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    <b>Joshua Reynolds</b> : Anne, vicomtesse Townshend, devenue par la suite marquise Townshend

     

    Anne, vicomtesse Townshend, devenue par la suite marquise Townshend -

     Art anglais des XVIIIème et XIXème siècles - Palais californien de la Légion d'Honneur

     

     

     

     

    Artiste : Joshua Reynolds

     


    Date : approx. entre 1779 et 1780

    Matériaux : Peinture à l'huile sur toile
    Acquisition : Roscoe and Margaret Oakes Collection (1975)

     

      

      

    Selina, Lady Skipwith by Sir Joshua Reynolds, 1787 England, the Frick Collection
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    Selina, Lady Skipwith by Sir Joshua Reynolds, 1787 England, the Frick Collection

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    [Image]

    British portrait painter Joshua Reynolds on Wikipedia.

    More of his paintings after the cut.

    Edit: Updated this post with new paintings and better quality pictures.

     

    [Image]Lady Frances Finch, 1781-82.

    [Image]Frances, Countess of Lincoln, ca 1781-82.

    [Image]Miss Cocks and Her Niece, 1789.

    [Image]Lady Elizabeth Foster, 1787.

    [Image]Mrs. Braddyl.

    [Image]The Honourable Miss Bingham, 1786.

    [Image]Miss Keppel, afterwards Mrs Thomas Meyrick, 1782.

    [Image]

     

    Mrs. Charles James Fox, 1784-89.

    [Image]

    Mrs. Stanhope.

    [Image]

    Lady Elizabeth Seymour-Conway, 1781.

    [Image]

    The Honorable Mrs. Lewis Thomas Watson (Mary Elizabeth Milles), 1789.

    [Image]

    Lady Sunderlin, 1786.

    [Image]

    Lavinia Spencer (Lavinia Bingham), 1781-82.

    [Image]

    Miss Gideon, 1786.

    [Image]

    George Grenville, Earl temple; Mary, Countess temple; and their son Richard.

    [Image]

     

    Lady Skipwith, 1787.

    [Image]

     

    Lady Smith and children, 1787.

    [Image]

    Lady Taylor, ca 1780.

    [Image]

    Lady Worsley, 1776.

    [Image]

    Mrs Abington as Miss Prue in Love for Love by William Congreve, 1771.

    [Image]

    Maria Anne Fitzherbert, 1786-88.

    [Image]

    The ladies Waldegrave, 1780.

    [Image]

    Georgiana, Duchess of Devonshire with her daughter, 1784-86.

    [Image]

    Georgiana, Duchess of Devonshire, 1780.

    [Image]

    Georgiana, Duchess of Devonshire, 1775-76.

    [Image]

    Mary Robinson.

     

     

     

     

     

     

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    <b>Arthur Devis</b> : Alicia Maria Carpenter, comtesse d'Egremont

     

     

    Alicia Maria Carpenter, comtesse d'Egremont - Art anglais des XVIIIème et XIXème siècles - Palais californien de la Légion d'Honneur

    DEVIS Arthur William


    Ecole anglaise
    1763-1822


    BIOGRAPHIE :

     

     

      
    Artiste : Arthur Devis

     
    Matériaux : Peinture à l'huile sur toile
    Acquisition : Mildred Anna Williams Collection (1940)

     

     

    <b>Arthur Devis</b> : Le comte de Tyrconnel

     

    Le comte de Tyrconnel - Art anglais des XVIIIème et XIXème siècles - Palais californien de la Légion d'Honneur 

     

      

    File:Arthur Devis 001.jpg

     

    Sir George and Lady Strickland in the Park of Boynton Hall, 1751 (Ferens Art Gallery, Kingston upon Hull Corporation)

     

     

    Arthur Devis (19 February 1712 – 25 July 1787[1]) was an English portrait painter, particularly known for the type of portrait now called a conversation piece.

    Arthur Devis was born in Preston, Lancashire, the eldest son of Anthony Devis. His father, who was a member of the Town Council as well as a carpenter and a bookseller, may have been responsible for introducing Devis to the Flemish painter Peter Tillemans who became his teacher.[2] During the early 1730s, Devis is known to have been an assistant in Tillemans's studio, apparently copying views of Italy by artists such as Pannini and Marco Ricci.[3] Not surprisingly, his first work painted on commission, a depiction of a house within its park, also shows an interest in landscape (Hoghton Towers from Duxon Hill, Lancashire, 1735; Private collection). By 1737, however, Devis had become a portrait painter.[4] In 1745, he established a studio in Great Queen Street, London, having acquired a considerable artistic reputation by that time.

    Devis received his greatest number of commissions for portraits between 1748 and 1758.[5] Many of the pictures show the sitters in landscapes. Although described with what seems like precise topographical detail, these views, like all but one of the interiors, were mostly invented by Devis.[6] The exception is the neo-Gothic library at Arbury Hall shown in Devis's portrait of Sir Roger Newdigate, who holds the plan for the room on his knee.[7]

    During the 1760s, Devis's success as a portrait painter diminished sharply. Although he exhibited works at the new Free Society of Artists between 1761 and 1775 and in 1780, becoming its president in 1768, his style seemed old-fashioned compared to portraits by important contemporary artists such as Joshua Reynolds and Johann Zoffany. Art reviewers and observers like Horace Walpole were very critical of Devis's pictures.[8] During the 1770s and 1780s, he seems to have made his living by restoring pictures. His most prominent job, done between 1777 and 1778, was restoring Sir James Thornhill's paintings in the Painted Hall in the old Royal Hospital for Seamen, Greenwich (now the Old Royal Naval College).[9] Devis retired to Brighton in 1783 and died there in 1787. He is buried in the churchyard of St. Mary Paddington, London.[10]

    Devis married Elizabeth Faulkner (1719–1788) at St Katharine's by the Tower, London, on 20 July 1742.[11] They had twenty-two children, only six of whom survived past infancy. Two, Thomas Anthony Devis (1757–1810) and Arthur William Devis (1762–1822), became painters. Devis's half-brother Anthony Devis (1729–1816) also was a painter

     

     

     

     

     

     

     

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    BOLIVAR GAUDIN... peintre Uruguayen

     

     

     

    Il s’appelle Bolivar Gaudin et est uruguayen. Ami de Che Guevarra, l’artiste a choisi la France comme terre d’accueil depuis 40 ans. Son travail s’inscrit dans la lignée du mouvement Madi, à l’origine d’une nouvelle forme d’abstraction. Peintre et sculpteur, il revendique cette paternité, pour suivre cette recherche personnelle qu’il veut avant tout inscrire dans son temps. « L’art de notre temps est non figuratif car c’est tout simplement l’évolution naturelle, logique de l’histoire de l’art, où il s’agit d’inventer »[...]

     

     

    Bolivar Gaudin, qui est souvent désigné seulement comme «Bolivar», est né en 1937 à Salto, Uruguay. Sa mère venait de la tribu nomade des Indiens », Charrúa", tandis que son père était un descendant du sud-français des immigrants. Bolivar assume fièrement son double héritage aujourd'hui. Son nom inhabituel premier n'est pas un alias artistique: ses parents l'honneur du grand héros latino-américains avec elle.

      

    Gaudin est un enfant d'une famille pauvre qui étaient accablés par des circonstances difficiles. Durant sa jeunesse troublée, il erra beaucoup et appris à connaître de nombreuses professions. Il a fini à Montevideo en 1955 où il a travaillé dans un théâtre comme un peintre décorateur. Comme il a rappelé, au cours des années à la Solis Teatro, il a acquis une expérience unique et extraordinaire. D'ailleurs, il a rejoint le groupe de jeunes artistes, "La Cantera».

      

     BOLIVAR GAUDIN... peintre Uruguayen

     

    Il a commencé son engagement avec la peinture au début des années 1950. L'artiste autodidacte s'est d'abord consacré à l'art figuratif, essentiellement des paysages de peinture. Il fait la connaissance de constructivisme dans les années 1950 lors d'une exposition Joaquin Torres Garcia à Montevideo. Cependant, il ne s'est tourné vers l'abstraction géométrique beaucoup plus tard. Il s'installa dans sa ville de rêve, Paris en 1963 où il vit et travaille aujourd'hui. Après son arrivée en France, il a travaillé avec des bijoux d'artisanat dans les premières années. Cependant, depuis plusieurs décennies maintenant, il se consacre exclusivement à son art. En 1967, il ouvre un studio près de la Place Nation, où il a créé des peintures et sculptures et commence à se faire un nom pour lui-même.

     

     

     

     

    Qui êtes-vous Bolivar ?

    « Je suis né en 1937 à Salto, Uruguay. Je vis en France depuis 1947. Je suis autodidacte mais j'ai suivi l'enseignement de Torres Garcia et de Michel Seuphor, fondateur de Cercle et carré. Mon père était français. Mon vrai nom est Gaudin. Bolivar est mon prénom, mais je l'ai toujours utilisé comme artiste pour me situer à Paris surtout. En 1980, j'ai rencontré Carmelo Arden Quin, le fondateur du mouvement MADI en 1946 et j'y ai adhéré. » Que signifie MADI et quelle est l'originalité de ce mouvement artistique ?

    « MADI signifie Matérialisme Dialectique. Ce mouvement international, héritier de l'abstraction européenne, a fait un pas en avant en rejetant la forme rectangulaire du tableau. Nous composons en tenant compte de l'espace extérieur et des possibilités géométriques y compris le nombre d'or. Nous avons une grande liberté dans le choix des matériaux nouveaux et des techniques. » Quels matériaux utilisez-vous ? « J'utilise le bois, le plastique parfois et le fer comme la corde de piano. Mes couleurs sont proches de celles de l'Amérique du sud et de la nature. Elles suivent en cela la logique du prisme réel ce qui leur donne force et matérialité. » Le décès récent d'Arden Quin marque-t-il la fin de MADI ?

    « J'étais très proche de lui du fait de notre pays commun: l'Uruguay et de la pratique de notre art. Les artistes du groupe viennent de tous les horizons.

    MADI continue. Aujourd'hui même, il y a des expositions à Buenos Aires, à Naples et à Montevidéo. »

    En 1977, Bolivar a rencontré un de ses compatriotes, Carmelo Arden Quin, l'un des fondateurs du mouvement MADI à Paris. Arden Quin a joué un rôle décisif dans la formation de l'art Gaudin et devint son maître et idole. Jusqu'à la mort récente d'Arden Quin en Septembre 2010, Bolivar a été le plus proche collège de son mentor. En raison de l'influence d'Arden Quin, Bolivar a rejoint le MADI en 1983, et il a participé à des activités organisationnelles du mouvement depuis lors. Comme le secrétaire en chef du mouvement MADI, il faisait partie de l'organisation de nombreuses expositions et rencontres.

     

    Dans son travail, il combine souvent les plus simples formes géométriques (cercle, carré, triangle). Comme son usage de la forme, son choix de couleurs est plutôt modérée et claire: l'exquise harmonie de bleus, de jaunes d'or et les tons de rouge est caractéristique de ses œuvres. Bolivar crée son art tout à fait selon l'esprit de l'MADI: ses compositions sont ludiques, inventifs et précisément conçus dans le même temps, formant des formes irrégulières qui rompent avec les schémas traditionnels de l'art. Pour ses créations qui sont situés à l'intersection entre la sculpture, le relief et la peinture, il utilise une variété de matériaux (bois, fils, matériaux trouvés dans la rue, etc.)

     

     

    Gaudín y Marino Santamaría

     

    Ses œuvres, qui sont intégrés dans le patrimoine du constructivisme sont des manifestations d'une balance sensible des formes, la simplicité et la créativité. Du idées médiée par le MADI, il apprécie l'invention la plus: il en permanence des expériences avec de nouvelles approches dans son art. Sa personnalité et son attitude artistique a été formé par sa vie troublée et aventureux. L'artiste, qui avait des engagements de gauche, était un ami de Che Guevara, entre autres. Dans ses œuvres, il ne cherche pas à envoyer un message ou de médiateur en cas idéal. Son art se réfère à rien d'autre, seulement pour lui-même, que son héritage constructiviste (notamment Joacquin Torres Garcia, le Russe Tatlin, Rodchenko et Lisicky, le Hongrois Laszlo Péri et László Moholy-Nagy, et le Belge Vantongerloo) dicte.

     

    Travaille Bolivar faisaient partie d'un certain nombre d'expositions collectives et individuelles sur le monde dans les musées et galeries ainsi (entre autres dans le Centro Reina Sofia, Madrid, Museo Torres Garcia, de Montevideo; Museo Latinoamericano de La Plata, Argentine). Public hongrois pourrait avoir vu ses œuvres dans plusieurs expositions MADI.

     

      

      

     

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    Peintures sur porcelaine

     

     

     

     

     Peintures sur porcelaine

     

     

     

    Peintures sur porcelaine

     

     

     

     

    Peintures sur porcelaine

     

     

    Peintures sur porcelaine

     

     

     

     

     Peintures sur porcelaine

     

     

    Peintures sur porcelaine

     

     

    Peintures sur porcelaine

     

     

     

     

     

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    William Adolphe Bougereau

    William Adolphe Bougereau

    La tricoteuse

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Le gouter

     

     

    Autoportrait (1886)

    Autoportrait (1886)

    William Bouguereau (30 novembre 182519 août 1905), né et mort à La Rochelle, est un peintre français de style académique.Son acte de naissance indique Adolphe Williams Bouguereau, mais la dénomination d'usage est William Bouguereau.

     

    The Seashell by William Adolphe Bouguereau, 1871 France

    The Seashell by William Adolphe Bouguereau, 1871 France

    Il est le fils d'un négociant en vins de Bordeaux et sa famille de conviction catholique, a des origines anglaises.

     

    Il apprend le dessin à l'école municipale de dessins et de peintures de Bordeaux. En 1846, il entre aux Beaux-arts de Paris dans l'atelier de François-Édouard Picot sur la recommandation de J. P. Allaux. Il remporte le second prix de Rome ex aequo avec Gustave Boulanger pour sa peinture Saint Pierre après sa délivrance de prison vient retrouver les fidèles chez Marie (1848).

     

    Il remporte le Premier Prix de Rome en 1850 avec Zénobie retrouvée par les bergers sur les bords de l'Araxe.

     

     

    En 1866, le marchand de tableaux Paul Durand-Ruel s'occupe de sa carrière et permet à l'artiste de vendre plusieurs toiles à des clients privés ; il a ainsi énormément de succès auprès des acheteurs américains, au point qu'en 1878 lors de la première rétrospective de sa peinture pour l'exposition internationale de Paris, l'État ne peut rassembler que douze œuvres, le reste de sa production étant expatriée aux États-Unis2. Il passe aussi un contrat avec la maison d'édition Goupil pour la commercialisation de reproductions en gravure de ses œuvres.

     

    Professeur en 1888 à l'École des Beaux-Arts et à l’Académie Julian de Paris, ses peintures de genre, réalistes ou sur des thèmes mythologiques sont exposées annuellement au Salon de Paris pendant toute la durée de sa carrière.

      

      

    Il travaille aussi à de grands travaux de décoration, notamment pour l'hôtel de Jean-François Bartholoni, et fait aussi le plafond du Grand-Théâtre de Bordeaux.

     

    En 1876, il devient membre de l'Académie des Beaux-Arts, mais l'année suivante est marquée par des deuils successifs, d'abord ses deux enfants et ensuite son épouse décèdent.

     

     

     

    En 1885, il est élu président de la Fondation Taylor, fonction qu'il occupera jusqu'à la fin de sa vie. Il obtient la médaille d'honneur au Salon.

     

     File:William-Adolphe Bouguereau (1825-1905) - Portrait de Mademoiselle Elizabeth Gardner (1879).jpg

     

    À un âge assez avancé, Bouguereau épouse, en deuxièmes noces, une de ses élèves, le peintre Elizabeth Jane Gardner Bouguereau. Le peintre use également de son influence pour permettre l'accès des femmes à beaucoup d'institutions artistiques en France.

     

    Il meurt en 1905 à La Rochelle.

     

    François-Alfred Delobbe, Émile Vernon furent ses élèves.

     

    sources : WIKIPEDIA - photos google - Wikipedia

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Les pommes

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Une vocation

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Parure des champs

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Le repos

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Les prunes

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    En Penitence

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Essai de l'eau

     

     

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    A la fontaine

     

     

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Au bord du ruisseau

     

     

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Bohemienne

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Tricoteuse

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    L'espiègle fillette

     

     

    William Adolphe Bougereau

    William Adolphe Bougereau

    L'Orage

     

    William Adolphe Bougereau

    William Adolphe Bougereau

     

    Tricoteuse

     

     

      

      

      

     

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  • Mark Eliot Lovett

      

    Peinture de Mark Eliot Lovett

    Mark Eliot Lovett

     

    Mark Eliot Lovett est né et a grandi dans le Maryland, Mark Lovett a commencé à jouer de la guitare et chanter à l'âge de 14 ans puis a continué dans la trentaine.

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     

    Sa passion pour les arts visuels n'a pas pris racine jusqu'au début de mi-vie, quand il a découvert son intérêt pour les arts visuels. Après avoir lutté pendant des années avec dépendance à l'alcool, Mark a découvert que sa passion pour l'art a aidé le processus de guérison dans la récupération, et a conduit à une connexion spirituelle à chaque peinture, il crée.

      Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     

    Bien que la musique peut encore être entendu sur son site Internet ou dans des spectacles rares, sa bande et Vintage Guitar entreprise est devenue une occupation, tandis que l'art est devenu sa vocation et passion.

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     

    Mark, un diplômé de l'Université du Maryland, a étudié la peinture figurative et le portrait de Nelson Shanksâ Incamminati Studio en Pennsylvanie,

     

     

      Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    L'Art de la ligue l'école à Alexandria, Et il a participé à plusieurs ateliers d'artistes maître dans tout le pays, à parfaire ses compétences représentant forme humaine et peinture en direct modèles régulièrement.

     Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    Mark aime les vieux maîtres, comme Bouguereau, Schengel, Tissot, Harlamoff, DuBlaas, Andriotti, et Enjolras, parmi beaucoup d'autres, et il s'efforce de fusionner leurs techniques avec son propre style et sa vision.

     

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     Peinture de Mark Eliot Lovett

    Mark s'efforce de créer une harmonie belle couleur avec une palette de bon goût, mais vibrant de couleur, et même fusible en compositions soigneusement conçu, en effectuant des mouvements audacieux, et empâtements, mais la création d'un rendu délicate du visage de l'homme et la forme de capturer l'essence de ses sujets sur toile.

     Peinture de Mark Eliot Lovett

     

      Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     

    Mark se déplace dans toute l'Europe et l'Amérique ont fourni l'inspiration pour ses images. 

    Il travaille avec des modèles locaux, y compris celui qui a été utilisé dans de nombreux portraits célèbres

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     

    Mark a remporté de nombreux prix:

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    Peinture de Mark Eliot Lovett

    2006 Portrait Société de la concurrence Portrait Amérique enfants,

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

    2007 femmes

    Peinture de Mark Eliot Lovett

     

     

     

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    Tamara de LEMPICKA

    Années folles et art déco

    Tamara de LempickaTamara de Lempicka est née le 16 mai 1898, à à Moscou et non à Varsovie, en Pologne.
    Issue d'un milieu aisé, elle s'instale en 1914 à Saint-Pétersbourg pour se former à la peinture.

     

    C'est là-bas qu'elle rencontrera Tadeusz Lempicki, un avocat russe qu'elle épouse en 1916. La Révolution d'octobre fera fuir le couple qui s'installera à Paris, mais Tadeusz supporte mal d'avoir perdu sa vie privilégiée et refuse de travailler. Le couple bat de l'aile.

      

    Tamara de Lempicka décide d'entamer une carrière de peintre.
     

      

    En 1920, à l'Académie de la Grande Chaumière, elle reçoit l'enseignement de Maurice Denis et d'André Lhote.

     

     

     

    Autant passionnée par le cubisme que par la peinture d'Ingres ou encore celle de Pontormo dont elle part copier

     

    Afficher l'image d'origine

     

    les œuvres en Italie, Lempicka a son style à elle, tout à la fois décoratif, élégant et sculptural, dès 1922, date à laquelle elle présente un portrait au salon d'Automne.

     

     

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    Le succès ne tarde pas et le peintre immortalise la bohème parisienne de son temps : André Gide, Suzy Solidor, de riches industriels, des princes russes émigrés, etc.

      

     

      

    Lempicka fréquente Paul Poiret ou encore Georges Braque.
    Les peintures de Tamara de Lempicka frisent régulièrement le scandale :

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    ses personnages féminins sont souvent garçonnes, ses ambiances parfois équivoques.

     

      

    Elle divorce en 1928 pour se remarier, en 1933, avec le Baron Raoul Kuffner (décédé en 1960).

     

    Ce nouveau changement de statut social lui fera perdre de vue le monde artistique de l'époque autant à titre personnel que dans son œuvre.

     

      

      

    Fuyant la guerre, Lempicka s'installe aux Etats-Unis.

     

    Après-guerre, son œuvre tombe dans un profond oubli jusqu'à ce que la mode Art déco, revenue en vogue dans les années 1970, fasse ressurgir son nom.

     

    Afficher l'image d'origine

      

    Tamara de Lempicka n'est sans doute pas une artiste majeure du XXe siècle : sa production pléthorique et par trop homogène manque de chefs d'œuvre, elle aura avant tout marqué l'histoire de la peinture par un style reconnaissable entre tous, charmant, un peu lisse et totalement en phase avec ces années folles de l'entre-deux-guerres qui se sont plues, par elle, à se regarder vivre.
    Tamara de Lempicka décède le 18 mars 1980 à Cuernavaca, au Mexique.

      

     

        Site de Tamarahttp://www.delempicka.org/ 

      

      

    Oeuvres de LEMPICKA

    Calla LiliesAmethysteKizette au balconAdam et EvePortrait du Dr BoucardJeunes fillesJeune fille endormieLe ModelePrintempsMère SupérieurePortrait de Marjorie FerrySummerAutoportrait à la voiture vertePortrait de la duchesse de SalleJeune fille aux gantsLa Dormeuse

    CLIQUER SUR l'IMAGE pour agrandir LE TABLEAU

      

     

     

     

     

    Photo

     

     

    Portrait of Marquis Sommi, 1925, Tamara de Lempicka

     

     

     

     

     

     

     

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    Dans l'intimité des frères Caillebotte

     

     

     

     

    La mise en regard inédite des tableaux de Gustave et des photographies de Martial invite le visiteur à entrer dans l’intimité d’une grande famille parisienne et à plonger dans la nouvelle vie citadine qui s’installe à l’aube du XXe siècle. Les frères Caillebotte se font en effet les témoins d’une époque en pleine mutation urbaine et technique, mais aussi d’un art de vivre si souvent illustré par les artistes impressionnistes.

      

    UNE EXPOSITION INEDITE

    La renommée de Gustave Caillebotte, connu pour son talent de peintre et son rôle de mécène auprès de ses amis impressionnistes, est établie. On sait également qu’une grande affection le liait à son frère Martial. Mais la personnalité de ce dernier, compositeur, pianiste et photographe, restait encore à découvrir. Récemment étudié, le fonds photographique de Martial témoigne d’une grande sensibilité pour des thèmes représentés dans les toiles de Gustave : les vues de Paris, les voiliers, les jardins ou les bords de l’eau.
      
    Cette découverte offre au Musée Jacquemart-André l’opportunité de faire ce qu’aucun musée n’avait encore proposé : confronter directement les photographies de Martial aux œuvres de Gustave. Grâce à des prêts exceptionnels de collections privées et publiques, l’exposition dévoile les affinités profondes qui unissaient les frères Caillebotte, en faisant dialoguer pour la première fois plus de 35 toiles et près de 150 tirages modernes.
      
    Ces tirages ont été réalisés à partir des originaux de Martial.
      
    Certains des tableaux, conservés dans des collections privées, n’ont jamais été présentés au public.
     
      
     
    C’est ensemble qu’ils s’initient au yachting. Il se distingue dans tous ces domaines en remportant, par exemple, de très nombreuses régates sur les voiliers conçus par Gustave. En peinture ou en photographie, ce sont ces centres d’intérêt communs que les frères Caillebotte représentent, restituant ainsi les multiples facettes de leur environnement.
      
    Par petites touches, ils évoquent la douceur de vivre qui caractérise leur quotidien foisonnant, entre le nouveau Paris haussmannien et les loisirs en famille. Résidant dans les nouveaux quartiers conçus par le baron Haussmann, Gustave et Martial sont les témoins privilégiés des transformations urbaines que connaît Paris à cette époque.
     
      
      
    Ils sont fascinés par les symboles de la modernité que sont les ponts ou les chemins de fer et l’animation des rues parisiennes est un de leurs sujets de prédilection.
      
      
      
      
      
    Ils éprouvent également un vif intérêt pour les activités de plein air. Si l’art des jardins retient leur attention, ces passionnés de navigation se plaisent tout particulièrement à représenter voiliers, canotiers et baigneurs. Mais ils portent aussi un regard tendre et parfois amusé sur leurs proches, dont ils représentent les tranquilles occupations familiales dans un cadre de vie intime.
      
    Déjeuners et parties de cartes, promenades et lectures rythment les journées et sont autant de thèmes que les deux frères affectionnent.Musée Jacquemart-André du 25 mars au 11 juillet 2011, 158 boulevard Haussmann, PARIS
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    La naissance de l'Impressionnisme

      

    Caillebotte naît en 1848 d'un père qui a su tirer profit des aménagements de Paris du Baron Haussmann. Après une licence de droit, Caillebotte se destinera à la peinture et entrera à l'Ecole des Beaux-arts en 1873.

    Héritier de la fortune de son père, et donc libéré de toute contingence matérielle, il deviendra le mécène de ses amis : les peintres qui vont devenir les Impressionnistes.

    Collectionneur avisé et mécène.

     Le collectionneur et mécène

     Dès le moment où caillebotte se lie aux impressionnistes, il ne cesse de les aider et ce toujours discrètement. Il achète des toiles aux artistes, finance les expositions impressionnistes.

      

      

    Mais au-delà du mécène et du collectionneur, une amitié durable le lie à la plupart des peintres impressionnistes, comme en témoigne sa correspondance. Il aide financièrement ses amis qui sont dans le besoin, sans nécessairement acheter des toiles, il loue un appartement à Claude Monet près de la gare Saint-Lazare, lui fournissant l'argent nécessaire à l'achat de matériel pour la peinture.

      

      

      

    Il ne cesse d'aider Camille Pissarro. Auguste Renoir et le collectionneur sont très proches puisque dès 1876, Caillebotte en fait son exécuteur testamentaire et en 1885, il est le parrain du premier fils de Renoir et d’Alice Charigot, sa future épouse.

      

    Au Petit-Gennevilliers où Caillebotte s'installe définitivement en 1888, il reçoit la visite de ces amis comme Monet, Gustave Geffroy, Octave Mirbeau ou encore Renoir qui est un familier du lieu.

     

      

    A la dissolution du groupe des impressionnistes en 1887, Caillebotte permet de maintenir les liens entre les différents artistes en maintenant la tradition des dîners, qui réunissaient peintres et littérateurs, d'abord au café Guerbois, puis à la Nouvelle Athènes.

      

    C'est au Café Riche qu'avaient désormais lieu tous les mois ces réunions, et selon les souvenirs de Pierre Renoir, c'était Caillebotte qui payait pour tout le monde.

     La composition exacte de la collection est difficile à préciser, en effet la désignation exacte n'en a pas été faite par le donateur. Gustave Caillebotte commence sa collection dès le début de l'Impressionnisme.

     

    Caillebotte Gustave Portrait of Henri Cordier

      

    Il achète sa première toile en 1876, une œuvre réalisée par Claude Monet en 1875 intitulée Un coin d'appartement.

      

    Il choisit avec goût et discernement parmi les peintres impressionnistes, ceux qui devaient par la suite, être reconnus comme les maîtres de la peinture de la fin du XIXe siècle.

      

      

      

    L'examen des peintures acquises par Caillebotte montre que presque toutes appartiennent à la période impressionniste de chaque peintre et représente ainsi les différents aspects que pris l’impressionnisme de 1874 à 1886.

      

      

    Une exception est à souligner avec les œuvres de Jean-François Millet et de Paul Gavarni qui sont des dessins, les seuls de la collection, et dans les peintures de Edouard Manet et Paul Cézanne. Ces artistes sont d’ailleurs moins largement représentés dans la collection.

     

    Ce sont les œuvres de la belle époque impressionniste de Renoir qui le représentent. Renoir, à l’époque de La Balançoire (1876, musée d'Orsay) et du Moulin de la Galette (1876, musée d'Orsay), pratique plusieurs techniques.

      

      

    Certaines de ces œuvres sont d’une facture lisse, tandis que d’autres, aux touches séparées, aux empâtements granuleux relèvent de la technique impressionniste.

      

    Paris

      

    Or c’est bien cette technique que l’on retrouve dans les œuvres choisies par Caillebotte comme La Liseuse (1874-1876, musée d'Orsay.

      

    De même avec l’œuvre de Degas, le choix des Femmes à la terrasse d'un café, le soir (1877, musée d'Orsay) montre bien que le collectionneur recherche dans les œuvres de ses camarades impressionnistes celles qui sont le plus caractéristiques par la nouveauté de leurs conceptions artistiques.

      

      

    Avec ce pastel, Caillebotte choisit une des premières scènes de Degas représentant ces types de cafés et de café-concerts, qui font partie des thèmes favoris du Naturalisme et de l’Impressionnisme.

      

      

    Comme l'a remarqué P. Lemoisne : « vers 1878, il garde dans ses peintures son faire lisse et harmonieux de la belle époque alors qu’il a déjà adopté pour ses pastels une facture plus heurtée » et des oppositions de couleurs plus hardies.

      

      

      

    La préférence du collectionneur pour les œuvres impressionnistes est encore mise en évidence par le fait que les nombreuses œuvres de Pissarro se situent entre les années 1871 et 1879.

      

      

    Sa manière néo-impressionniste n’est pas représentée dans la collection. Les mêmes constatations pourraient être faites à propos du choix des œuvres de Monet et d'Alfred Sisley.

      

    Il cesse d'acquérir des œuvres en 1886, date de la dernière exposition impressionniste.

     

     

      

    Le « scandale » du legs de Gustave Caillebotte

      

     C’est le legs de Caillebotte qui ouvrit aux impressionnistes les portes des musées nationaux.

      

    Cette collection a été créée à l’époque même qui vit naître les peintres qui la composent.

      

    Au moment où il prenait place dans les rangs des impressionnistes, Gustave Caillebotte avait déjà commencé sa collection.

      

    Son premier testament par lequel il léguait à l’État les tableaux qu’il possédait, fut rédigé le 3 novembre 1876 ;

      

      

    la liste des tableaux n’était pas encore dressée, mais il est évident en raison de la date même du testament, qu'il ne pouvait y avoir alors qu’une partie des œuvres qui constituèrent, quelques années plus tard la collection.

      

    Un codicille du testament concernant une exposition à organiser en 1878, nous apprend déjà quels sont les peintres qui bénéficieront de sa sollicitude.

    Ce sont Degas, Monet, Pissarro, Renoir, Cézanne, Sisley et Berthe Morisot.

      

    C'est le brusque décès de son frère René, à l'âge de vingt-six ans, à l'automne 1876, qui le conduit, déjà persuadé, à rédiger son premier testament en 1876:

      

      

    « Je donne à l’État les tableaux que je possède; seulement comme je veux que ce don soit accepté et le soit de telle façon que ces tableaux n'aillent ni dans un grenier ni dans un musée de province mais bien au Luxembourg et plus tard au Louvre, il est nécessaire qu'il s'écoule un certain temps avant l'exécution de cette clause jusqu'à ce que le public, je ne dis pas comprenne, mais admette cette peinture.

     

     

      Caillebotte Gustave The Yerres Rain aka Riverbank in the Rain

    Ce temps peut être de vingt ans ou plus; en attendant, mon frère Martial et à son défaut un autre de mes héritiers les conservera.

      

    Je prie Renoir d'être mon exécuteur testamentaire et de bien vouloir accepter un tableau qu'il choisira; mes héritiers; mes héritiers insisteront pour qu'il en prenne un important ».

      

     Le 11 mars 1894, Renoir informait par une lettre la direction des Beaux Arts, Henri Roujon, que Gustave Caillebotte décédé le 21 février 1894, avait légué à l'État sa collection comprenant soixante œuvres environ, de Degas, Cézanne, Manet, Monet, Renoir, Pissarro et Sisley.

      

    Plus de dix sept ans s’étaient écoulés depuis le jour où Caillebotte décidait de léguer ses œuvres à l'État.

      

      

    De vives protestations accompagnèrent le legs.

      

    Une protestation qui provient des artistes officiels mais également des politiques.

      

    L'Académie des beaux-arts protesta officiellement contre l'entrée de ces tableaux au musée du Luxembourg, en qualifiant l'événement

      

    d'« offense à la dignité de notre école ».

     

     

    Gustave CAILLEBOTTE

      

      

    Le peintre Jean-Léon Gérôme écrit dans le Journal des Artistes : « Nous sommes dans un siècle de déchéance et d’imbécillité.

      

    C’est la société entière dont le niveau s’abaisse à vue d’œil… Pour que l’État ait accepté de pareilles ordures, il faut une bien grande flétrissure morale. »

      

      

     Le 19 mars 1894, l'ensemble du Comité étudie les œuvres offertes, elles sont présentées dans un atelier situé au 11 boulevard de Clichy, loué à cet effet par Renoir, en présence de celui-ci et de Martial Caillebotte.

      

     

      

      

      

    Dans le procès-verbal de la séance du Comité consultatif du 20 mars, il est noté que les deux hommes auraient été informés que l'entrée d'une œuvre au Louvre ne pouvait être examinée qu'au minimum dix ans après la mort de son auteur, et que le manque de place au Luxembourg, et la limitation à trois œuvres de chaque artiste représenté, rendaient impossible l'exposition de tous les tableaux composants le legs.

      

     

      

      

    Dès le lendemain, le Comité consultatif des musées nationaux vote pourtant l'acceptation du legs dans son intégralité « pour les musées nationaux avec placement au musée du Luxembourg ».

      

    Le Comité accepte en plus une toile de Gustave Caillebotte, Les Raboteurs de parquet, donnée par ses héritiers. Bénédite précise que la place manque au Luxembourg pour exposer même le tiers de la collection mais « estime qu'il serait possible de construire sur la terrasse du musée un baraquement provisoire où serait réuni le legs Caillebotte ».

      

    Le 17 janvier 1895, le Directeur des Beaux-Arts organise une réunion dans son cabinet avec les représentants de l'Administration et les notaires. Sont présents Martial Caillebotte et Auguste Renoir.

     

     

      

    De cette consultation, il est conclu qu'une exécution rigoureuse du testament est difficilement réalisable et qu'il faut maintenant trouver une solution acceptable à tous les partis. Il est décidé que l'Administration choisira les tableaux qu'elle veut exposer. Martial Caillebotte deviendra possesseur des autres œuvres.

     

      

      

    Les raisons données par l’administration sont les suivantes : tout d'abord l’étroitesse des locaux du musée du Luxembourg, qui ne permet plus de laisser entrer aucun ouvrage sans en retirer un autre ; et les règlements qui, par un sentiment d'équité, limitent le nombre des ouvrages pour un même artiste.

      

    La proposition est finalement arrêtée en janvier 1895.

      

    L'approbation du Conseil d'État met un certain temps. Mais un décret ministériel finira, le 25 février 1896, par autoriser le choix des œuvres qui a été décidé. On construit alors une annexe au musée du Luxembourg pour y accrocher ces œuvres.

      

    Puis le 23 novembre 1896, les œuvres de la collection sont officiellement remises à l'État. La collection réduite est présentée au public au début de l'année 1897 dans une des trois nouvelles salles de l'annexe du Luxembourg consacrée aux impressionnistes et au legs Caillebotte.

     

     

      

    Les salles furent construites sur la terrasse du musée. Ainsi, plus de vingt ans après la rédaction du testament les œuvres entrèrent dans les musées nationaux. Le transfert du legs Caillebotte au musée du Louvre eut lieu en 1929.

      

    Entre temps s'était tenu une rétrospective Caillebotte au Salon d'automne de 1921. Après la guerre, en 1947, s'ouvre le musée de l'Impressionnisme au Jeu de Paume. La collection sera transférée au musée d'Orsay à son ouverture en 1986.

     

     

      

      

    En 1874, il aide à l'organisation de la première exposition Impressionniste, mais ce n'est qu'en 1876 qu'il exposera avec eux, après que son tableau

    "Les raboteurs de parquet" ait été refusé au Salon Officiel l'année précédente.

      

     

      

      

    Dans cette oeuvre, la manière de Caillebotte est déjà toute entière présente. Il s’attachera toujours à rendre ces évènements quotidiens, en privilégiant un dessin clair, un cadrage efficace.

      

      

    Gustave Caillebotte, les Raboteurs de parquet

    Les Raboteurs de parquet (1875), peinture de Gustave Caillebotte.

    (Musée d'Orsay, Paris.)

     

    Témoin du bouleversement architectural de Paris, Caillebotte peint ce pont qui enjambe les voies de chemin de fer. Vision industrielle d'une capitale en pleine mutation. Avec cette oeuvre qui célèbre le renouveau de Paris, Gustave Caillebotte s'intéresse à une ville remodelée par les grands travaux entrepris sous le règne de Napoléon III.

      

    Après 1882, son style évoluera dans une recherche plus proche de celle de l'Impressionnisme avec un travail plus tourné vers les variations de lumière, notamment dans les paysages.

     


     A noter que Zola disait de son oeuvre :

    "Caillebotte a exposé Les Raboteurs de parquet et Un jeune homme à sa fenêtre, d'un relief étonnant.

      

      

    Seulement c'est une peinture tout à fait anti-artistique, une peinture claire comme le verre, bourgeoise, à force d'exactitude.

     

    Gustave Caillebotte, <i>Jeune homme à sa fenêtre</i>

      

    Gustave Caillebotte, Jeune homme à sa fenêtre

    Jeune homme à sa fenêtre (1875). Peinture à l'huile de Gustave Caillebotte. (Collection particulière.)

     

     

    Gustave Caillebotte, 586

    Gustave Caillebotte

      

    La photographie de la réalité, lorsqu'elle n'est pas rehaussée par l'empreinte originale du talent artistique, est une chose pitoyable".

     

     

      

    Ce qui prouve bien que l'on peut être un grand écrivain, ami de nombreux peintres, et ne pas comprendre grand chose à la peinture. Caillebotte et Cézanne peuvent en témoigner...


    Gustave Caillebotte, 600

      

      

    Caillebotte meurt à Gennevilliers en 1894 en léguant à l'état une très importante collection des œuvres de ses amis. Un scandale éclatera en 1897 lors de l'exposition de ces toiles... De nos jours, les Impressionnistes sont pourtant devenus les peintres préférés du public.

     

    Gustave Caillebotte, 601 

    Oeuvres de Caillebotte

     

     

    Bassin d'ArgenteuilCaillebotte- Au caféCaillebotte - Autoportrait à la paletteCaillebotte - Au balconCaillebotte - BalconCaillebotte 06Caillebotte 07Caillebotte - Chaumière à TrouvilleCaillebotte - Fruits à l'étalageCaillebotte 10Caillebotte 11Caillebotte 12Caillebotte 13Caillebotte 14Caillebotte 15Caillebotte 16Caillebotte 17Caillebotte 18Caillebotte 19Caillebotte 20Caillebotte 22Caillebotte 23Caillebotte 24Caillebotte 25

     

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     Gustave Caillebotte, 606

    Dans l’intimité des frères Caillebotte,
    peintre et photographe.

     

     
     
    - Les photos mises sur un mur dialoguent
    avec les peintures proposées de son frère.

     

     

     

     

     

    On découvre une vie d'une vraie famille,
    du temps où celle ci avait encore une valeur...

     

     

      

     


    Qu'il était normal pour un garçonnet
    de porter une longue chevelure jusqu'à ses 10 ans...

     

     

     

    On quitte Paris qui se transforme sous Haussmann
    et l'ambiance feutrée des intérieurs parisiens,
    pour des plaisirs simples :
    Le goût des confitures, du potager,

    Gustave Caillebotte, 591

    Gustave Caillebotte 

    Gustave Caillebotte, 598

    mais aussi du bords de l'eau
    si familiers à l'époque

     

    (Monet, Renoir les ont peints aussi),
    les joies au bord des rivières en été...

    Baigneurs, bords d'Yerres
    Huile sur toile - 1878 - Collection particulière
    Source : catalogue de l'exposition.
     

     

    Bref, nous sommes emportés par un diaporama
    d'émotions laissé par une famille
    et nous en sortons avec un certain regret...
    Mais en se disant que nous avons eu de la chance
    de partager ces moments inédits
    vu que la plupart des tableaux
    regagneront leurs heureux et chanceux propriétaires

     

     

    Gustave et ses trois enfants à la plage

     

    la plupart venant de collections privées!

     

     

     

     

     

    Gustave CAILLEBOTTE «Les Soleils, jardin du Petit-Gennevilliers»  

      
      Gustave Caillebotte, 597
      
     
     
     
     

     

    Le Potager Caillebotte à Yerres dans l’Essonne

     

     

     
    Le Potager Caillebotte
    Concours National Jardins potagers 2009 ©
     

    Grand Prix du Concours National
    Cat. "Jardin ou parcelles pédagogiques"

     
    Voici ce qu’en a dit le jury : "Imaginez le célèbre tableau 'Les jardiniers' qui prend vie devant vous avec ses légumes et ses cloches de verre. Les légumes d’une grande richesse au niveau des espèces et des variétés cultivées sont resplendissants. Ils se mêlent harmonieusement aux fleurs dans un agencement classique et rationnel du plus bel effet. Des lutins sur un chevalet, des panneaux, des étiquettes informent le visiteur sur chaque plante, son origine, son histoire et ses utilisations. Chaque variété est identifiée et référencée.

      

      

      

    La collection de tomates est impressionnante :

      

    90 variétés dont des variétés franciliennes avec l’appui du conservatoire de Savigny le temple et des 'créations' locales nées de la passion des jardiniers bénévoles qui cultivent et font vivre ce jardin."

     

      

    Gustave Caillebotte, 595 

     

     

      

     

     

    Dans l'intimité des frères Caillebotte

     

     

     

     

    La mise en regard inédite des tableaux de Gustave et des photographies de Martial invite le visiteur à entrer dans l’intimité d’une grande famille parisienne et à plonger dans la nouvelle vie citadine qui s’installe à l’aube du XXe siècle. Les frères Caillebotte se font en effet les témoins d’une époque en pleine mutation urbaine et technique, mais aussi d’un art de vivre si souvent illustré par les artistes impressionnistes.

     

    UNE EXPOSITION INEDITE

    La renommée de Gustave Caillebotte, connu pour son talent de peintre et son rôle de mécène auprès de ses amis impressionnistes, est établie. On sait également qu’une grande affection le liait à son frère Martial. Mais la personnalité de ce dernier, compositeur, pianiste et photographe, restait encore à découvrir. Récemment étudié, le fonds photographique de Martial témoigne d’une grande sensibilité pour des thèmes représentés dans les toiles de Gustave : les vues de Paris, les voiliers, les jardins ou les bords de l’eau.
     
    Cette découverte offre au Musée Jacquemart-André l’opportunité de faire ce qu’aucun musée n’avait encore proposé : confronter directement les photographies de Martial aux œuvres de Gustave. Grâce à des prêts exceptionnels de collections privées et publiques, l’exposition dévoile les affinités profondes qui unissaient les frères Caillebotte, en faisant dialoguer pour la première fois plus de 35 toiles et près de 150 tirages modernes.
     
    Ces tirages ont été réalisés à partir des originaux de Martial.
     
    Certains des tableaux, conservés dans des collections privées, n’ont jamais été présentés au public.
     
     
     
    C’est ensemble qu’ils s’initient au yachting. Il se distingue dans tous ces domaines en remportant, par exemple, de très nombreuses régates sur les voiliers conçus par Gustave. En peinture ou en photographie, ce sont ces centres d’intérêt communs que les frères Caillebotte représentent, restituant ainsi les multiples facettes de leur environnement.
     
    Par petites touches, ils évoquent la douceur de vivre qui caractérise leur quotidien foisonnant, entre le nouveau Paris haussmannien et les loisirs en famille. Résidant dans les nouveaux quartiers conçus par le baron Haussmann, Gustave et Martial sont les témoins privilégiés des transformations urbaines que connaît Paris à cette époque.
     
     
     
    Ils sont fascinés par les symboles de la modernité que sont les ponts ou les chemins de fer et l’animation des rues parisiennes est un de leurs sujets de prédilection.
     
     
     
     
    Ils éprouvent également un vif intérêt pour les activités de plein air. Si l’art des jardins retient leur attention, ces passionnés de navigation se plaisent tout particulièrement à représenter voiliers, canotiers et baigneurs. Mais ils portent aussi un regard tendre et parfois amusé sur leurs proches, dont ils représentent les tranquilles occupations familiales dans un cadre de vie intime.
     
    Déjeuners et parties de cartes, promenades et lectures rythment les journées et sont autant de thèmes que les deux frères affectionnent.Musée Jacquemart-André du 25 mars au 11 juillet 2011, 158 boulevard Haussmann, PARIS

      

    Gustave Caillebotte, 587  

      http://www.riccart.com/francais/Gustave-Caillebotte.htm

     

     

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    palette peintre delacroix Des palettes de peintres célèbres

    Eugène Delacroix

      

     

    palette peintre renoir Des palettes de peintres célèbres
    Auguste Renoir

    palette peintre seurat Des palettes de peintres célèbres
    Georges Seurat

    palette peintre degas Des palettes de peintres célèbres
    Degas

     

    palette peintre moreau Des palettes de peintres célèbres
    Gustave Moreau

     


     

    palette peintre gaughin Des palettes de peintres célèbres
    Paul Gauguin


     

     

    palette peintre vangogh Des palettes de peintres célèbres
    Vincent van Gogh

    ( Source )

      

      

      

      

     

     

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    Antonio de La Gandara

      

      

    Surnommé le gentilhomme peintre par Edmond de Goncourt, Antonio de La Gandara, reste célèbre pour ses portraits féminins.

      

    Ses débuts, dans la mouvance des Hydropathes et du Chat Noir, furent marqués par l’admiration vouée à Goya et Velásquez auxquels il emprunta la palette.

     

     

    942631LA_GANDARA_de_A.__Portrait_de_Mademoiselle_L..jpg

    Portrait de Mademoiselle L.

      

    Après sa rencontre avec Robert de Montesquiou, naquit sa vocation de peintre mondain. Dans ses représentations, il recherche en tout l’élégance: celle du costume, de l’attitude, de l’expression.

      

    Il utilise des colorations atténuées, des atmosphères qui enveloppent précieusement ses modèles. Inspiré par les ambiances de Whistler, il a été le peintre de la femme distinguée, habillée par les grandes maisons de couture telles Worth, Paquin, Chéruit… Il y a dans la traduction en pied de ses modèles, de la vaporeuse et svelte grâce anglaise à la Gainsborough.

      

    Ses personnages « semblent prêts à descendre de la toile tant ils sont vivants » et c’est pour cela que sa production était tant recherchée aux vernissages des grandes expositions.

      

    File:Antonio de La Gandara self portrait.png

      

    Le maître a peint la comtesse de Noailles, la princesse de Chimay, l’infante Eulalie, Sarah Bernhardt, la grande duchesse de Mecklembourg, la comtesse Greffulhe, madame d’Annunzio, la comtesse de Montebello, Liane de Pougy, madame Gautreau, Polaire et bien d’autres.

      

     

    File:Antoniodelagandara- Madame Pierre Gautreau 1898.jpg
     

    Madame Pierre Gautreau

     

    "Combien j'adore vos femmes, vous avez spiritualisé et mystérieusement étendu leur élégance par votre art, le transformant en rêve..." (Albert Samain)

    Il a aussi excellé dans les pastels et nous a laissé de délicieuses natures mortes inspirées par Chardin et Ribot. On n’oubliera pas non plus sa vocation de peintre des jardins où il promena une mélancolie qu’il a bien traduite dans ses toiles du Luxembourg ou celles des parcs parisiens.

      

    File:Antonio de la Gandara.jpg

     

      

    A paraître en mai 2011, un ouvrage nous invite à redécouvrir ce peintre oublié, dont les représentations empreintes de grâce et de féminité nous replongent dans la bonne société de la Belle Epoque.

    "Ses portraits ont cette élégance hautaine et lointaine qui se retrouve dans les romans d'H. de Régnier..." (Guillaume Apollinaire)

     

    939696LA_GANDARA_de_A.__Portrait_d_Andr__Rouveyre.jpg

    Portrait d'André Rouveyre

    Membre de la Société de l’Histoire de l’Art français, Xavier Mathieu a entrepris un long travail sur son ancêtre. Ce livre, une biographie illustrée, est la résultante de rencontres, de patientes investigations et d’heureuses découvertes.

      

    C’est aussi le roman d’une vie que nous vous invitons à parcourir.

    Pour souscrire à la parution de cet ouvrage, merci de suivre ce lien.

     

     

    694055Ida_Rubinstein_XM_arrondi.jpg

    Ida Rubinstein

    Le site d'Antonio de la Gandara

     

    sources

    http://celineexcoffon.blogs-de-voyage.fr/tag/belle%20epoque

    Blog de Madame La belle epoque : Céline Excoffon   

     

     

     

     

    La Gandara, dont le père était espagnol originaire de San Luis Potosi au Mexique et la mère française, éduquée en Angleterre, est influencé par trois cultures. En mars 1878, lorsqu'il est admis à l'âge de 17 ans à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, où il est élève de Cabanel, l'assiduité de son travail attire l'intérêt du prestigieux Gérôme.

     

    Portrait de Jean-Pierre Dubost

     

    On le retrouve proche de Rodolphe Salis, fondateur du Chat noir, et contribuant au Salon des Incohérents. C'est alors qu'il se lie d'amitié avec Rivière, Goudeau, Steinlen, Caran d'Ache et Willette.

     

     

    Les petits comtes de Pierredon

     

    Il expose pour la première fois au Salon des Champs-Élysées de 1883.

    L'année 1884 lui accorde la mention honorable du jury du Salon pour son Portrait de Saint-Sébastien.

      

    Aude de Montesquiou

      

    En 1885, peu fortuné et toujours inconnu, Gandara rencontre

    le comte Robert de Montesquiou, dont il fait un portrait qui plaît

    au mécène, pourtant exigeant.

     

    Portrait Madeleine Morlet

      

      

    Il le présente à quelques amis, parmi lesquels la comtesse Jean de Montebello, dont il reproduit l'image gracieuse vêtue de mousseline blanche, la taille petite, la tête couverte d'un chapeau qu'une main légère semble protéger du vent.

    Puis la baronne Adolphe de Rothschild, la comtesse Greffulhe, Anna de Noailles, et même madame Gautreau, la fameuse « Madame X » de Sargent, s'intéressent à ce Gandara que toutes s'accordent à trouver beau[réf. souhaitée].

    Antonio côtoie Edmond de Goncourt dont il fréquente "le Grenier", Anatole France, Alphonse Daudet, Mecislas Goldberg, Jean Moréas, et d'autres auteurs menant une vie moins conventionnelle : Paul Verlaine, Jean Lorrain et Colette.

     

    JPEG - 91.3 ko

    9. Antonio de La Gandara (1861-1917)
    Portrait de la comtesse de Noailles, 1899

     

    Des musiciens, aussi : Reynaldo Hahn, Paderewski, Camille Saint-Saëns et Gabriel Fauré. Mais aussi la grande-duchesse de Mecklembourg, le prince Edmond de Polignac, Leconte de Lisle, le prince de Sagan, Paul Verlaine, Jean Moréas, Anna de Noailles, Jean Lorrain, Jean-Joseph Carriès, Sarah Bernhardt, Colette, Romaine Brooks, et tant d'autres personnages célèbres et moins connus de cette époque riche en création artistique.

     

      

    Vers 1900, Antonio de La Gandara est au sommet de sa gloire, recherché en Europe et aux États-Unis, où il expose, et en Argentine. Émile Verhaeren le dit influencé par Jean Siméon Chardin, et Whistler par lui-même.

      

    La petite fille en jaune

      

    Le Larousse mensuel illustré d'octobre 1917 le rapproche de Zurbaran et de Diego Vélasquez. D'autres croient reconnaître dans sa technique le reflet de son admiration pour Goya. William B. Denmore du Metropolitan Magazine, au contraire, insiste sur l'individualisme de son style.

     

    Il se fait des ennemis parmi ses rivaux jaloux ou, selon la rumeur, les maris dépités. On le voit souvent en compagnie de l'actrice Polaire, de l'épouse de Gabriele D'Annunzio, de Liane de Pougy, ou d'Ida Rubinstein.

    Princesse de Noailles

      

    Est-ce pour plaire à ses modèles, ou parce qu'il les voulait trop belles ? Peu à peu la critique souligne son attachement à la mode du jour (il collabore notamment avec La Gazette du Bon Ton) et le conservatisme des traits tandis que d'autres, comme Boldini, font preuve de plus de nervosité, ou expérimentent, comme le jeune Picasso.

    Pourtant, la renommée est loin de l'abandonner.

      

    La Gazette des Beaux-Arts estime, en 1910, que « M. de La Gandara atteint cette année la perfection que son art peut donner ».

      

    Le Figaro illustré lui fait l'honneur de sa première page.

    Le journal de la "Buffalo Fine Arts Academy" le décrit comme l'un des peintres contemporains les plus recherchés et les plus remarquables. L'Écho de Paris qualifie son portrait d'Ida Rubinstein de rare et parfait.

     

      

     

    Vient la guerre.

    Des amis lui écrivent du front, racontant les horreurs des tranchées.

      

    Gandara se montre généreux envers les œuvres de soutien aux combattants et à leurs familles.

      

    Mais le dernier jour de juin 1917, son ami André Rouveyre annonce à Diaghilev, Fokine, Karsavina, Picasso et Marcelle Meyer la mort de La Gandara, qui n'avait alors que 55 ans.

      

    Surnommé le « peintre-gentilhomme », admiré des femmes pour sa beauté et de tous pour sa distinction, Antonio de La Gandara repose au

    cimetière du Père-Lachaise à Paris.

      

    Maria Hardouin D'Annunzio

     

    Œuvres

     

    On retient aujourd'hui de cet artiste ses portraits, par exemple celui, en pied, de la danseuse et mécène Ida Rubinstein (1913), des vues de Paris et des natures mortes.

    Quelques œuvres inhabituelles, comme Trois Don Quichotte et La Belle et la Bête, mais aussi les lithographies d'une grande délicatesse qu'il produisit vers 1895 et 1896 et qui attirèrent l'attention du public lors des expositions Art nouveau chez Bing.

    Antonio de La Gandara illustra quelques ouvrages littéraires dont

      

    Les Danaïdes de Camille Mauclair et une rare édition des Chauves-souris du poète Robert de Montesquiou.

    Il exposa à Bruxelles, à New York, à Boston, à Saragosse, à Barcelone, à Munich, à Berlin, à Dresde, villes où la critique souligna les qualités de ce peintre qui refusait de se plier aux courants artistiques à la mode de son temps.

      

    Mais de son temps il fut un témoin exceptionnel.

      

    Un acteur, aussi, pour Edmond de Goncourt, Jean Lorrain, Marcel Proust, André Rouveyre, Apollinaire, ou pour le comte de Montesquiou qui le citent dans leurs œuvres.

     

     

     

      

     

     

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    Quelques tableaux de la Belle Epoque…

     

     

    « Boulevard Montmartre », Camille PISSARRO (1897)

      

    Ce tableau impressionniste est une peinture à l’huile de Camille PISSARRO réalisée en 1897. Il a été peint sur une toile de 65×54 cm. Il représente le célèbre boulevard Montmartre, une place importante de Paris, où nous voyons qu’il y a énormément de voitures et de monde. Les couleurs rappellent l’automne, le sol et les bâtiments sont beige/marron clair, il y a du noir pour les voitures et du blanc pour le ciel. Ce tableau rappelle l’automne, et représente bien la Belle Epoque et la prospérité de la ville.

     

     

    «Montmartre », Vincent VAN GOGH

      

    Ce tableau a été peint par Vincent Van Gogh au XIXe siècle, il fait partie du style expressionniste. Les couleurs me rappellent l’automne, les couleurs sont assez basées sur le jaune, le marron et l’ocre. Sur le tableau il y a de la profondeur grâce aux différents plans, au premier plan il y a des lampadaires et au dernier plan les quatre personnages du tableau.

    Les branchages sur le côté donnent un effet de mouvement causé par le vent. La scène se déroule sûrement au petit matin comme le montre la brume en arrière plan. Lorsque l’on regarde ce tableau, on voit en premier les lampadaires, on ne voit pas tout de suite les personnages.

     

     

    « La colline de Montmartre », Vincent VAN GOGH (1886)

      

    Ce tableau impressionniste a été peint par VAN GOGH à la fin du XIXe siècle. Il représente la butte de Montmartre en 1886, avec notamment ses carrières (qui ne sont pas représentées ici). Les couleurs sont un peu mornes, tristes. Le ciel est d’un bleu gris terne, les collines sont d’un vert sombre et nous voyons au premier plan des sortes de ruines. Tout en bas de la butte, il y a un homme, un paysan sans doute, en train de ratisser l’herbe. Ce tableau suggère un sentiment d’ennui et de monotonie, et évoque la grisaille de certains jours.

     

     

    « Le Moulin de la Galette », Vincent VAN GOGH (1886)

      

    Sur cette peinture nous pouvons voir le Moulin de la Galette à la Belle Epoque, en 1886. Il était en ces temps-là assez délabré, à ce qu’on peut voir, ou c’est du moins ce qu’a représenté VAN GOGH. Le moulin est situé en arrière-plan, et nous voyons qu’il était a l’époque entouré de végétations.

      

    Au premier plan, il y a des sortes de petites cabanes, qui ont l’air en ruines. Il est possible de voir en haut du moulin plusieurs drapeaux français, qui suggèrent la fierté nationale par cet endroit célèbre et très visité.

    Le Moulin de la Galette était également un lieu de consommation, où l’on pouvait boire, et un bal populaire s’y déroulait, où l’on venait danser et faire la fête ensemble.

     

     

     

    Bal au Moulin de la Galette, Pierre Auguste RENOIR

      

    Ce tableau fait partie des œuvres les plus importantes de RENOIR. Peint en 1876, il est présenté à la grande exposition impressionniste qui a eu lieu l’année suivante. Comme son titre l’indique, il représente le Bal du Moulin de la Galette, cité précédemment. Ce chef d’œuvre nous fait ressentir l’ambiance joviale et divertissante de cet établissement populaire. Plusieurs réactions négatives ont fusé au sujet d’une impression de dissolution des formes, cependant les touches vibrantes et colorées accentuent le mouvement de foule.

     

     

     

    « Danse au Moulin Rouge », Henri de TOULOUSE-LAUTREC

      

      

    Cette peinture représente un lieu mythique de l’époque : le Moulin Rouge. Ce célèbre cabaret était très visité pendant la Belle Epoque et est aujourd’hui encore une figure emblématique de cette période. TOULOUSE-LAUTREC en était un fidèle client, et c’est sans doute pourquoi il l’a représenté sur toile. Nous voyons ici plusieurs clients –femmes et hommes- en train de danser, ce qui suggère une impression de convivialité et un sentiment d’allégresse.

      

    Les hommes portaient des chapeaux et des costumes, et les femmes des robes, mais nous pouvons voir que tous portaient des vêtements plutôt chics, ce qui montre que la clientèle de cet endroit était plutôt de catégorie aisée. Par exemple, nous voyons au premier plan une femme avec une robe rose et un chapeau a fleurs, typique des femmes aisées de l’époque. De plus, nous voyons à gauche un homme dont le visage est coupé : cette technique rappelle celle de la photographie, qui apparaîtra en France quelques années plus tard.

      

      

    Superbe lien

    http://montmartredelabelleepoque.wordpress.com/quelques-tableaux-de-la-belle-epoque/  

     

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    Calderon, Philip Hermogenes - Margaret - Academic Art - Oil on canvas - Portrait - Manchester Art Gallery - Manchester, UK

     

     

     

     

     

    Philip Hermogenes Calderon (3 May 1833 – 30 April 1898)

    was an English painter of French birth (mother) and Spanish (father) ancestry who initially worked in the Pre-Raphaelite style before moving towards historical genre.

      

    He was Keeper of the Royal Academy in London.

     

     

     Philip Hermogenes Calderon

     

    Philip Hermogenes Calderon


    File:Calderon Broken Vows.jpg




    Philip Hermogenes Calderon (1833 – 1898) – Pintor Francês_18

     

    monsieurleprince:  Philip Hermogenes Calderon (1833-1898) - Farewell

     

     

     

     

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    Maximilien Colin - circa 1890-1892  

     

     

     

     

     

     

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    Edward Poynter - Pea Blossoms

     

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    Abbey Altson - Portrait of a Young Lady 

     

     

    Abbey Alston was a British classical painter. Born in Yorkshire, Abbey (Abraham) Alston moved to Melbourne, Australia to study in the early 1880s. After several years there and having won a Gold Medal for painting, he returned to England, stopping in Paris on the way to further his studies.

      

    He settled in London becoming a successful painter of portraits and genre pictures. He is best remembered today for his exercises in late classical painting, taking his lead from Lord Leighton, Alma Tadema, Waterhouse and Godward. Towards the end of his life he settled in America, where he died.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Laurits Andersen Ring

      

    Laurits Andersen, dit L.A.Ring, (né le 15 août 1854 à Ring, Seeland — mort le 10 septembre 1933, à Sankt Jørgensbjerg Sogn, Seeland) est un peintre symboliste danois. En 1881, prend le nom de sa ville natale et est depuis connu comme L. A. Ring.

     

     

     

    Pour un temps, il a vécu à Baldersbrønde près de Hedehusene dans le bâtiment d'une ancienne école, qui sera par la suite la demeure d'un autre peintre, Ludvig Find. Ring a réalisé plusieurs peintures de ces deux villes.

    La majorité de ces tableaux décrit la vie rurale et les paysages du sud du Seeland de Præstø à Næstved. Il y a plusieurs exemples de son oeuvre dans pratiquement tous les musées d'art du Danemark en incluant la Collection Hirschsprung à Copenhague.

    Il fut étudiant à l'Académie royale des beaux-arts du Danemark de 1875 à 1877 puis de 1884 à 1885.

    Il s'est marié le 25 juillet 1896 avec la peintre Sigrid Kähler, qui était la fille du céramiste Herman Kähler.

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    Laurits Andersen Ring

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

      

      

     

     

     

      

      

     

     

      

      

     

     

     

    Laurits Andersen Ring Girl looking out of a Skylight oil painting image

     

      

      

      

      

      

     

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    Le marché la nuit

     

    Petrus van Schendel

    File:Petrus Van Schendel.jpg

      

     Petrus van Schendel (1806–1870) was a Dutch Romantic painter, etcher and draughtsman. 

     

    Marché de nuit 1843

     

    File:Petrus van Schendel Market.jpg

    Marché de nuit

      

    File:Petrus van Schendel Der Liebesbrief.jpg

    Lettre d'amour

     

     

    File:Petrus van Schendel Lektüre bei Kerzenlicht.jpg

    1870

     

     

     

     

    File:Petrus van Schendel - Rivierlandschap in de zilveren maneschijn.jpg

     

    1843

     

     

     

     

     

     

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    Jacques Emile Blanche
    Portrait of a Baronne in Louis XVI Costume
    -1893

     

     

     

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    Ignacio Zuloaga Y Zabaleta

    "La Señora de Atucha (Portrait of Señora Atucha)."

     

     

    Ignacio Zuloaga y Zabaleta, né le 20 juin 1870 à Eibar dans le Guipuscoa (Pays basque espagnol), et mort le 31 octobre 1945 à Madrid, fut l'un des plus importants peintres espagnols de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.

      

      

    En 1910, La Niña de los Peines a été son modèle. Mais son modèle favori était Agustina, la mère du matador Ignacio Rafael García Escudero « Albaicín ».

     

     

     

     

     

    Zuloaga fut spécialement lié avec Ségovie, la ville d'abord, où pendant quinze ans et jusqu'à 1913, il conserva un studio où il passait l'automne, absorbé dans un travail intense dont il emportait tout de suite à Paris la production, mais aussi avec la province, et spécialement le village médiéval de Pedraza, où il devait vivre et travailler dans son château, celui de Los Velasco qu'il acheta en 1925.

    Il était un grand aficionado des courses de taureaux, sujet qu'il représenta dans ses tableaux, réussissant même une fois à entrer dans l'arène

     

     

    File:Ignacio Zuloaga 1925.jpg

    Ignacio Zuloaga y Zabaleta (España 1870 – 1945).


    Nació en Eibar en el año 1870, empezó como copista en el Museo del Prado pero se trasladó a París en el año 1885, donde conoció a Degas, Gauguin, Toulousse-Lautrec y Chavannes, aprendiendo la técnica del impresionismo, aunque mas tarde rehusó de ella buscando un lenguaje propio en el que predominase las pastosidad y las curvas decorativas procedentes del modernismo.

    La pintura de Zuloaga fue de las más discutidas por la crudeza de su dramatismo. La expresión de un realismo empecinado en presentar la crónica de la época particularmente de una Castilla en cierto modo deformada por la literatura del 98.

    Zuloaga estuvo vinculado especialmente con Segovia, tanto con la ciudad, donde por un periodo de quince años y hasta 1913 mantuvo un estudio donde pasaba el otoño enfrascado en un intenso trabajo cuyo resultado se llevaba luego a París, como con la provincia, y en especial con la villa de Pedraza, en la que viviría y trabajaría en su castillo, el de los Velasco, que compró en el año 1925.

    Fue un gran aficionado a los toros, tema que representó en sus cuadros, llegando a salir al ruedo en alguna ocasión. Sus obras tratan temas taurinos y andaluces, captando escenas de costumbres que retratan la España del 98.

    Falleció en Madrid el 31 de Octubre de 1945.

     

     

     

    SU OBRA



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    Autorretrato de Ignacio Zuloaga y Zabaleta


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    Retrato de Valle-Inclán por Ignacio Zuloaga. En los libros, como en toda obra de arte, está siempre definido el carácter del autor, y no en lo que es, que muchas veces suele ser una contradicción viviente, sino en lo que hubiera querido ser. En la obra de arte está la personalidad malograda por la educación, por el ambiente y por el destino adverso.

    (Ramón del Valle-Inclán, carta a Ignacio Zuloaga, 22 de noviembre de 1917).


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    Alice Lolita Muth Maacha


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    Angustias


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    Antonia la gallega. 1912


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    Don Plácido Zuloaga en su taller. También conocida por Retrato de mi padre. Mi padre en su taller. Mi padre. 1895


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    Doña Rosita Gutiérrez


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    El violonista Larrapidi.También conocida por El violinista Larrapide, o Retrato del violinista Larradidi. 1910


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    En Saint Cloud


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    José Rodao


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    Lucienne Breval en Carmen. 1908


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    Retrato de Doña Carmen Arconada. 1940


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    Retrato de la señorita Lolita Soriano, Lolita Soriano, Retrato de la Srta. Lola Soriano, Lolita Soriano de negro y Lola. 1915


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    Retrato de la señorita Malinovka -la rusa-. Retrato de madame Malinovka. Retrato de la señora Malinowska y Una rusa. 1912


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    Retrato de la Condesa Mathieu de Noailles. 1913


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    Retrato de Maurice Barrès


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    Retrato de Rusiñol


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    Retrato del Marqués de Villamarciel. 1893


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    Pablo Uranga


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    El pintor Pablo Uranga. 1931


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    Retrato del pintor Balenciaga


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    Retratro de Lucienne Bréval


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    Segoviano. 1906


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    La Fuente de Éibar. 1888


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    Mi padre y mi hermana en París. 1891


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    Mi prima Cándida. 1914


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    Mi tío y mis primas. 1898


     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

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