debout ou assis dans leur atelier tenant le plus souvent le crayon, la palette ou le ciseau et entourés d’objets décoratifs qui précisent leur spécialité : chevalet, carton à dessins, gouge, maillet, marbres, etc.

      

    Adélaïde suit cette tradition avec son premier morceau de réception à l’Académie.

      

    Le portrait de Pajou sculptant un buste de Lemoyne, œuvre avec laquelle il a obtenu un grand succès, est présenté dans le Salon de 1783.

      

    Adélaïde Labille-Guiard, comme les

    portraitistes La Tour et Duplessis, diffère la remise de son second morceau de réception.

      



    Madame Roland. Obra de Adélaïde Labille-Guiard

      

      

    Une artiste reconnue et pensionnée par le roi

    Au Salon suivant en 1785, l’affaire du pamphlet est passée.

      

    Des académiciens influents ont accepté de poser pour Adélaïde, Jacques Vernet, Charles-Nicolas Cochin et Amédée Van Loo.

      

    Ces portraits sont présentés au Salon avec Autoportrait avec ses élèves et des portraits de plusieurs femmes de la haute société dont la comtesse de Flahaut, belle-sœur

    du Directeur des Bâtiments du Roi et sœur de la comtesse d’Angiviller.

      

    On peut voir la commande de ce portrait comme un soutien officiel de cette famille au peintre.

      

    Les critiques sont toujours élogieux sur le travail de l’artiste.

      

    Grâce au soutien du Directeur des Bâtiments du Roi, Adélaïde obtient une pension de mille livres en 1785, alors qu’elle est dans une situation financière difficile, étant séparée de son époux Guiard.

      

    Pour subvenir à ses besoins, elle prend des jeunes filles comme élèves, dont Marie-Gabrielle Capet.

      



    Madame Roland. Obra de Adélaïde Labille-Guiard

      

      

    Le peintre de Mesdames

    Adélaïde est invitée à Versailles à faire le portrait de Mesdames, les tantes du roi Louis XVI, et

    de Madame Elisabeth, la sœur du roi en 1786.

      

    Elle est une pastelliste et un peintre reconnu, membre de Académie royale de peinture. Ces commandes de la famille royale donne à Adélaïde une célébrité accrue parmi les membres de la noblesse.

    Les tantes du roi, satisfaites de leurs portraits, demandent pour leur peintre le titre et le brevet de peintre de Mesdames, qui fut accordé en 1787.

      

    Elle partage cet honneur avec le peintre allemand J.F. Hemsius.

     

    Adélaïde Labille-Guiard expose au Salon de 1787 les portraits des trois princesses, Madame Elisabeth, Madame Adélaïde en tenue d’apparat

    et Madame Victoire au pastel.

    Le portrait de Madame Adélaïde est un portrait en pied destiné à montrer la princesse dans toute sa splendeur. Elle est peinte en costume d’apparat debout à côté du portrait en médaille de son père Louis XV, de sa mère et de son frère tous décédés.

     

      



    Maximilien Robespierre, 1786.

    Obra de Adélaïde Labille-Guiard

    ( Devenu célèbre dès les débuts de la Révolution pour son caractère intransigeant autant que pour la puissance et la méticulosité de ses discours, véritables démonstrations de rhétorique, Robespierre a fourni le prototype du révolutionnaire dévoué à une cause qu’il estime juste et à laquelle on doit tout sacrifier.

    Avocat à Arras avant la Révolution, il fut élu aux Etats Généraux et s’y s’imposa rapidement par ses vues solides.

    Réélu à la Convention, il siégea sur les bancs de la Montagne.

      

    Esprit radical, il prit très vite la mesure des risques qu’encourait la République en raison de la guerre extérieure, des soulèvements intérieurs et des luttes intestines entre républicains.

      

    Il parvint à éliminer les tièdes et les extrémistes, et sut maintenir le cap de la représentation nationale malgré les tentatives de débordement populaires en sacrifiant une partie des idéaux bourgeois.

    Taxé de tyrannie, il fut victime d’un complot déclenché le 9 thermidor an II (27 juillet 1794) par ceux qu’il menaçait de mort, et il mourut guillotiné le lendemain avec ses amis, Saint-Just, Couthon, Lebas. Son exécution marqua la fin de l’engrenage révolutionnaire.

    Auteur : Jérémie BENOÎT )

      

    La recherche d’une nouvelle clientèle à la Révolution française

     

    En 1790, la Révolution française pousse Adélaïde à partir à la recherche d’une autre clientèle dans

    un milieu politique très actif.

    Elle s’est introduite dans l’entourage

    du duc d’Orléans comme en témoigne le portrait de

    Madame de Genlis, sa maîtresse.

    À la même époque, elle défend devant l’Académie royale de peinture le fait qu’elle doit être ouverte à toutes les femmes sans limitation de nombre.

     

    Portrait de Joseph-Benoît Suvée

      

    Elle est soutenue par ses amis Vincent, Pajou, Gois et Miger, mais le vote n’est pas considéré comme valable.

    En 1791, les tantes du roi se réfugient en Italie.

      

    Adélaïde doit trouver de nouveaux patrons.

      

    Elle fait donc les portraits de quatorze députés à

    l’Assemblée nationale dont celui de Talleyrand.

      

    En retour, celui-ci propose à l’Assemblée de donner aux femmes privées de fortune les moyens de subsister par le produit de leur travail.

      

    Son portrait de Robespierre est connu pour son cadrage innovant et son fond neutre.

      

    Les critiques étant bonnes, Adélaïde s’assure d’être soutenue par les nouveaux puissants à Paris.

    En 1792, ayant une pension du roi, elle risque d’être prise pour une personne soutenant la monarchie.

      

    Elle choisit donc de partir de Paris pendant quelque temps pour Pontault-en-Brie avec François-André Vincent.

     

     



    Retrato del señor de Beaufort, pintor.

    Museo del Louvre. Obra de Adélaïde Labille-Guiard

     

     

    En 1793, lors de la Terreur, Adélaïde est forcée de détruire son grand tableau Réception d’un Chevalier de l’Ordre de Saint-Lazare par Monsieurauquel elle travaille depuis plusieurs années. Il s’agit du portrait du frère de Louis XVI[.

      

    Sous le choc de la perte de son œuvre, Adélaïde ne participe pas au Salon de 1793 et cesse de peindre pendant un temps.

     

     



    Madame Adelaide. Obra de Adélaïde Labille-Guiard

     

    Grâce à Joachim Lebreton, chef des bureaux des Musées, elle obtient une pension de 2000 livres en 1795 et un logement pour elle au Collège des Quatre Nations.

    Elle possède aussi un atelier à l’Institut de France.

     

    File:Adélaide Labille-Guiard - François-André Vincent 1783.jpg

      

      

    Elle expose les portraits de Joachim Breton et de François-André Vincent au Salon de 1795.

    Elle continue à exposer des portraits au Salon de 1798 à 1800, étant toujours bien vue des puissants par son attitude assez favorable à la Révolution.

      

    File:Adélaïde Labille-Guiard, Marie-Adélaïde de France, dite Madame Adélaïde (vers 1786-1787).jpg

      

    Les œuvres d’Adélaïde Labille-Guiard

    Au XVIIIe siècle, on refuse aux femmes de copier des modèles vivants.

    Cela étant contraire à la décence pour les femmes.

      

    Ainsi les femmes voulant peindre des modèles vivants devaient mener une carrière d’autodidacte.

      

    Cette limitation dans l’apprentissage des femmes artistes explique pourquoi celles-ci font principalement des portraits en buste.

    Adélaïde ne se distingue pas de ses consœurs en ne faisant que des portraits au pastel ou à l’huile coupés à la taille ou à la poitrine.

    Le pastel, bien qu’étant une technique difficile à maîtriser, est considéré comme une technique féminine.

     

     

    Le pastel est en effet idéal pour faire des portraits en buste sur de petites surfaces de papiers.

    Le portrait au pastel est un portrait intime.

    On choisit l’huile pour représenter sa famille de manière officielle.

      

    Les portraits d’Adélaïde sont connus pour leur réalisme.

    Contrairement à Elisabeth Vigée-Lebrun, elle n’arrange pas le visage de ses modèles.

     

    Sur environ soixante-dix œuvres aujourd’hui connues

    de Adélaïde Labille-Guiard, moins d’une dizaine sont des portraits en pied.

    Ces derniers sont des commandes de personnes illustres comme Madame Victoire

    ou le peintre Van Loo.

    La majorité des personnes représentées par Adélaïde sont des femmes. Les portraits d’hommes qu’elle réalise sont le plus souvent ceux de personnes de son entourage ou de celui de ses amis, en particulier du peintre François-André Vincent.

      

    Les portraits d’homme sont faits dans l’objectif de servir l’avancement de sa carrière.

      

    Ce choix d’Adélaïde dans ses sujets est sans originalité pour l’époque. Il est partagé par les autres femmes artistes. Adélaïde prête plus d’attention à ses modèles masculins après le scandale lié au pamphlet lors du Salon de 1783.

     



    Estudio de un Vista Mujer sentada por detrás (Marie-Gabrielle Capeto) 1789. Obra de Adélaïde Labille-Guiard

     

    Quelques autoportraits sont réalisés par Adélaïde. Ce type de portrait est reconnu puisque des artistes offrent parfois leur autoportrait à l’Académie Royale, par exemple l’ « Autoportrait de Rigaud au turban », légué par le peintre en 1743 ; ou « Autoportrait de Charles Antoine Coypel », offert par l’artiste en 1746.

      



    Madame Victoire de Francia. Obra de Adélaïde Labille-Guiard

    La formule de l’autoportrait est une image qui se développe en France au milieu du XVIIe siècle, oblige à une part d’interprétation.

      

    L’autoportrait est surtout destiné à glorifier son activité. Les artistes se représentent volontiers dans de grandes compositions historiques, des portraits collectifs comme les portraits de famille ou encore des peintures de genre rieur.

      

    Dans le cas d’Adélaïde, il s’agit avant tout de se présenter comme un peintre et une femme.

      

    C’est pourquoi on observe dans ses autoportraits un soin tout particulier à ses vêtements ainsi qu’à ses attributs de peintre.

      

    Dans son autoportrait en pastel, Adélaïde se présente comme tout peintre avec pinceaux et palette devant une toile. Elle apporte un soin particulier, comme dans ses autres œuvres, au rendu du tissu et aux points de dentelle.

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     Wikipedia

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Georges Ernest COQUART 

     

     

    Jean-Jacques Henner, est un peintre français né à Bernwiller

    (Haut-Rhin) le 5 mars 1829 et mort à Paris le 23 juillet 1905.

    Auteur d’un œuvre abondant présent dans de nombreux musées, il a une réputation de portraitiste et de dessinateur apprécié de son vivant. Il est surtout connu pour ses nombreux nus féminins aux chairs pâles et aux poses alanguies. Il est resté toute sa vie à l’écart des évolutions artistiques de son époque.

    Ses tableaux les plus connus, L’Alsace. Elle attend ou Fabiola, datent des années 1870 à 1890. En 1889, il est élu membre de l'Académie des beaux-arts.

     

     

     

     

    Henri Chapu

      

      

      Fils de paysan sundgauvien, ses premiers tableaux sont des portraits et des scènes de la vie quotidienne des habitants de sa région traitées dans un réalisme parfois naïf. Henner suit ses premiers cours de dessin au collège d’Altkirch auprès de Charles Goutzwiller de 1841 à 1843 puis entre dans l’atelier de Gabriel-Christophe Guérin à Strasbourg.

      

    Grâce à l’octroi de plusieurs bourses du conseil général du Haut-Rhin, il poursuit dès 1848 ses études à Paris à l'École des beaux-arts et fréquente l’atelier de Michel Martin Drolling puis, à la mort de celui-ci, celui de François-Édouard Picot en 1851. À cette époque, il réalise de nombreuses copies d’après des chefs-d’œuvre de Titien, Raphaël ou Poussin exposés au musée du Louvre. Ingres, Pierre-Paul Prud’hon et Corot comptent parmi les peintres du XIXe siècle qu’il apprécie par ailleurs.

     

     

     

     

     

    Prix de Rome

    En 1858, année de la mort d’Ary Scheffer, et après deux tentatives infructueuses, le jury de l’École des beaux-arts composé de trente-et-un membres, parmi lesquels Abel de Pujol, Jean-Victor Schnetz, François-Joseph Heim, Picot, Jacques Raymond Brascassat, Flandrin, Delacroix et Léon Cogniet, lui décerne le Prix de Rome pour sa composition Adam et Eve trouvant le corps d’Abel ce qui lui ouvre les portes de la villa Médicis pendant cinq ans de 1859 à 1864.
    Henner décrit lui-même son œuvre en ces termes : « Mon Abel est couché tout le long, sur le premier plan.

      

    Ève à genoux s’élance vers lui Adam lui semble plutôt reculer, car il a deviné tout de suite, tandis qu’Ève pourrait encore doute. »
     

      

    Aujourd’hui le tableau appartient aux collections de l’École des beaux-arts.

      

    Il en existe une esquisse peinte au musée national Jean-Jacques Henner de Paris, ainsi qu’une seconde au musée des beaux-arts de Mulhouse. Une troisième esquisse se trouvant dans le commerce d’art new-yorkais. Une quatrième ou répétition appartient à une collection privée parisienne réunissant une série d’esquisses pour le concours de Rome constituée de Picot, dont Henner fut élève

     

     

    File:Jean Jacques Henner - La liseuse.jpg

     

    L’Italie

    Après l’obtention de son Prix de Rome, Henner part à la villa Médicis en 1859. Sur les conseils de Jean-Victor Schnetz, alors directeur de l’académie de France à Rome, Henner visite l’Italie : Rome, Florence, Venise, Naples, etc. dont il peint des paysages sur le motif et découvre le pittoresque. Il étudie les grand maîtres et travaille à ses envois annuels. Attiré par Le Caravage et Raphaël à Rome, il se tourne ensuite vers le Corrège et Titien après avoir parcouru le nord du pays de juin à octobre 1860.

    Le Voyage d’Italie est capital pour la suite de son œuvre, sa palette s’éclaircit, son trait s’assouplit et il abandonne la raideur de ses débuts. À Rome, Henner se fait de nombreuses relations utiles pour la suite de sa carrière. En 1870, il sera à l’origine de la création des Caldarrosti, groupe d’anciens élèves de Rome qui se réunissent régulièrement à Paris autour d’Louis Hector Leroux et d’Ernest Hébert.

    Henner ne retournera que deux fois en Italie, en 1888 et 1891.

      

    Le Salon

    De retour en France en 1864, Henner s’établit définitivement à Paris et emménage dès 1867 dans un atelier place Pigalle, où il côtoie Puvis de Chavannes, installé dans le même immeuble. Il entame alors sa carrière au Salon avec succès, cumulant commandes de portraits et achats de l’État. Au Salon de 1865 Henner est médaillé avec son dernier envoi de Rome, La Chaste Suzanne.

    Il expose régulièrement au Salon jusqu’en 1903, deux ans avant sa mort. À partir de 1876, ses tableaux sont également appréciés dans les expositions du Cercle artistique et littéraire de la rue Saint-Arnaud, puis de la rue Volney à Paris où il présente des œuvres aux côtés d’autres artistes renommés avant l’ouverture du Salon.

      

     

    Style

    Tout d’abord tenté par les tendances modernes, Henner s’oriente ensuite vers une esthétique personnelle éloignée de la peinture académique et du naturalisme en vogue. Très marqué par la guerre de 1870, il exprime sa douleur de la perte de l’Alsace dans L’Alsace. Elle attend.

      

    Henner entretient en effet des liens constants avec sa région natale, où il retourne chaque année malgré son annexion par l’Empire allemand en 1871. À partir de l’Idylle exposée au Salon de 1872, aujourd’hui au musée d’Orsay de Paris, l’art de Jean-Jacques Henner devient surtout emblématique par ses représentations de femmes rousses, nues, situées dans des paysages à peine esquissés comme Les Naïades, L'Églogue' ou encore sa Nymphe endormie.

     

     

    « On a dit qu'Henner est le peintre des blondes : des rousses surtout. Son goût pour le roux, c'est-à-dire pour la lumière, traduit jusque dans la façon dont, en certaines natures mortes, il s’est plu à peindre des chaudrons de cuivre d’une étonnante réalité, l’entraine tout naturellement à choisir pour modèles, lorsqu’il fait un tableau, les filles rousses pareilles à celle de Titien, dont les cheveux incendient la toile. »

      

      

    Les grandes figures religieuses, comme sa série sur les Madeleines, ainsi que les têtes idéales, sont d’autres caractéristiques de son art. La poésie qui se dégage de ses œuvres embrumées d’un subtil sfumato valorisant les chairs blanches des figures, a contribué au succès de Henner auprès des collectionneurs de tous horizons, promu par des marchands d'art, tels Knoedler et Bernheim, qui diffusent ses œuvres en Amérique

      

    File:Jean-Jacques Henner00.jpg

     

     

    Reconnaissance

    Outre son prix de Rome en 1858, la carrière de Henner est celle d’un peintre reconnu du Second Empire et de la IIIe république. Médaillé de nombreuses fois aux Salons, comme par exemple au Salon de 1865 et aux Expositions universelles, il est élu en 1889 membre de l’Académie des beaux-arts, en remplacement d’Alexandre Cabanel. En 1903, il devient grand officier de la Légion d’honneur après avoir reçu les différentes distinctions honorifiques de l’État français depuis 1873.

     

    Henner entretient par ailleurs une vie sociale importante. Outre les clubs alsaciens auxquels il participe, il est membre de plusieurs association d’artistes, d’écrivains et d’hommes politiques, habitant souvent le quartier parisien de la Nouvelle Athènes, dont l’influence n’est sans doute pas étrangère à ses succès et à ses commandes.

      

      

    Il entre ainsi, en 1872 à « La Macédoine », structure organisée par ses amis Jules Claretie, auteur d’une première monographie sur le peintre publiée anonymement en 1878, et par Carolus-Duran. En 1876, il intègre parallèlement une association importante, « La Marmite ».

     

    Henner et l'impressionnisme

    Contrairement à certains de ses artistes contemporains opposés à l’impressionnisme, comme Jean-Léon Gérôme, Henner les côtoie volontiers. Il est invité à leurs expositions par Georges Charpentier et sa femme Marguerite Charpentier dont il est un proche. Membre en 1881 de la nouvelle Société des artistes français qui organise le Salon, Henner vote avec Carolus-Duran en faveur de l’attribution d’une médaille à Manet. Reconnu par le monde de l’art et la société de son temps, Henner meurt à Paris le 23 juillet 1905 à son domicile situé au 41 rue de La Bruyère. Il est inhumé au cimetière Montmartre (5e division) à Paris.

      

    Élèves

    Henner a de nombreux élèves et organise avec Carolus-Duran, de 1874 à 1889, ce qu’il appelle « l’atelier des dames » destiné comme son nom l’indique, aux femmes qui n’avaient pas le droit de suivre l’enseignement de l’École des Beaux-arts. Certaines lui servent aussi de modèles[8].

     

    • Juana Romani (1869-1924), est une autre élève de Henner.
    • Peintre mais aussi modèle cette italienne qui débute auprès du sculpteur Falguière et des peintres Henner et Roybet – dont elle deviendra la maîtresse – est grandement influencée dans son art par Henner et Regnault. Elle expose régulièrement à la Société des Artistes français de 1888 à 1904.

     

     

    • D’ailleurs, elle passe régulièrement en ventes ses œuvres, parfois sous le nom de Henner, alors qu’elles sont clairement signées. La plupart sont des figures de jeunes filles de la Bible ou de la mythologie, souvent des autoportraits.
    • On sait aussi que Juana Romani est l’un des nombreux modèle féminin de Jean-Jacques Henner, une femme « au visage triangulaire avec une frange et de grands yeux noirs, [qui posa] d’avril à décembre 1885 et de février à décembre 1887.
    • Elle habitait au 56, bd du Montparnasse avec sa sœur Carolina, surnommé
    • « l’Italienne » par Henner qui l'avait fait poser de juillet à décembre 1884, de février à novembre 1886 et en janvier 1889 »

     

     

    • Madeleine Smith (1864-1940), fondatrice de la Fondation Smith-Champion. Son œuvre reste le témoignages d’une vie entièrement consacrée à la peinture, laissant de nombreux tableaux où elle représente le parc et la maison du 16, rue Charles VII à Nogent sur Marne.
    • Dorothy Tennant (1855-1926), qui devient plus tard la femme de l’explorateur Henry Morton Stanley, passe deux mois dans l’atelier du peintre en décembre 1879 et janvier 1880. Elle semble y revenir en mars et mai 1883.

      

      

    Modèles

    Contrairement à de nombreux artistes de l’époque qui lui sont contemporains , Henner ne semble pas avoir exploité la photographie de nus pour composer ses œuvres. Attaché à l’emploi du modèle vivant, il fait poser régulièrement, comme l’attestent ses agendas. Il conserve cependant pour mémoire quelques reproductions photographiques découpées dans certaines revus ou albums qui paraissent alors, comme Les Classiques de l’art publiées en 1865.

     

     

     

    Outre les modèles de l’École des beaux-arts de Paris qui posent à partir de 1846 pour les académies dessinés, on recense après 1870 pas moins d’une cinquantaine de modèles professionnels, dont une dizaine de modèles masculins.

      

      

    Les plus connus sont Emma Dobigny, Camille Nerval, Juana Romani, et peut-être l’artiste et modèle Suzanne Valadon.

     

     

    Henner demande parfois à ses amis et proches de poser pour lui, comme notamment le collectionneur Charles Hayem ou encore l’historien d’art Émile Durand-Gréville.

      

    Ses élèves posent parfois pour lui :

      

    Dorothy Tennant, Juana Romani, Germaine Dawis ou encore Virginie Porgès.

    À partir 1890, alors qu’il séjourne de plus en plus en Alsace, il fait travailler les jeunes filles de son village.

     

     

    Wikipedia

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

    Domaine peinture
    Dénomination tableau
    Auteur/exécutant GALARD Gustave Comte de
    Titre PORTRAIT DE MONSIEUR ET MADAME MARANDON DEMONTYEL
    Période création/exécution 1er quart 19e siècle
    Lieu de conservation Bordeaux ; musée des beaux-arts
    Numéro d'inventaire Bx E 882 ; Bx M 7017
    N° 32346

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    A Regency Gentleman  by Henry Wyatt

     

    Henry WYATT

     

     

    A Regency Gentleman by Henry Wyatt

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Anonymous, Soldat de l’Empire [Soldier of the Empire], 19th century. Oil on canvas, 64.5 x 54 cm. Musée Max Claudet, Salins-les-Bains.

     

     

    Anonymous, Soldat de l’Empire [Soldier of the Empire], 19th century.

    Oil on canvas, 64.5 x 54 cm. Musée Max Claudet, Salins-les-Bains.

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    William Jewett, Oil on wood panel, ca. 1819, Asher B. Durand (1796-1886)  Jewett exhibited a "Portrait of a Young Gentleman" in 1819 at the American Academy of Fine Arts, which was very likely this portrait of Durand

     

     

     

     

     

     

     

    William Jewett, Oil on wood panel, ca. 1819, Asher B. Durand (1796-1886) Jewett exhibited a "Portrait of a Young Gentleman" in 1819 at the American Academy of Fine Arts, which was very likely this portrait of Durand

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Jean-François Sablet, Portrait de femme, 19th century, 1st quarter

     

    Jean-François Sablet, Portrait de femme,

    19th century, 1st quarter

     

    Sablet Jean-François (1745-1819)

      

      

    Son père n’est autre que Jacob Sablet, le célèbre marchand de tableaux de son époque. Jean-François s’identifie à son géniteur qui était également peintre.

    Né à Morges, il quitte sa Suisse natale pour gagner Paris.

    Il a alors 22 ans.

     

    Jean-François Sablet, Portrait of a young man

     

     

     

      

    La France est un pays dont il sent qu’il a besoin pour développer ses talents artistiques picturaux.

      

    Mais c’est à Nantes qu’il se fixe finalement, ce qu’il n’aura pas à regretter. Après avoir suivi l’enseignement de Vien à Paris, son art s’affirme mais selon des touches d’un raffinement exceptionnel. Portraitiste admiré, il exécute son travail sur des toiles de petits formats, ce qui rajoute à la délicatesse de son geste :

    Jean-François Sablet, Portrait of a young man (who was apparently determined to cover his receding hairline.)

      

      

      

    Autoportrait (1805), Portrait de Dobrée père. Si le néo-classicisme auréole l’œuvre de Jean-François Sablet, il se dégage de l’ensemble de ses supports la restitution talentueuse de scènes de genre.

     

    sources 

     http://www.artdaujourdhui.com/s-comme-sablet-

    jean-francois-peinture-ivan-calatayud.html

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Rembrandt Peale - Portrait of Rosalba Peale

     

    Rembrandt Peale - Portrait of Rosalba Peale

     

     

    Rembrandt Peale est un peintre néo-classicique américain, né le 22 février 1778 dans le comté de Bucks en Pennsylvanie et mort le 3 octobre 1860.

    Il est le second fils du fameux portraitiste Charles Willson Peale. Rembrandt passe l'essentiel de sa carrière à Philadelphie.

     

     

    Il est principalement connu pour ses portraits d'hommes célèbres tels que George Washington ou Thomas Jefferson.

     

     

    File:Rembrandt Peale self-portrait.jpg

     

    autoportrait

    REMBRANDT PEALE

     

     

    File:Rubens Peale with a Geranium.jpg

     

     

    "Rubens Peale avec un Geranium" (1801)

     

     

     

    File:Michael Angelo and Emma Clara Peale.jpg

     

    "Michael Angelo et Emma Clara Peale" (1826)

     

     

     

    Portrait of Edward Shippen Burd of Philadelphia

     

    File:Portrait of Rubens Peale.jpg

     

     

    "Portrait de Rubens Peale" (1807)

     

     

     

    Rembrandt Peale (Février 22, 1778 - Octobre 3, 1860) était un artiste américain et le gardien du musée. Un portraitiste prolifique, il était particulièrement connu pour ses portraits de présidents George Washington et Thomas Jefferson.

     

      

     

    Portrait of George Washington" (1795 - 1823)

     

    Style de Peale a été influencée par le néo-classicisme français, après un séjour à Paris en début de la trentaine.

     

     

     

      

    Rembrandt Peale est né le troisième des six enfants survivants (onze morts) à sa mère, Rachel Brewer, et son père, Charles Willson Peale dans Bucks County, Pennsylvanie, le 22 Février 1778.

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) The Sisters

    (Eleanor and Rosalba Peale) 

     

    Le père, Charles, également un artiste remarquable, a enseigné à tous ses enfants à peindre paysages et portraits, et tutoré Rembrandt dans les arts et les sciences. Rembrandt a commencé à dessiner à l'âge de huit ans.

     

      

    "Horatio Greenough," oil on canvas, by the American artist Rembrandt Peale. 30.13 in. x 59.69 in. Courtesy of the National Portrait Gallery, Washington, D. C. Image courtesy of The Athenaeum.

      

    Un an après la mort de sa mère et le remariage de son père, Peale a quitté l'école des arts, et a terminé son premier autoportrait à l'âge de 13 ans. Le canevas affiche maîtrise précoce du jeune artiste.

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Rosalba Peale at a Window 

     

    Les vêtements, cependant, donner à la notion que Peale exagéré ce que de 13 ans pourrait ressembler, et les boucles de cheveux de Peale comme les cheveux d'un ange Renaissance. Plus tard dans sa vie, Peale «souvent montré cette peinture aux débutants jeunes, pour les encourager à aller de« mauvais »afin de mieux ...

     

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Portrait of the Artist’s Wife Eleanor May Short Peale, ca. 1805.

     

    Portrait de son épouse

     

    " En Juillet 1787, Charles Willson Peale a présenté son fils de Rembrandt à George Washington, et l'artiste jeune aspirant a vu son père peindre le futur président.

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Olive Foote Lay 

     

    En 1795, à l'âge de 17 ans, Rembrandt a peint un vieillissement de Washington, faisant de lui apparaissent beaucoup plus âgé que dans la réalité.

      

    Le portrait a été bien reçu, et Rembrandt avait fait ses débuts.

     

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Portrait of Harriet Cany Peale 1840

     

     

    À l'âge de 20 ans, marié Rembrandt 22 ans Eleanor mai à court (1776-1836) à Saint-Joseph Église catholique à Philadelphie.

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Juliana Westray Wood

     

    Au cours de leur mariage, Rembrandt et Eleanor ont eu neuf enfants: Rosalba, Eleanor, Sarah Miriam, Michel-Ange, et Emma Clara parmi eux. En 1822, Peale déménagé à New York, où il s'embarqua sur une tentative de peindre ce qu'il espérait devenir la "similarité standard" de Washington.

      

    Il a étudié les portraits par d'autres artistes tels que John Trumbull, Gilbert Stuart et son propre père, ainsi que sa propre image qui avait 1795 n'a jamais vraiment satisfait.

     

     

    Georges Washington

     

    Son Pater patriae résultant des travaux, achevée en 1824, représente Washington à travers une fenêtre ovale, et est considéré par beaucoup comme le deuxième à la peinture de Gilbert Stuart Athenaeum emblématique du premier président.

     

    Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Jane Griffith Koch 1817 

     

    Peale a ensuite tenté de capitaliser sur le succès de ce qui devint rapidement connu sous le nom de son "Hublot" image. Patriae Pater (du latin «père de notre pays") a été acheté par le Congrès en 1832 pour 2.000 $.

     Rembrandt Peale (American painter, 1778-1860) Helen Miller (Mrs. Charles G. McLean) 1806

     

    Il est actuellement accroché dans la salle du Vieux Sénat. Peale a continué à créer plus de 70 répliques détaillées, y compris celui de Washington en uniforme militaire complet qui pend actuellement dans le bureau ovale.

     

    Portrait of William Short, Oil On Canvas by Rembrandt Peale (1778-1860, United States)

     

    Peale a continué à peindre des portraits d'autres relevées, telles que celles du troisième président Thomas Jefferson, alors qu'il était dans le bureau (1805), et plus tard sur un portrait du juge en chef John Marshall.

     

     

      

    Rembrandt Peale (American artist, 1778–1860) Caroline Louisa Pratt Bartlett

     

     

     Rembrandt Peale

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Václav Brozík (detail) At the ball,1898.Czech,1851-1901.

    Václav Brozík (detail) At the ball,1898.Czech,1851-1901.

     

    Václav Brožík alias Vaclav de Brozik (5 mars 1851 à Trémosyna en Bohème15 avril 1901 à Paris 8e) est un peintre d'histoire d'origine tchèque, portraitiste et professeur à l'Académie impériale et royale des Beaux-Arts de Prague, membre associé des Beaux-Arts de Paris.

      

       

    Fils de Joseph Brožík, maître-forgeron tchèque et de Catherine Sigmund, il épouse le 11 novembre 1879 à Paris 9e, Hermine Sedelmeyer (1861-1944), fille du célèbre marchand d'art Charles Sedelmeyer.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    signatura malíře (grafika)

    signatura (podpis) umělce

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Eglon van den Neer (Detail) Judith,1676

     

    Eglon van den Neer (Detail) Judith,1676

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Bartholomeus van der Helst, Portrait of Mary, Princess Royal and Princess of Orange 1652

     

     

    Bartholomeus van der Helst, Portrait of Mary,

    Princess Royal and Princess of Orange 1652

     

    Bartholomeus van der Helst (né en 1613 à Haarlem

    inhumé le 16 décembre 1670 à Amsterdam) était un portraitiste hollandais

     

    Mary, Princess Royal and Princess of Orange, 1652, Bartholomeus van der Helst 1652 

     

    Biographie

     

    Fils d'un aubergiste d'Haarlem, van der Helst s'installa à Amsterdam sans doute peu avant 1636, car il s'y maria cette même année. Son premier tableau daté, un portrait de groupe des régents de l'orphelinat Wallon, date de 1637.

      

    Detail from Abraham del Court and his wife Maria de Kaersgieter. Bartholomeus van der Helst.

    Detail from Abraham del Court and his wife Maria de Kaersgieter.

    Bartholomeus van der Helst.

     

     

    (Detail) Abraham del Court and his wife Maria de Kaersgieter,1654,Bartholomeus van der Helst.

     

     

    Detail) Abraham del Court and his wife Maria de Kaersgieter,

    1654,Bartholomeus van der Helst.

      

      

      

      

    Amsterdam, van der Helst était contemporain de Rembrandt.

     

     

      

    Bartholomeus van der Helst (1613–1670)  

Abraham del Court and his wife Maria de Kaersgieter (detail)
1654
oil on canvas
Museum Boijmans Van Beuningen

    Bartholomeus van der Helst (1613–1670)

    Abraham del Court and his wife Maria de Kaersgieter (detail)

      

      

     

      

      

    Il s'imposa bientôt comme le portraitiste le plus réputé de la ville, avec des portraits flatteurs dans la veine d'Antoine van Dyck plus « commerciaux » que ceux, sombres et pensifs, de Rembrandt.

      

    Abraham Del Court And Maria De Keersegieter (Detail) Bartholomeus van der Helst  via http://thismarks-theend.tumblr.com/post/49670889078/abraham-del-court-and-maria-de-keersegieter

      

    Certains élèves de Rembrandt, dont Ferdinand Bol et Govaert Flinck, adoptèrent ainsi ultérieurement le style de van der Helst de préférence à celui de leur maître.

      

      

      

      

    Son grand portrait de groupe, Banquet de la garde civile d'Amsterdam fêtant la Paix de Münster, fut exécuté en 1648, et présenté avec un succès considérable.

     

     

      

      

    Lorsque Joshua Reynolds visita Amsterdam en 1781, il dit de cette toile qu'elle était « peut-être le premier portrait au monde,

      

      

      

      

    offrant rassemblées plus de qualités qui font le parfait portrait que ce que j'ai jamais vu ».

      

    c0ssette:  Bartholomeus van der Helst “Portrait of Captain Gideon de Wildt” 1657,detail.

     

    Portrait of Captain Gideon de Wildt” 1657,detail.

      

    Outre les portraits qui l'ont rendu célèbre, van der Helst peignit quelques tableaux historiques, bibliques et mythologiques  

      

     

    File:Helst, Self-portrait.jpg

     

    Autoportrait  (1655)

     

     

     

     

    Vandalisme

     

    Le 25 juin 2006, Hans-Joachim Bohlmann, qui s'était déjà précédemment rendu coupable de déprédations de 130 millions d'euros sur des œuvres d'art de cette façon, dégrada le « Banquet » de propos délibéré en l'aspergeant d'essence et en l'enflammant.

     

     

    Portrait of a Family, Oil On Canvas by Bartholomeus Van Der Helst (1613-1670, Netherlands)

      

      

      

    Bohlmann avait déjà purgé 20 ans de prison pour ses précédents larcins, mais un juge allemand estima que l'atteinte aux biens, quels qu'ils soient, ne pouvait coûter à un particulier une privation de liberté à vie, et cela en dépit du fait que les psychiatres eussent jugé une récidive probable.

     

     

    Bien que les dégradations affectent principalement la couche de vernis, quelques portions du tableau, de la toile support et du cadre ont été endommagés 

     

     

    Naked, Clean, Bloodless and Mine: Photo 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

    Gustave Jean Jacquet (1846 - 1909) - Young beauty in a green dress

     

     

    Gustave Jean Jacquet (1846 - 1909) -

    Young beauty in a green dress

     

     

     

     

    Gustave Jean JACQUET (1846-1909) - Mademoiselle

     

     Gustave Jean Jacquet est un peintre français né le 25 mai 1846, mort en 1909. Peintre de portraits et de scènes historiques.

    Élève de William Bouguereau, il débuta au Salon de 1865.

     

     

     

    *

     

     

     

     

     

    Gustave Jean Jacquet (French, 1846 - 1909)

    Gustave Jacquet’s first and only official teacher was William Adolphe Bouguereau, whose influence was evident in Jacquet’s early work. The young artist debuted at the Salon of 1865 with an allegory, The Dream, a painting that one could easily mistake for a Bouguereau.

    In the following years he developed his own unique style of genre painting based on the technical mastery he had acquired from his teacher. The works were small and evoked in great detail the elegant life of the l6th, l7th and l8th centuries. In his review of the 1878 Exposition Universelle, Edward Strahan said of Jacquet ‘s method:

     

    Young Beauty In A Green Dress - Gustave Jean Jacquet

     

     

    His painting, as full of sweetness as of science, is mounted equally on two epochs. He prepares observations on present things and plunges them into the past…. He culls the good out of every age…. He steals from the Venetians the splendor of flesh and the beauty of tissues. He takes from the Spaniards the firmness of line and the warmth of their tone. He bears off from the gallant painters of the eighteenth century their melting shapes, their graceful light and flowery color. Every master can teach him something, down to Bouguereau, in whose atelier he received his education….

    In 1868 Jacquet was awarded a 3rd class medal for his Departure of the Army in the 16th Century. Around this same time he began doing fine portraits, sometimes dressing his sitters in costumes from earlier eras.



     

    In 1875 Jacquet obtained a 1st class medal and, after positive reception at the 1878 Exposition Universelle, was decorated by the Legion of Honor in 1879, a clear indication of his success.

     

     

    Jacquet’s career was consistent throughout his life. He was a tireless worker, producing many paintings, each one done with beautiful and caring detail. His nudes were particularly gracious and feminine and his portraits capture the character and elegance of his sitters. Although his paintings weren’t filled with drama, they always showed sensitivity to delicate taste and beauty.

     

     

     

    Works by Jacquet are housed in many important public and private institutions throughout the world, including institutions in Blois, Chateau-Thierry, Rouen, Paris, and Sheffield (England), as well as important American museums: The Brooklyn Museum of Art, The Art Institute of Chicago, and The New York Metropolitan Museum of Art. 

     

     

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     Gustave Jean Jacquet (1846-1909)

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    File:Whistlejacket by George Stubbs.jpg

     

    George Stubbs

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Kashmir Paisley Shawls: Defining Love for Over 300 Years

     

    Kashmir Paisley Shawls: Defining Love for Over 300 Years

     

    Colette Versavel von Joseph-Francois Ducq, 1822

    Colette Versavel von Joseph-Francois Ducq, 1822

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    PIERRE AUGUST COT (FRENCH1837-1883) PORTRAIT OF A YOUNG WOMAN 1869

     

     

    PIERRE AUGUST COT (FRENCH  1837-1883)

    PORTRAIT OF A YOUNG WOMAN 1869

     

    Pierre Auguste Cot étudie à l'École des beaux-arts de Toulouse, puis de Paris,

    où il est l'élève de Léon Cogniet, Alexandre Cabanel

    et William Bouguereau.

     

    1879

     

    En 1863, il expose ses premières œuvres au Salon de Paris.

      

    Devenu populaire à la fin des années 1870,

    il fait partie des jurys du Salon de Paris et du prix de Rome.

      

      

      

    Il jouissait de la protection du sculpteur Francisque Duret,

    dont il épousera la fille.

    Il a travaillé avec William Bouguereau.

      

      

      

    Il a remporté de nombreux prix et médailles, et en 1874,

    il est nommé chevalier de la Légion d'honneur.

     

     

     

      

     

    Pierre Auguste Cot a eu entre autres pour

    élèves Ellen Day Hale (1855-1940) et Anna Klumpke.

    Il est enterré dans la division 19 du cimetière du Père-Lachaise,

    dans la même tombe que Francisque Duret.

      

      

    Un Monument à Pierre Auguste Cot par Antonin Mercié

    est érigé à Bédarieux en 1891. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    File:Ophelia (Pierre Auguste Cot).jpg

     

    Ophelia

     

     

      

      

     

      

      

     

     

     

      

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    2 commentaires
  •  

     

    Gustave Jean Jacquet (1846 - 1909) - Young beauty in a green dress

     

     

    Gustave Jean Jacquet (1846 - 1909) -

    Young beauty in a green dress

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Yahoo! Google Bookmarks Pin It

    1 commentaire