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    Mari Kloeppel

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    Gunnar Berndtson, Summer, (1893).

     

     

     

    Gunnar Berndtson

     

     

     

     

     Gunnar Berndtson

     

     

     

     

     

     

     

    File:Berndtson Gunnar Portrait of W Runeberg.JPG 

     

    Gunnar Fredrik Berndtson (24. lokakuuta 1854, Helsinki9. huhtikuuta 1895, Helsinki) oli suomalainen taidemaalari, ja hänet luokiteltiin yleisesti ranskalaisen tavan ja esikuvien mukaan ”salonkimaalariksi”.

     

     

    File:Von Bornin perhe.jpg

     

     

     

     

     

    File:Matti Äyräpää by Berndtson.jpg

     

     

     

     

     

    File:Gunnar Berndtson les conaisseurs de l'art2.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    File:Gunnar-Berndtson-Eva-Aminoffin-Muotokuva.jpg

     

     

     

     

     

     

    File:Berndtson meeting at the beach.jpg

     

     

     

     

     

    File:Berndtson His name.jpg

     

     

     

     

     

    File:Berdtson parasol.jpg

     

     

     

     

     

    File:Gunnar Berndtson - The Bride's Song - Google Art Project.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Jenny Kamerlingh Onnes

    Menso Kamerlingh Onnes

     

      

     

    Menso Kamerlingh Onnes (* 25. Februar 1860 in Brüssel; † 29. Juni 1925 in Leiden) war ein Maler, der zur so genannten Haager Schule gerechnet wurde. Menso war der Bruder des Physikers und Nobelpreisträgers Heike Kamerlingh Onnes, ein Schwager des Malers Floris Verster und Vater des Malers Harm Kamerlingh Onnes.

     

     

     

     

     

    Menso Kamerlingh Onnes (Brussel, 25 februari 1860 - Oegstgeest, 29 juni 1925) is een kunstschilder die wordt gerekend tot de Haagse School. Menso is de broer van Nobelprijswinnaar Heike Kamerlingh Onnes en zwager van de schilder Floris Verster. Hij trouwde 12 november 1891 in Bloemendaal met Auguste Catharina Tutein Nolthenius. Zij kregen twee dochters en één zoon: de schilder en ceramist Harm Kamerlingh Onnes.

    Hij werd oorspronkelijk beïnvloed door de Haagsche impressionisten, circa 1880 maakte hij landschappen in de stijl van de Haagse School. Later voelde hij zich meer aangetrokken tot de jongere generatie. Deze generatie richtte zich in onderwerpen meer op de mens en het leven in de stad. Hij schilderde en aquarelleerde veel stillevens, waaronder 'bloemverbeeldingen'. Kamerlingh Onnes schilderde onder andere portretten van zijn broer Heike en van de andere Leidse professoren zoals Lorentz, Van Bemmelen, Van der Vlugt en Suringar. Deze portretten zijn bijeengebracht in de Menso Kamerlingh Onnes kamer, de voormalige docentenkamer van de Leidse universiteit. Zijn werk hangt verder onder andere in het Stedelijk Museum de Lakenhal in Leiden, waaronder het portret van zijn zuster Jenny Kamerlingh Onnes.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    William P. Welsh

      

    William P. Welsh (1889-1984) était un illustrateur, portraitiste et muraliste américain.

    William « Bill » est né le 3 avril 1929 à Hanovre, Patsy et Mary (Zoll) Welsh. Il s'installe à Canton de French Creek en 1933 où il a grandi. Il fréquente l'école primaire française Creek # 5 et est diplômé de l'école secondaire Saint-Patrick de catholique dans Waukon. Bill a travaillé comme un ouvrier de ferme jusqu'à ce qu'il s'engage dans l'armée de l'Air en 1951.
    Le 25 octobre 1953, Bill épouse Esther « Essie » Weber, fille de John et Leona (Kelleher) Weber.

     

     

    Ils ont commencé leur carrière par être agriculteurs à Hanovre....en continuant l'élèvage pour chevaux de courses....

    Bill se retira à son domicile à Lansing en 1997.

     

    Il était fervent catholique...Il a servi sur le Conseil National des normes organiques et bénévole de nombreuses heures à éduquer et à soutenir les agriculteurs biologiques à l'échelle nationale et internationale.

      

    Il a contribué à la création et le succès de la coopérative des agriculteurs des Prairies organiques.

     

     

     

    A female angler prepares to cast her line in a 1936 poster by William P Welsh

      

     

      

    Moderne Love!

     
    Artwork copyright © William P. Welsh.

    Great examples of Art Deco Era illustrations by master illustrator
      

      

     

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    FRIDA KAHLO

     

     

    Frida Kahlo 1907 - 1954

    Sa vie

     

    Photo de Frida,
    par Nickolas Murray (1938)

    Frida Kahlo était une peintre mexicaine mondialement connue avec son mari Diego Rivera. Née en 1907, elle joue un rôle important pour le mouvement artistique mexicain de l'époque.

    Elle décide dès son jeune âge, qu'elle ne veut pas suivre le même parcours que les autres femmes mexicaines. Elle a un désir de voyage, d'étudier, elle veut la liberté et le plaisir.

    Dès l'âge de 8 ans, Frida est atteinte par la poliomyélite, ce qui lui déformera son pied droit et qui lui vaudra le surnom de "Frida l'estropiée".

    La talentueuse mexicaine est née d'un père d'origine Allemande (Wilhelm Kahlo) et d'une mère Mexicaine d'origine indienne (Mathilde Calderón), parents de bonne famille. Celle-ci entame de brillantes études et s'intéresse tout naturellement à la politique et cherche, comme nombre de personnes, à faire acquérir une âme mexicaine dans le pays nouvellement indépendant.

    A 15 ans, d'une volonté de fer, elle décide qu'elle porterai l'enfant de Diego Rivera, peintre alors très connu et âgé de 20 ans de plus...

    Les deux Fridas
    (1939 - 173 x 173 cm)

    Mais à 18 ans, le 17 septembre 1925, revenant de son école d'art, son bus percute un tram, une barre de fer transperse Frida de l'abdomen au vagin. Ses jambes et surtout ses vertèbres, subiront les plus graves séquelles. Cet accident sera un grand tournant dans sa vie.

    Devant restée dans son lit, coincée dans son corset, elle fait installer un miroir au-dessus de son lit. C'est donc là qu'elle y peindra une grande partie de son oeuvre, les auto-portraits, parmi les 150 peintures qu'elle accomplira dans sa vie. Elle devra subir de très nombreuses interventions chirurgicales durant sa vie, et sera souvent restée couchée dans son lit d'hôpital.

    Dès 1928, celle-ci s'engage dans le parti communiste mexicain, dans un pays encore trouble et instable, pour aussi s'occuper de l'émancipation de la femme, où l'homme à toujours une position machiste.

    Dans cette même année, elle rencontre enfin Diego Rivera, ils tombent tout de suite amoureux, et se marient un an plus tard, un 21 août. Le couple s'installe dans un appartement, et en 1930, ils vont vivre à San Francisco, où Rivera reçoit plusieurs commandes. Après quelques allers-retours entre les Etats-Unis et le Mexique, et après que Frida ait subit deux avortements, les artistes rentrent à Mexico pour s'installer dans la banlieue San Angel, dans leur nouvelle maison. Entre temps, la mère de Frida meurt en 1932.

    FRIDA KAHLO

    Mais ensuite, dès 1934, elle subit un troisième avortement, et découvre quelques mois plus tard une liaison entre son mari et sa soeur, elle décide donc de s'isoler en s'installant dans un appartement pour quelques mois, elle aussi aura des liaisons extra-conjugales.

    Frida Kahlo et Diego Rivera,
    par Nickolas Murray

    En 1937, Diego réussi à accorder l'asile politique à Trotsky qui sera alors hébergé dans leur maison bleu de Coyoacán. Frida et Trotsky on eu une liaison que l'on dit passionnée, et celle-ci lui dédicace un tableau à l'occasion de son anniversaire, où elle se montre à son meilleur jour. André Breton et Jacqueline Lamba profitent de venir à Mexico pour rencontrer Trotsky, ils vont donc du même coup faire la connaissance du fameux couple mexicain. Trotsky sera assassiné deux ans plus tard à coup de pic à glace... (août 1940)

    En automne 1938, Frida Kahlo présente ses oeuvres, dans sa première exposition individuelle, dans la galerie Julien Levy à New-York, où elle y rencontre un franc succès.

    En 1939, elle se rend à Paris pour y exposer ses oeuvres à Renou & Colle en mars, elle y fera la rencontre de nombreux peintres surréalistes. Puis de retour à Mexico, elle s'installe chez son père, et divorce avec Diego.

    Auto-portrait avec des singes
    (1943 - 81,5 x 63 cm)

    Puis elle part à San Francisco pour suivre un traitement médical. Elle se remarie un an plus tard avec le même homme, le 8 décembre de 1940.

    A la mort de son père, Frida s'installe avec Diego dans la "Maison bleue", et Diego utilise celle de San Angel comme atelier. Au fur et à mesure du temps, sa santé se dégrade, et ses douleurs au dos deviennent de plus en plus intolérables. Elle subit sept opérations successives de la colonne vertébrale, sa convalescence qui durera 9 mois, manquera de la rendre folle. Malgré son handicap, et son nouveau fauteuil roulant, elle continue de peindre et de militer, jusqu'à assister à sa tant désirée expositon individuelle dans son propre pays, malgré les conseils de son médecin. Elle meurt le 13 juillet 1954, et est incinérée, suite à sa volonté : " Même dans un cercueil, je ne veux plus jamais rester couchée ! ".

    L'adaptation au cinéma : Frida (2002)

    Sa biographie a été adapté au cinéma par la sulfureuse et talentueuse Salma Hayek. Celle-ci s'est entourée d'une équipe de qualité (Alfred Colima, Edward Norton, Antonio Banderas) et a été réalisé par Julie Taymor.

    Salma Hayek dans Frida
    (2002)

    Dans ce film (américain) tourné en grande partie au Mexique, Salma Hayek s'est efforcée de respecter scrupuleusement la vie de Frida, prenant à coeur son projet (elle y travaillait depuis 7 ans), et en s'efforçant de lui ressembler le plus possible grâce à des petits détails (sourcils attachés, moustaches...). Biensûr, toute sa biographie n'a pas pu être retranscrite à l'écran, mais ce film satisfera les plus exigeants.

    Inutile de vous dire de quoi parle le film, la biographie y est bien respectée, et l'histoire commence quelques semaines (jours?) avant son accident en autobus. Grâce aux décors authentiques (la maison bleue...) et aux lieux de tournage tels que Puebla (plus représentatif du Coyoacan des années 30), le film garde un très bel aspect d'époque, et sait montrer les belles couleurs et musiques du Mexique traditionnel. Bref, un film à ne pas rater pour cette artiste exceptionnelle (Frida...) interprété magnifiquement, présentant une esthétique surprenante grâce à la réalisatrice, qui s'inspire largement de l'univers de Frida.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    FRIDA KAHLO

     Si vous voulez en savoir plus sur cette femme passionnante :

     

    Biographie de Frida Kahlo par Viva Mexico
    Biographie avec présentation de quelques tableaux de Frida
    Site simple et agréable sur Frida
    Galerie de 24 tableaux de Frida
    Grande ressource d'information sur Frida (en anglais)
    Recherchez des livres ou biographies de Frida Kahlo sur Amazon



     

     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

     

     



     

    FRIDA KAHLO

     

     

     

     

     

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        Fichier:Self-portrait c.1747-9 by Joshua Reynolds (2).jpg
       
    Reynolds : le beau monde sous le pinceau

      

      

    Tout le savoir-faire d’un portraitiste tient, bien entendu, dans son pinceau. Familier des artistes italiens,

    imprégné de leurs techniques, Joshua Reynolds aurait pu n’être qu’un portraitiste de talent parmi d’autres,

    s’il n’avait également été doté d’un solide carnet d’adresse. Qui a dit que l’artiste devait mourir de faim ?

    Sûrement pas Reynolds qui, à peine revenu d’Italie, va, grâce à ses multiples connaissances,

    devenir le portraitiste à la mode. Force est de constater qu’en plus, il aimait ça.

    Doté d’une grande culture, possédant charme et distinction,

      

    Reynolds allait faire de son atelier le rendez-vous du tout-Londres, produire quelques

    2000 portraits en sus de ses scènes historiques et devenir, en 1784, premier peintre

    du roi après avoir été le Président

    de la Royal Académy (1768).

     

    Soumis par Emma Benedetti
     

     

     

      

      

      

    Merveilleux Portrait

     

    Sir Joshua Reynolds (16 juillet 172323 février 1792) est un peintre britannique

    spécialiste du portrait. Il fut le premier président de la Royal Academy.

     

    Né à Plympton Saint Maurice dans le Devon, Joshua Reynolds fait son apprentissage

    chez Thomas Hudson de 1740 à 1743. Entre 1749 et 1752, il séjourne en Italie,

    principalement à Rome.

     

     

      

    Après son installation à Londres en 1753, il domine en Grande-Bretagne,

    avec son rival Thomas Gainsborough, l'art du portrait dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

    Il fut l'ami de Oliver Goldsmith, Edmund Burke, David Garrick et Angelica Kauffmann.

    Il fonda le Literary Club avec Samuel Johnson.

     

     

      

    Après avoir perdu l'usage de l'œil gauche en 1789, il meurt le 23 février 1792 à Londres.

    Il est enterré dans la cathédrale Saint-Paul.

     

     Fichier:Joshua Reynolds Self Portrait.jpg

     

    On entendit un homme un jour parler d’elle en ces termes. Fanny Abington était une actrice

    célèbre en son temps, une femme de spectacle, mal mariée à un homme trop âgé,

    son propre professeur de musique.

     

     

    [Image] 

      

      

     Sir Joshua Reynolds, lui, était un peintre fameux, spécialiste du portrait et

    premier directeur de la Royal Academy et accessoirement,

    Le maître de Joseph Mallord William Turner.

      

     

     

     

      

    Joshua Reynolds avait une prédilection pour les portraits des gens de cour.

    Le traitement de la lumière est chez lui absolument exceptionnel.

    Sa façon de traiter les carnations en fait un des plus grands spécialiste du portrait.

     

     

     

     

     

      

      

    On le voit également dans ce triple portrait des dames Waldegrave.

    Le détail du grain de peau des sœurs est particulièrement bien rendu

    et l’on se rend compte que celle de gauche devait certainement avoir la peau vérolée.

    Chez les deux autres femmes, ce n’est que débauche de cous et de poitrines blanches…

     

     

     

      

      

    Il semblerait que Reynolds fut ami avec Mrs Frances “Fanny” Abington, qui selon les sources,

    était actrice, selon d’autre une prostituée devenue courtisane après avoir joué

    quelques grands rôles.

    Regardez bien la succession des peintures

    et la tendresse avec laquelle il la représente au fur et à mesure de ces toiles.

    D’abord en actrice sortant de derrière le rideau…

     

     

      

    En jeune fille timide et provocante…

     

     

     

      

    Le regard et l’air mutin de Frances Abington est ici terriblement révélateur

    d’une complicité entre le peintre et son modèle…

     

     

     

      

    Sur cette toile particulièrement aérienne, les traits fins de l’actrice sont magnifiés,

    le traitement du rendu est beaucoup moins classique que les autres peintures.

     

     

     

      

      

    Cette toile en définitive, est la plus belle de toute.

    La lumière tamisée, l’air un peu absent de cette belle femme et la posture presque négligée,

    assise face au dossier du siège, un doigt élégamment posé sur la lèvre, et surtout,

    le regard légèrement décalé par rapport au peintre…

      

    Comme s’il la surprenait dans l’intimité de ses pensées profondes.

    C’est je pense un tableau révélateur du fait que les relations

    entre Reynolds et Mrs Abington étaient plus qu’amicales…

     

     

     

     

    On remarquera également cette étude particulièrement touchante,

    une superbe pièce du peintre…

     

     

    SOURCES :

    http://theswedishparrot.com/lirresistible-mrs-frances-fanny-

    abington-et-le-facetieux-sir-joshua-reynolds/

      

      

     

     

    [Image]

    British portrait painter Joshua Reynolds on Wikipedia.

    More of his paintings after the cut.

    Edit: Updated this post with new paintings and better quality pictures.

     

    [Image]
    Lady Frances Finch, 1781-82.

     

    [Image]
    Frances, Countess of Lincoln, ca 1781-82.

     

    [Image]
    Miss Cocks and Her Niece, 1789.

     

    Reynolds, Sir Joshua (1723-1792)

    Miss Bowles (detail)

     

     

    [Image]
    Lady Elizabeth Foster, 1787.

    [Image]
    Mrs. Braddyl.

    [Image]
    The Honourable Miss Bingham, 1786.

    [Image]
    Miss Keppel, afterwards Mrs Thomas Meyrick, 1782.

    [Image]
    Mrs. Charles James Fox, 1784-89.

    [Image]
    Mrs. Stanhope.

    [Image]
    Lady Elizabeth Seymour-Conway, 1781.

    [Image]
    The Honorable Mrs. Lewis Thomas Watson (Mary Elizabeth Milles), 1789.

    [Image]
    Lady Sunderlin, 1786.

    [Image]
    Lavinia Spencer (Lavinia Bingham), 1781-82.

    [Image]
    Miss Gideon, 1786.

    [Image]
    George Grenville, Earl temple; Mary, Countess temple; and their son Richard.

    [Image]
    Lady Skipwith, 1787.

    [Image]
    Lady Smith and children, 1787.

    [Image]
    Lady Taylor, ca 1780.

    [Image]
    Lady Worsley, 1776.

    [Image]
    Mrs Abington as Miss Prue in Love for Love by William Congreve, 1771.

    [Image]
    Maria Anne Fitzherbert, 1786-88.

    [Image]
    The ladies Waldegrave, 1780.

    [Image]
    Georgiana, Duchess of Devonshire with her daughter, 1784-86.

    [Image]
    Georgiana, Duchess of Devonshire, 1780.

    [Image]
    Georgiana, Duchess of Devonshire, 1775-76.

    [Image]
    Mary Robinson.

    [Image]
    Lady Caroline Price, 1787.

    The following are copies or engravings after Reynolds:

    [Image]
    Lady Lade, 1785.

    [Image]
    Mrs. Drummond Smith.

    [Image]
    Countess Spencer, Lord Althorpe.

    [Image]
    Miss Kemble.

     

    SOURCES

    http://18thcenturyblog.com/2007/06/sir-joshua-reynolds

     

     

     

     

     

     

    Jane, Countess of Harrington sir joshua reynolds

      

      

      

      

      

     

     

     

     

     

     

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  • Artistes

     

    Art nouveau

     

     

     Artistes à Paris.

     

    Hector Guimard

    Jules Lavirotte

    Alexandre Bigot

    1867-1942 

    1864-1928  1862-1927

    Architecte, designer.

    Architecte.

    Céramiste.

     

    Alfons Mucha

    René Lalique Georges De Feure
    1860-1939 1860-1945 1868-1943

    Peintre, affichiste tchèque

     Joaillier, verrier.

    Peintre, affichiste hollandais.

     

    Eugène Grasset

    Alexandre Charpentier

    Eugène Gaillard

    1845-1917 1856-1909 1862-1933

    Peintre, illustrateur

    Sculpteur, ébéniste

    Architecte, designer

     

    Clément Massier

    Auguste Delaherche

    Adrien Dalpayrat

    1845-1917

    1857-1940

    1844-1910

    Céramiste

    Céramiste

    Céramiste

     

     

    Louis Bonnier

    Henri Sauvage

     

    1856-1946

    1873-1932

     

    Architecte

    Architecte

     

     

    Artistes de Nancy

    Artistes Européens

     

    Emile André architecte

    Raimondo d'Aronco architecte italien

    Henri Bergé décorateur.

    Charles R. Ashbee concepteur britannique

    Georges Biet architecte.

    Ernesto Basile architecte italien

    Ernest Bussière sculpteur.

    Aubrey Beardsley dessinateur anglais

    Ernest Bussière sculpteur.

    Peter Behrens architecte allemand.

    Léon Cayotte architecte.

    H. Petrus Berlage architecte néerlandais.

    Antonin Daum verrier.

    Walter Crane peintre britannique.

    Emile Gallé céramiste, verrier.

    Antoni Gaudi architecte espagnol

    Jacques Gruber peintre, verrier.

    Joseph Hoffmann architecte autrichien.

    Henri Gutton architecte.

    Egon Schiele peintre autrichien.

    Henry Gutton architecte.

    Gustav Klimt peintre autrichien.

    Joseph Janin architecte.

    Koloman Moser peintre autrichien.

    Joseph Hornecker architecte.

    Joseph M. Olbrich architecte autrichien.

    Louis Majorelle décorateur.

    Jan Toorop peintre néerlandais.

    César Pain architecte.

    Margaret Macdonald peintre britannique

    Victor Prouvé peintre, décorateur.

    Charles R. Mackintosh architecte britannique.

    Eugène Vallin architecte, menuisier.

    William Morris dessinateur britannique

    Lucien Weissenburger architecte

    Otto Wagner architecte autrichien.

       

    Artistes américains

    Artistes belges

    Louis Comfort Tiffany verrier.

    Victor Horta architecte

    Williams Bradley graphiste.

    Gustave Serrurier-Bovy architecte

    Louis Sullivan architecte.

    Fernand Khnopff peintre
      Henri van de Velde architecte
      Jules Brunfaut architecte
      Paul Hankar architecte

     

     

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  • Les lieux insolites : les façades Art Nouveau de la rue d’Abbeville

      

      

    Levez la tête et vous serez sans doute surpris par l’aspect des deux magnifiques façades au numéro 14 et 16 de la rue d’Abbeville. Elles sont parmi les plus belles façades art nouveau de la capitale, et croyez-nous, elles valent le détour !

    Très bel immeuble de la Belle Époque, construit en style Art nouveau, le numéro 14 est un immeuble de rapport à six étages construit en pierre et brique. La façade fluide de l’immeuble reçoit un abondant décor de plantes rampantes : tiges et feuilles donnent une impression florale surprenante !

    Au cinquième étage, la travée centrale forme une loggia richement ornée par des feuillages mais surtout agrémentée de figures fantastiques appelée chimères

    Le numéro 16 est un immeuble d’angle avec la rue du Faubourg-Poissonnière ; il est antérieur de deux années au numéro 14, mais avec des sculptures en pierre, représentant des femmes, couvertes d’un voile léger, au-dessus des fenêtres des salles de réception du premier étage : ces femmes, hautes de la taille d’un étage, ont un indéniable charme “Belle-Epoque.

    Profitez-en du coup pour admirer l’Eglise Saint Vincent de Paul : elle a été construite sur l’emplacement de l’ancien enclos Saint-Lazare où vivait Saint Vincent de Paul (1581-1660) et les prêtres de la Mission qui prirent ainsi le nom de Lazaristes. On dit qu’elle est la dernière grande Eglise « classique » de Paris. En outre, un square très agréable vous permettra de déguster votre sandwich lors des belles journées d’été.

    Cette Eglise à également 2 anecdotes à mentionner …Un certain Louis Braille a été l’organiste de l’église et a pu perfectionner son système d’écriture tactile pour les aveugles sur les touches de l’orgue. Et puis, l’église a souffert de la Commune, ses clochetons reçurent sept obus et son perron, plus de vingt, tous tirés du Père-Lachaise ! On imagine la portée des canons mais surtout on peut voir les traces des dégâts.

     

    Sources : article écrit par GUILLAUME, le 16 août 2011 -

    http://paris-insolite.curiocites.com/2011/08/les-lieux-insolites-les-facades-art-nouveau-de-la-rue-dabbeville/

      

      

      

      

     

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    René Jules Lalique

    Joaillier, verrier français

    1860-1945

     

    René Lalique est l'un des artistes les plus représentatifs du style mis en vogue par le groupe Art nouveau de Samuel Bing.

    Tout en gardant les sources d'inspiration de l'Art nouveau, faune et flore, dont le paon et les insectes, il innove en utilisant des matériaux peu usités pour la bijouterie à cette époque.

    Le verre, l'émail, le cuir, la corne, la nacre, et en préférant souvent les pierres semi-précieuses aux pierres précieuses.

      

     

     

    René Lalique entre dans le métier en 1880, comme dessinateur de bijoux pour les joailliers du Palais-Royal. Il se fait rapidement remarquer par la qualité et l'originalité de ses dessins, entre autres par Alphonse Fouquet qui réalise alors des bijoux inspirés par la Renaissance : “Je ne connaissais pas de dessinateur en bijou, enfin, en voici un” (1884).

    En 1885, il accepte la proposition d'un joaillier de reprendre son atelier. Il y réalise pendant plusieurs années de la joaillerie pure, avec le concours des ouvriers dirigés par Paul Briançon qui l'assistera durant vingt ans. Il participe à l'Exposition universelle de 1889 en tant que collaborateur anonyme de Vever et de Boucheron.

      

    Pierre Adrien Dalpayrat - Vase

      

    La multiplicité des commandes le contraint à agrandir ses ateliers : rue du Quatre-Septembre, puis au 20 rue Thérèse, à l'angle de l'avenue de l'Opéra, en 1890. Il dispose alors d'une trentaine d'ouvriers. Deux ans plus tard, il s'engage dans une époque de surmenage, travaillant sans relâche, dessinant, modelant, faisant des études et des essais techniques de tous genres, sans interruption, avec la volonté d'arriver à un résultat nouveau et de créer quelque chose qu'on n'aurait pas encore vu.

      

    ” Il acquiert la capacité d'une conception globale de l'oeuvre en la suivant au cours de toutes ses étapes : du dessin ou du modelage d'après nature, ou encore des photographies réalisées à Clairefontaine à partir de 1898, à l'oeuvre achevée sur laquelle il peut graver son nom, en capitales, et poser son poinçon.

      

    En 1890, il rencontre Augustine-Alice Ledru, dont le père et le frère, deux sculpteurs praticiens de Rodin, réalisent des modèles dont il s'inspire pour ses bijoux. Délaissant les matériaux traditionnels - platine, diamants, pierres précieuses serties - et les ornements - noeuds et rubans hérités du XVIIIe siècle, styles historiques... - il leur préfère l'or ciselé, l'émail, l'opale et la pierre de lune, ses pierres favorites, ainsi que des matières inattendues comme la corne, l'ivoire puis, le verre.

      René Lalique & sa femme Augustine Alice-Ledru en 1903.

      

    L a femme est l'un des grands thèmes des bijoux de Lalique, dès le début de son oeuvre personnelle : visages de profil ou de face, évoquant les traits d'Alice, ou mutante, métamorphosée en scarabée, en libellule, en insecte, en paon, associée au monde végétal, floral, animal, jusqu'à son équivalent symboliste, le cygne, “la nudité permise” (Bachelard).

      

      

    Passionné par le spectacle de la Nature, dont il dessine les aspects les plus “modestes” à l'instar de Viollet-le-Duc et des artistes japonais, il recherche au Jardin des Plantes, fleurs et plantes exotiques. Il restitue les formes et couleurs de la flore - iris, chardons, muguet, anémones, roses, orchidées, gui... - et de la faune - insectes, reptiles, oiseaux... - avec la riche gamme des émaux et le secours du verre dont il maîtrisera progressivement les techniques.

      

    Le climat intellectuel et plastique suscité par les poètes et les peintres symbolistes lui suggère des thèmes nouveaux à l'origine de créations qui transgressent les codes du bijou. A partir de 1894, il exposera régulièrement au Salon de la Société des Artistes Français. Sa participation aux Expositions universelles de 1900 à Paris, puis à Saint- Louis (Etats-Unis) en 1904, contribueront à édifier une renommée internationale jusqu'en Russie.

    René Jules Lalique - Peigne

      

    L 'envoi de Lalique à l'Exposition de 1900 est à la hauteur de l'enjeu de la manifestation. Sous un vol de chauves-souris, derrière une grille de femmes-libellules en bronze, c'est une profusion de gemmes colorées et de perles nacrées, d'ivoires pâles et de cornes blondes, d'ors brillants et d'émaux subtils, que se dispute un florilège de célébrités appartenant à l'aristocratie russe, viennoise, française, au monde de la politique et de la culture, dont sa grande amie Sarah Bernhardt, et surtout, son plus fidèle ami et collectionneur, Calouste Gulbenkian.

      

    Peter Behrens - Affiche

      

    A u Salon de 1901, la vitrine de Lalique a un autre ton, une blancheur accusée par l'emploi du verre et de sa transparence et le retour du diamant. Travaillé dès 1890, le verre est prioritaire à présent, favorisé par la rencontre avec le parfumeur François Coty, et la construction de son propre hôtel, Cours La Reine en 1902, pour lequel il fabrique des dalles de verre destinées aux deux portes d'entrée.

    René Jules Lalique - libellule

      

    Une nouvelle aventure commence où il applique les recherches faites pour le bijou et enracine progressivement la verrerie d'art dans l'histoire industrielle du XXe siècle.

    A rtisan bouleversant les traditions, engagé dans la révolution esthétique de la fin du XIXe siècle, Lalique crée des oeuvres dépassant le cadre de l'artisanat et de l'art décoratif dit “mineur” que cette exposition mettra en valeur. Rassemblant plus de 300 oeuvres - études, dessins, modèles, bijoux, objets, photographies, peintures, sculptures...,

     - réalisées entre 1890 et 1912 par René Lalique et ses contemporains, elle permettra d'appréhender la personnalité et l'oeuvre de Lalique à l'aune de son époque.

    Yvonne Brunhammer

    Les commissaires et les organisateurs de l'exposition "Lalique, bijoux d'exception, 1890-1912" tiennent à remercier la société Lalique pour sa précieuse collaboration.

      

    lalique phalenes 300x254 Flacons précieux : Lalique

    Pendant longtemps les flacons n’ont pas été associés à un parfum. Les femmes transvasaient leurs parfums vendus dans de simples fioles dans des flacons précieux tels ceux que je vous ai montré dans un précédent article. Ces flacons, vous vous en doutez, n’était pas à portée de toutes les bourses.

    Mais grâce à ses travaux sur le verre René Lalique (1860-1945)  a rapidement pu proposer des flacons d’une grande qualité mais à un prix moins important. Bon d’accord aujourd’hui ce n’est pas ce que l’on qualifie d’abordable.

      

    Louis Comfort Tiffany - Poterie (2)

      

    C’est ainsi qu’il crée, dans les années 20-30 de nombreux flacons pour les plus grands parfumeurs de l’époque : pour François Coty, Roger & Gallet,Houbigant, Molyneux, Molinard…

    Le flacon que Lalique a crée pour Effleurt de Coty est son premier flacon en cristal pour un parfum. Il date de 1910.

    flacon lalique pour effleurt de coty 215x300 Flacons précieux : Lalique

    Dans ces flacons, on voit clairement que la nature est une grande source d’inspiration pour le bijoutier verrier.

    lalique paquerettes perfume 300x290 Flacons précieux : Lalique

    lalique leurs aimees 259x300 Flacons précieux : Lalique

    C’est juste sublime! (écrit par Elodie)

    Photos : Jan Afford Limited

      

      

    Tout le monde connait le fameux flacon de parfum l'Air du Temps .....

    mais cette exposition a permis de découvrir d'autres aspects, et non des moindres, de son travail
    Avez-vous eu l'occasion de voir certains de ces travaux, et qu'en pensez-vous ?
    Pour replacer Lalique dans son époque , quelques repères biographiques :
     

    1860 : naissance le 6 avril 1860 de René Jules Lalique, dans le village d’Ay, en Champagne

    1872 : il entre au collège Turgot et commence l’étude du dessin ; il obtient un premier prix dans cette discipline .

    Louis Comfort Tiffany - Vitrail  

    Tout en apprenant  les techniques de la bijouterie joaillerie, il suit les cours de l’ecole des Arts Décoratifs de Paris

    1876 : il entre en apprentissage chez Louis Auroc, un des meilleurs bijoutiers joaillers de Paris . Parallèlement, il suit les cours du soir à l’Ecole des Arts Décoratifs

    1878 : il s’installe à Londres où il poursuit ses études au Sydendam Collège ; il y cultive ses qualités de dessinateur et développe un style naturaliste unique qui deviendra plus tard sa signature de bijoutier

    1880 : retour à Paris ; il entre comme dessinateur de bijoux chez un de ses parents ; il commence aussi à travailler comme dessinateur indépendant

    1882 : il commence à proposer ses dessins à des bijoutiers ayant pignon sur rue, comme Boucheron ou Cartier

    1884 : il s’associe avec Varenne qui place ses dessins chez les fabricants, sous la marque Lalique et Varenne .

    Ses dessins sont présentés à l’exposition nationale des Arts industriels, au Louvre 1885 : Il reprend un atelier de joaillerie et peut enfin fabriquer ses propres créations qui rencontrent tout de suite un vif succès .

      

      

      

    Ses œuvres intègrent des matériaux nouveaux : émaux translucides, pierres semi-précieuses, ivoire, pierres dures

    1889 : Lalique participe à l’Exposition universelle de paris en tant que collaborateur anonyme de Vever et Boucheron

    1890 : Il déménage son atelier, et il en dessine le mobilier, décore les murs et les plafonds

    1892 : Lalique intègre le verre dans ses bijoux, sous la forme de pate de verre

    1894 : Expose pour la première fois au Salon de la société des Artistes Français, dans la section Sculptures ; il commence à créer des bijoux pour des artistes de renom, notamment pour Sarah Bernhardt

    1897 : Participe à l’Exposition internationale de Bruxelles et obtient un grand prix .

    1900 : Exposition Universelle à Paris : le stand Lalique fait sensation et il remporte un succès sans égal

    1905 : Ouverture de la première boutique de détail, place Vendome ; Exposition d’Art décoratif à Liège

    1908 : Lalique rencontre François Coty et commence à créer pour lui des flacons de parfum .

    Le succès de leur collaboration débouchera sur de nouvelles coopérations avec les grands parfumeurs des années 20/30 : Roger&Gallet, Molyneux, Worth …

      

      

    1911 : Exposition au Salon de la Société  Nationale des Beaux Arts ; A partir de cette époque, Lalique abandonne la création du bijou

    1912 : dernière exposition de bijoux .

      

    Copié, plagié, il se tourne vers le verre. Le bijou ne disparaît pas tout à fait de son œuvre, puisqu’à la fin des années 20, il crée une ligne de bijoux en verre dont les motifs reprennent des thèmes naturalistes ou mythologiques.

      

      

    1921 : Grace au succès remporté par son œuvre de verrier, Lalique ouvre une autre usine qui continue de produire toutes ses pieces en cristal, pour le monde entier Il participe à la décoration intérieure de paquebots

    1925 : Il réalise la décoration intérieure du Pavillon Sèvres pour l’Exposition internationale des Arts décoratifs et Industriels de Paris ; le terme « Art déco » apparaît à la suite de cette exposition Le pavillon en verre de Lalique, qui comprend une gigantesque fontaine est une pièce majeure pour la renommée du mouvement art déco Lalique dessine sa première mascotte (bouchon de radiateur) pour Citroen ; il en réalisera pour Bentley, Bugatti, Rolls Royce…

    1926 : Il réalise les premiers vases, coupes et statuettes en verre satiné qui symboliseront si bien la marque 1929 : Décoration du train Cote d’Asur-Pullmann Express

    1932 : Réalisation des fontaines du Rond-Point des Champs Elysées

      

      

      

    1935 : Ouverture de la boutique Rue Royale à Paris Décoration du paquebot Normandie

    1945 : 5 mai : décès de René Lalique à l’age de 85 ans

      

     

    sources :

    http://lci.tf1.fr/chaine-lci/partenariats/2007-02/rene-lalique-bijoux-exception-1890-1912-4872212.html

      http://www.pure-beaute.fr/2010/01/20/flacons-precieux-lalique/

    http://www.comlive.net/Lalique-inventeur-du-bijou-moderne,129389.htm 

    certaines photos google

      

      

      

      

     

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  • Art déco 1910-1939

    article par Caroline Jordan
     

     

     

     

    En tant qu'étudiants en Australie dans les années 80, mes amis et moi chalutage op-boutiques de sacs de soirée perlée, tasses avec poignées triangulées, vases géométriques mur de béton-look, des bijoux en bakélite et marcassite et, bien que j'ai jamais trouvé un, l'étrange morceau de hautement collectionnables, garishly peint la poterie « Bizarre » Clarice Cliff. Un élément familier de la maison de l'étudiant de la période a été l'un de ces massifs, construit-à-dernier, suites de salon déco rembourrés en velours de Gênes rebattu en accablant les nuances de brun. Un stand de cendrier et boisson a été souvent se trouve intégré dans les accoudoirs, un ajout judicieux. Encore aujourd'hui, le cinéma local dans votre ville de banlieue ou le pays est susceptible d'être un joyau de style Art déco éculée, que des appartements attenant de St Kilda à Coogee, le bâtiment de banque ancien coin, le centre de santé de bébé, le pool de mémoire et le pavillon de la plage. Plus remarquables bâtiments de Deco survivent grâce à nos villes — hôpital de Sydney roi George V, ancien Parlement de Canberra ou Manchester unité de Melbourne bâtiment — mais nous provincials raté à côté de la déclaration finale d'une Chrysler ou l'Empire State Building.

     

    Néanmoins, nous sommes nombreux en termes familiers avec glamour de New York, aussi, grâce à vieux films en noir et blanc de Hollywood que Collins de Bill et autres utilisées pour l'écran à la fin de soirée télévision. Fred Astaire et Ginger Rogers, Clark Gable et Jean Harlow, Myrna Loy et William Powell, courtisé mutuellement dans un dialogue dans les appartements en miroir éblouissants meublée avec téléphones blancs et des tapis de l'ours polaire et eux-mêmes impressionnés sur nos rêves.

    Le plaisir et l'enseignement à tirer de cette exposition monumentale — superbement organisée par Ghislaine Wood du Victoria and Albert Museum, Londres et développé en collaboration avec une équipe de conservation de la National Gallery of Victoria — est qu'il traite minutieusement ces extrêmes de l'Art déco, tant dans ses locaux et éculée et versions exotiques et reçues. Sa révélation chef pour le spectateur australien sera l'opulence de nombreux éléments de l'affichage, une suppression extrême de la tat-moderne de la majeure partie du produit qui fait son chemin dans les foyers australiens. La couverture mondiale et une attention particulière aux nuances nationales aussi impressionne, tout comme la tonture éblouissante gamme de choses.
     
    Si vous préférez est voitures, radios, robes, illustration de mode, bijoux, vaisselle, argent et verrerie, objets d'art, tissus imprimés, mobilier, design d'intérieur, design industriel, costumes, affiches de voyages ou l'architecture, vous le trouverez dans cette exposition. Si vous ravir à des noms de marque de luxe — Lalique, Cartier, Chanel Mercedes, Orrefors, — vous serez heureux, mais vous découvrirez aussi bon nombre de producteurs plus obscur qui est tout aussi beaux.
     
    Bakélite Empire State, Fisk radiolette, 1936 par AWA, Sydney
    collection de Peter Sheridan et Jan Hatch, Sydney
    © Peter Sheridan
     
    La première salle de l'exposition, au-delà de la capote de Mercedes de rouge à lèvres-rouge dans le foyer, signaux de l'éclectisme de la déco avec un échantillonnage de biens de consommation séduisantes : un pot de gingembre, une radio bakélite vert qui ressemble comme si elle est sculptée de jade, une robe flapper incrustés de broderies, une trancheuse de viande du renflement courbes, peinture sexy d'un élégant français coiffeuse et Tamara de Lempicka d'un opérateur de téléphone sensuelle de Marcel-agité. Prochaine come concise fenêtre affiche illustrant les sources de ce plus démocratique, avidement commercial et donc dur-à-définir des styles.
     
     
     
     
    Étonnamment, si l'idée de l'Art déco est de précision industrielle rationalisée, une esthétique futuriste de machine-âge de brillance et de vitesse, ces affichages nous donnent l'historicisme et un engagement sophistiqué avec les traditions de conception de cultures non européennes. La sensationnelle découverte des trésors de la tombe du roi Toutankhamon en 1922 a déclenché un mode pour toutes les choses égyptien. Conception ancienne de grec, africain, japonais et chinois sont également populaires. Sobre abstrait japonais-laque écran Eileen Gray de 1928 est un exemple de standout, typique des extrêmes de la préciosité des matériaux qu'une grande partie des années 1920, Art déco, d'élégance et de raffinement.
     
     
    Plafond lumière, Capitol Theatre, Melbourne, 1921–24
    conçu par Walter Burley Griffin et Marion Mahoney Griffin
    Capitol Theatre, RMIT University, Melbourne

     

    Art Deco a également maintenu un dialogue animé avec l'avant-garde. Il peut ont fuit les aspects fonctionnaliste et puritaines du modernisme, mais qu'il n'a pas empêché de pillage le vocabulaire du cubisme, le futurisme, Constructivisme, De Stijl et le reste pour ses propres fins hédonistes, décoratifs et évasion. Petit, et en elles-mêmes pas particulièrement impressionnante, toiles de peintres d'avant-garde centristes comme Delaunay, léger, l'Ozenfant puriste et le Gleizes cubiste, parfait sens lorsqu'ils sont placés contre les pièces brillantes des arts appliqués et décoratifs — y compris les costumes par les Ballets Russes — qui empruntent de leur couleur et de motifs stylisés, si ce n'est de leur théorie turgescents.

    Au cœur de l'exposition est une suite de salons meublés, évoquant les pavillons de la Exposition Internationale des Arts décoratifs et Industriels Modernes tenue à Paris en 1925. Art déco tire son nom de l'expo, bien qu'étonnamment le terme familier date seulement des années 1960. C'était un gambit commerciaux pour démontrer la domination française sur ses rivales internationales dans la mode et autres produits haut de gamme, avec une brève pour mettre en évidence la moderne et novateur. Se qu'ils ont réussi, malgré la bonne concurrence de certains des européens.

     

     

     

    L'expo a vu le style naissant à ses régimes plus somptueuses, mais aussi à ses plus confus et informes, avec de nombreux exposant éclectique et rétrograde de l'intérieur. Dans le diaporama des pavillons, le modernisme sans compromis Club du travail soviétique de Aleksandr Rodchenko et de Nouveau Pavillon de l'esprit de Le Corbusier sont un antidote malheureusement absent à ce mélange de bourgeois moelleux.

    Dans cette section les objets individuels atteignent un crescendo du virtuose technique et extravagance over-the-top. On ne peut que s'émerveiller devant la décadence d'une chaise de salon française par André Groult, étrangement vêtu de peau blanche stingray avec un siège de bleu ciel satin, ou un voisin anglais writing desk par Edward Maufe d'acajou et d'ébène, qui est non seulement peint argent mais doré partout en feuille d'or blanc. La verrerie finement gravé, un mode familier dans la version dévoyée d'un million de banlieues des écrans de douche et portes de séparation est tout aussi exquise.

    Superbe Joséphine Baker, mais nu pour une queue de plumes d'autruche et des pans de perles, charlestons exubérant sur un écran de plancher au plafond. Soudain le toast de Paris marque une pause jerk son cou en imitation d'un poulet de traverser ses yeux. Jeu érotique primitif comme clown nuit après nuit doit avoir introduit le ses moments décourageants, mais joie-de-vivre de Baker semble réel. À 19 ans seulement, peut-être qu'elle puisse se le permettre. Rendement en boucle de Baker est l'amorce d'une dimension de voyages exotiques. Sous le signe de la doublure de l'océan et dans un contexte de voyages affiches, un diaporama nous vers des destinations de l'Art déco transporte de Shanghai à Auckland.
     
    Affiche de Victorian Railways, 1937
    Musée Victoria, Melbourne
     
     
    Par maintenant quelque peu dazed, on dérive sur à l'imitation du vivant dans le monde glamour invoquée de la croisière et le grand hôtel. Nous passer le concepteur robes et bijoux de déclaration et de long pour un cocktail et le fume-cigarette de matérialiser entre nos doigts élégamment gantées. Robes du soir des années 1930 ont été impitoyables — backless, coupe en biais et slinky, accrochée à la peau de soies et satins — il aucun os de baleine. Mais quel détaillant ! Ce que le drapé ! Quels effets trompe-l'œil exquis réalisé avec perlage ! Nous nous dirigeons dans nos parures pour le foyer de Strand Palace Hotel Londres, ou du moins ce qui pourrait être récupéré de sa démolition en 1969 : un miracle en chrome et des panneaux de verre éclairé de l'intérieur. Le fantasme est maintenu dans le film adjacent où Joan Crawford et Lionel Barrymore participent à flirter lourd et tout aussi tabagisme excessif, une toile de tout tel un hôtel de région de dépistage.
     
     
    Musée Vic
    Soirée veste avec col vert, l'été 1929 (à partir de la maison de couture Jeanne Lanvin, Paris) et la vue de l'exposition d'Art déco 1910–1939 le foyer de la 1930 Londres Strand Palace Hotel (conçu par Oliver Bernard)
    toria, Melbourne

      

    La Chambre spacieuse finale de l'exposition sonne un changement émotionnellement édifiant avec l'introduction d'une bande son jazzy. Enfin, c'est la déco que nous connaissons mieux, dépression-ère série américaine rationalisation et Australian art et artefacts. La salle est dominée par une magnifique voiture de Cord 812 Westchester de 1937 bleu de Prusse avec chrome détaillant ; brillant, chevauchement, un objet de fétichisme véritable, provenant d'un collectionneur de Melbourne. Nos étoiles déco maison : Klytie Pate, coton Olive, Rayner Hoff, le Sydney Harbour Bridge, Napier et Christian Waller, ainsi qu'un diaporama de bâtiments de Deco australien banlieues, ne sont pas après coup, mais présenté comme une aimante partie intégrante de la vision généreuse de l'exposition.

    C'est une des superproductions best-orchestrated que j'ai jamais vu. Sa grande réalisation réside dans son transparent fusion de Australian Art déco avec la myriade autres variantes nationales, le détail subsumé dans un parcours narratif entièrement satisfaisant. Désir consumériste effrénée et la nostalgie est flattait sans vergogne à — comment on ne peut avec ces matériaux ? — mais il serait difficile pour tout visiteur ne pas à venir de loin sans une vue élargie de beaucoup et éclairée le style déco et sa période. Plus de 200 000 personnes ont vu l'exposition de Melbourne, a mérité répéter de ses précédents succès brillants en Angleterre, Canada, les États-Unis et le Japon.

    Caroline Jordan est maître de conférences en histoire de l'art à l'Université de La Trobe.

     

     

     

     

      

      

     

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    anna pavlova portrait

     

    Pavlova

      
    Anna Pavlovna (Matveyevna) Pavlova (en russe: А́нна Па́вловна (Матве́евна) Па́влова) (1881-1931) était une ballerine russe.

     

    Elle est considérée comme l'une des plus gracieuses danseuses de ballet classique de l'histoire.

     

    Elle était l'une des principales artistes de l'Imperial Russian Ballet et des Ballets Russes de Serge Diaghilev. Pavlova est connue notamment pour son interprétation dans The Dying Swan (Le Lac des Cygnes).

     

    Avec sa propre compagnie, elle fut la première ballerine à faire une tournée dans le monde entier.

     

    Elle fut immortalisée dans un poème d'Ezra Pound : «L'aube pénètre sur la pointe des pieds comme une Pavlova auréolée».

     

     

    bebe daniels portrait

     

     

     

    Bebe Daniels était une actrice, chanteuse, danseuse, écrivain et productrice américaine.
    Elle commença sa carrière à Hollywood à l'époque du cinéma muet en tant qu'enfant-acteur, devint une star avec des comédies musicales telle que 42nd Street, et optint une totale célébrité à la radio et à la télévision anglaise.
    Durant sa vie, elle joua dans 230 films.
      
      
     
    bebe daniels portrait

     

     

    bebe daniels portrait

     

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    bebe daniels portrait

     

    bebe daniels portrait

     

     

     

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    bebe daniels portrait

     

    bebe daniels portrait

     

    bebe daniels portrait

     

    bebe daniels cover sielke
    Par Leo Sielke

     

    bebe daniels cover armstrong
    Par Rolf Armstrong

     

    bebe daniels marland stone
    Portrait par Marland Stone

     

     SOURCES
    superbe blog
     
     
    Source : Wikipedia
    Source photos : www.fanpix.net

     

     

     

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    ROI DU POP ART

      

    De son vivant, Andy Warhol était déjà une légende via son œuvre, son extravagance, les provocations et les scandales qu'il suscita, ses 200 perruques et sa mesquinerie sans oublier ses dizaines de Rolex.

     

     

    Ne cachant pas son homosexualité, soupçonné d'être un consommateur de drogues, Warhol défraya souvent la chronique. Adolescent, il collectionnait les autographes et photos de stars lesquelles devinrent plus tard l'objet de sa passion créatrice.

     

    Il les retravailla, les retrama, les charcuta et un beau jour, ils finirent par devenir des oeuvres d'art qui dépassèrent en galerie et en vente les 100 000 dollars pièce.

     

     Andy Warhol - Marilyn Monroe

     

    Warhol découvrit d'abord la publicité en faisant ses études au Carnegie Institute of Technology à Pittsburgh. Devenu l'ami de Philip Pearlstein, il s'intéressa à la politique, aux transformations de la culture et de la civilisation américaine des années 40.

     

    D'origine tchèque, ce fils d'immigrés modestes chercha rapidement à échapper à sa condition. Ce fut en 1949, qu'il commença sa carrière à New-York comme dessinateur de publicité.

     

     

    Très vite, ce créateur bouillonnant d'idées décida de déranger, de choquer et de bousculer le conformisme new-yorkais par des projets délirants d'emballages de chaussures, des pochettes de disques, d'illustrations dans des revues d'avant-garde.

     

     

    Il travailla pour « Glamour », « Dance Magazine », le « New York Times » (1955) pour finalement devenir la coqueluche du Tout-New-York, la ville de la démesure et des défis. Un beau matin, « Glamour » désira des dessins de chaussures. Le jour suivant, Warhol proposa une cinquantaine de projets étonnants et son succès fut immédiat car personne n'avait alors son talent pour dessiner des chaussures, dans un style réaliste certes, mais transformées selon ses désirs. Warhol leur procurait des formes folles, ajoutait des éléments ou des rubans, leur donnait des reflets argentés et les munissait de talons aiguilles pour en faire des chefs d'oeuvre de mode.

     

     

    Autour de Warhol s'activa tout un mouvement de jeunes peintres - Roy Liechtenstein et Tom Wesselman entre autres qui représentaient l'époque post-Be-Bop, celle qui vit la naissance de la télévision et du Rock n'Roll ainsi que la mort de l'art conventionnel. Sorti du moule du monde de la publicité, Warhol n'eut guère de peine à s'imposer comme un chef de file de l'art américain.

    La société de consommation ne jurait plus que par le ketchup, le Coca-Cola ou la soupe Campbell dont les symboles publicitaires, ainsi que ceux de toute une série d'emballages de produits de consommation, furent détournés par Warhol lequel comprit avant tout le monde que leurs images avaient un impact extraordinaire sur des millions de consommateurs et que leur utilisation au niveau artistique ouvrirait la porte à de nouveaux concepts. Son succès fut alors assuré et on le surnomma rapidement le « Prince du Pop Art », ce qu'il fut assurément en assumant ce rôle avec un sens aigu des affaires.

     

    Ses projets ont-ils été excellents ou à tout le moins esthétiques ? Pas forcément selon certains critiques. Mais une chose est sûre : ils étaient différents, ils annonçaient un style nouveau et ils permettaient aux produits dont il s'inspirait, et à l'art par ricochet, de se vendre. Une autre étape de sa vie, plus intéressante, fut celle où voisinèrent peinture et graphisme selon des procédés multiples.

      Cowboys & Indians: John Wayne, 1986 Poster

     

     

    Connue sous le nom de « Fame and Fortune », cette période fertile permit à Warhol d'atteindre son apogée artistique.

     

    Il créa un style particulier, en associant des techniques de reproduction avec le graphisme, le dessin et la peinture et ce, en utilisant des matières simples comme le papier, la toile, les acryliques en sérigraphie.

     

     

    Andy Warhol

     

    Rares sont toutefois ceux qui savent que ce génial concepteur transforma son atelier en véritable usine où s'activaient des dizaines de personnes et qu'il se contenta avant tout de définir des oeuvres réalisées ensuite en équipe, ce qui lui permit d'en produire des milliers au cours de sa carrière.

     

     

    L'ensemble de ses portraits (Mao, Marylin Monroe, Liz Taylor, Elvis Presley, Mick Jagger ou Kennedy) furent ainsi créés d'après un négatif agrandi obtenu à partir d'une photo polaroïd. Par la suite, Warhol délira autour d'une sélection de couleurs, de teintes en agrandissant les trames.

     

     

    Il masqua les surfaces à l'aide de ses couleurs préférées comme le «magenta» et le vert «pistache». L'entreprise qu'il créa, la «Factory», exécuta des tirages en sérigraphie qu'il signa en quantité.

     

     

    Dès les années 80, les oeuvres de Warhol atteignirent des sommes folles et les musées achetèrent alors à tout va grâce à l'appui du galeriste Leo Castelli qui lança tant d'autres grands noms de la peinture américaine d'après-guerre et contribua à faire de New York le centre principal de l'art contemporain dans le monde.

     

     

     

     

     

    Warhol eut également en la CIA un allié de poids qui favorisa son ascension fulgurante puisque dans le cadre de sa lutte contre le Communisme, ce service de renseignement chercha à mettre fin à l'hégémonie européenne en incitant les musées d'outre-Atlantique à acheter en priorité des oeuvres d'artistes américains

     

     

    Warhol réalisa des commandes en chaîne et devint riche à millions sans guérir toutefois de sa mesquinerie. Aujourd'hui, ses créations ont été plusieurs fois jusqu'à dépasser les 4 millions de dollars dans des ventes aux enchères.

     

     

    Warhol était aussi un collectionneur quelque peu excentrique qui amassa des meubles rococo, des lampes Tiffany, des tableaux de Rauschenberg, de la verrerie contemporaine, des milliers de chaussures de formes bizarres ainsi qu'un nombre incroyable de gadgets à cinq sous qu'il empila dans sa maison quasiment du sol au plafond.

     

     

     

     

    Mort à la suite d'une opération en 1987, Warhol fut le représentant d'une époque de grandes mutations, tant technologiques que politiques, qui observa le monde avec une certaine froideur sinon avec cynisme.

     

    A travers son art, il iùprima dans le subconscient des gens une nouvelle interprétation ou vision de l'existence alors que sa vie fut celle d'un voyeur entouré lui-même de gens bizarres, figures de proue de ce qu'on appelait l'Underground new-yorkais et qui firent de lui leur pape.

     

    Warhol filma aussi sans vergogne les personnages de ce monde souterrain qui fascina tant le Tout-New York et en fit littéralement des stars. Il contribua ainsi au succès du chanteur Lou Reed, du photographe Robert Mapplethorpe et du peintre Jean-Michel Basquiat.

     

     

    En 1990 s'est déroulée une rétrospective Andy Warhol au Centre Pompidou laquelle a attiré plus de 300 000 visiteurs. Maintenant, Warhol est devenu un mythe et surtout le roi du Pop Art qui a révolutionné le marché de l'art depuis les années 1980 en devenant pour beaucoup de collectionneurs, surtout de jeunes entrepreneurs, le symbole de leur réussite.

     

     

     

     

    Il restera cependant aux historiens de définir plus précisément le rôle de ce créateur qui associa l'art à la publicité ou qui plus prosaïquement fit de la publicité de l'art.

     

    A l'évidence, il fut plus un génial concepteur qui créa de l'art "à revendre" qu'un artiste du calibre de Picasso plus intéressé avant tout à faire de l'art pour l'art.


    Sources Wikipedia

    Photos google

      

      

     

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    Minute culture : Andy Warhol

     

     

    Minute culture : Andy Warhol

     

    Andy Warhol

     

    Deuxième post pour la minute culture (youpi !) et aujourd’hui, nous allons parler des conditions de travail des stagiaires chez Pixtory d’Andy Warhol bien sûr ! Le maître incontesté du Pop Art et celui qui nous a inspirés les portraits personnalisés en style Pop Art.

    De son vrai nom « Andy Warhola », il est originaire d’une modeste famille de Pittsburgh en Pennsylvanie. Dès son plus jeune âge, il se passionne pour l’art et réalisera plus tard des études de dessinateur publicitaire au Carnegie Institute of Technologie de Pittsburgh. Il déménage à New York en 1949 et prend alors le nom d’Andy Warhol, une brillante carrière de publicitaire commence pour lui.

    Marylin Monroe by Andy WarholAndy Warhol se consacre à la peinture à partir de 1960, ses peintures sont alors issues de l’univers des comics (tout comme Roy Lichtenstein). En 1962, il se tourne vers la peinture des biens de consommation (notamment des bouteilles de Coca-Cola) et la sérigraphie des portraits de stars, sont but est alors de démocratiser l’art et de le rendre accessible à tous. Andy Warhol tournera même plusieurs films, dont Sleep et Kiss. Il est blessé par balles en 1968 et arrêtera la peinture pendant plusieurs années.

    En 1972, il se remet à la peinture avec les célèbres portraits sérigraphiés de Mick Jagger, Marylin Monroe ou Mao Tse-Toung. Andy Warhol meurt à l’âge de 58 ans d’une crise cardiaque en 1987 suite à une opération de la vésicule billiaire à l’hôpital de New York.

    Chez Pixtory, nous nous sommes inspirés des oeuvres d’Andy Warhol pour vous proposer des portraits personnalisés qui révéleront la Pop attitude qui est en vous !

     

     

     

    Un portrait Pop Art réalisé sur votreportrait.frUn portrait personnalisé Pop Art réalisé sur le site votreportrait.frExemple de portrait Pop Art réalisé sur votreportrait.fr

    Pop !

    Signé : Benjamin

     

     

     

     

     

    SOURCES ; http://www.pixtory.fr/?p=659

     

     

     

    Minute culture : Andy Warhol

      

    Andy Warhol (de son vrai nom Andrew Warhola), né le 6 août 1928 à Pittsburgh en Pennsylvanie1 et mort à New York le 22 février 1987 est un artiste américain; il appartient au mouvement artistique : Pop Art, dont il est l'un des innovateurs.

    Warhol est connu dans le monde entier par son travail de peintre, de producteur musical, d'auteur, par ses films d'avant-garde, et par ses liens avec les intellectuels, les célébrités de Hollywood ou les riches aristocrates.

    Bien que le travail de Warhol reste controversé, il a été le sujet de multiples expositions, de livres, et de films depuis sa mort. Warhol est généralement reconnu comme l'un des artistes les plus connus du XXe siècle.

    Minute culture : Andy Warhol

    Jeunesse et études :

    Andy Warhol, né Andrew Warhola à Pittsburgh le 6 août1928 de parents ruthènes provenant du village de Miková au nord-est de l'actuelle Slovaquie2. Il est le quatrième fils de la famille, le cadet décédera avant d’emménager aux États-Unis. Son père, Ondrij Warhola, émigre aux États-Unis en 1914, alors que sa mère, Julia (née Zavacka, 1892-1972), n'arrive qu'en 1921, après la mort de ses parents. Ondrij Warhola travaille alors en tant que mineur de charbon.

    La famille vit au 55 Beleen Street, et plus tard au 3252 Dawson Street à Oakland, une localité proche de Pittsburgh. C'est en 1933 qu'il débutera sa scolarité à l'école primaire. En 1937 il est alors atteint de la maladie de la danse de Saint Guy. Souvent alité durant sa maladie, il est mal-aimé dans son école, et passe la majorité de son temps avec sa mère avec qui il tisse un lien très fort.

    Lorsqu'il est confiné à son lit, Andrew dessine, écoute la radio et collectionne des photos de stars de cinéma. Plus tard, Warhol décrira cette période comme très importante dans son développement personnel et celui de ses goûts. En 1942, Andrew qui a alors 14 ans perd son père après trois ans de maladie. Il termine sa scolarité en 1945 avec la remise du diplôme du lycée.

     

    illustration

    Début de carrière :

    Entre 1945 et 1949, il fait ses études au Carnegie Institute of Technology de Pittsburgh où il obtient le titre de Bachelor of Fine Arts. C'est au cours de ces études qu'il adopte la technique du dessin tamponné. À l'été 1949, il s'installe à New York, cette même année, il commence à travailler comme dessinateur publicitaire pour le magazine Glamour, c'est à cette occasion qu'apparaît pour la première fois son nom simplifié en Andy Warhol. Il travaillera ensuite pour Vogue et Harper's Bazaar et créera ses premiers croquis pour le fabricant de chaussures I. Miller ; il décore aussi des vitrines pour le grand magasin Bronwit Teller.

     

     

    ..L’Art de…

     

     

     

    ‘ Gagner de l’argent est un art, travailler est un art et faire de bonnes affaires est le plus bel art qui soit.

    Andy Warhol

    C'est en 1952 qu'a lieu sa première exposition à la Hugo Gallery (New York). Entre 1953 et 1955, Andy devient créateur de costumes dans une troupe de théâtre. Il s'affuble alors d'une perruque platine qui le caractérise. Il ne cessa de mener cette double vie : « J'ai commencé comme artiste commercial et je veux terminer comme artiste d'affaires » dit-il.

     

    Minute culture : Andy Warhol

     

    Andy Warhol, artist, Jay Johnson and Candy Darling,

     

    En 1954, sa première exposition à la Loft Gallery de New York a lieu. En 1955, il réalise bon nombre de publicités, allant même jusqu'à fabriquer des cartes de Noël pour divers magasins, comme Tiffany's. Certaines de ces cartes de Noël sont disponibles dans le livre Greetings from Andy (Warhol) Christmas at Tiffany's. En 1956, une exposition exclusive a lieu à la Bodley Gallery, de plus il expose aussi sur Madison Avenue. Durant cette même année, il fait le tour du monde. Sa publicité pour Miller obtient la médaille du Thirty Fifth Annual Art Director's Club Award's. En 1957, il obtient un autre prix pour ses publicités, l'Art Director's Club medal. Il fonde la même année une société gérant les commandes publicitaires.

    Minute culture : Andy Warhol

     

    Années 1960 :

    En 1960, il réalise ses premiers tableaux inspirés des comics, à la même période que Roy Lichtenstein. C'est en 1962 que Warhol participe avec Roy Lichtenstein et des artistes français (comme Klein et Niki de Saint Phalle...) à une exposition majeure du Pop Art et du Nouveau réalisme du nom de The New Realists à New York. Il peint ses premières boîtes de soupes Campbell's et Dollars, et compose aussi ses premières sérigraphies sur les stars américaines. Irving Blum, directeur d'une galerie de Los Angeles, expose les trente-six boîtes de soupes et les achète toutes. Première exposition exclusive à la Eleanor Wards Stable Gallery à New York.

     

     

     

    L'artiste commence ses séries sur la mort et sur les catastrophes. En janvier 1964, Warhol ouvre la Factory dans un loft sur la 47e rue. C'est une sorte d'atelier artistique qui sert en même temps de studio d'enregistrement pour ses œuvres cinématographiques et de lieu de rencontre pour son entourage. C'est là qu'il tourne plusieurs films expérimentaux, largement improvisés, sans sujet ni scénario. À la manière de ses toiles, ces films ne sont en réalité qu'une seule séquence répétée plusieurs centaines de fois, comme par exemple dans Sleep, où l'on voit le même homme dormir pendant 20 minutes, cette séquence étant répétée dix-huit fois pour former un film de six heures.

    En 1964 a lieu la première exposition exclusive en Europe. Pour l'exposition universelle de New-York, Warhol crée le panneau mural Thirteen Most Wanted Men (« Treize hommes les plus recherchés »), œuvre qui devra être recouverte de peinture car cette œuvre, représentant des criminels, choque à l'époque. Il commence ses sérigraphies en 3D en reproduisant des boîtes de ketchupHeinz ou de tampons à récurer Brillo(en).

    En 1965, il annonce officiellement qu'il abandonne l'art pictural pour des œuvres cinématographiques, mais il n'arrêtera jamais. C'est entre 1966 et 1968 qu'une immense production cinématographique3 conjuguée au soutien pour le Velvet Underground, font de lui un artiste touche-à-tout. Il découvre le Velvet en décembre 1965 et en devient le producteur4,5. Le groupe se produit souvent à la Factory. En 1968, la Factory déménage au 33 Union Square West.

     

     

    Tentative d'assassinat :

    Le 3juin1968, il échappe de peu à la mort quand Valerie Solanas, militante féministe, qui avait confié le manuscrit d'une pièce de théâtre à Warhol sans que ce dernier n'y prête aucune attention, tire trois coups de pistolet sur lui dans le hall de la Factory. Les deux premiers coups manquent leur cible, mais la troisième balle lui transperce le poumon, la rate, l'estomac, le foie et l'œsophage. Elle tirera aussi sur le critique d'art et compagnon d'Andy, Mario Amaya et essayera également de tuer son impresario, Fred Hughes, avant que l'arme ne s'enraye. Déclaré pendant un temps cliniquement mort, Warhol s'en tirera de justesse, mais il ne récupérera jamais vraiment et devra porter un corset jusqu'à la fin de ses jours

    Années 1970 :

    Andy Warhol en 1977

    En 1969, baignant à la fois dans le milieu underground et VIP de l'époque, Warhol publie les premiers exemplaires de son magazine Interview, créé avec Gerard Malanga, avec des articles illustrés sur les célébrités du moment. Durant les années 1969 et 1972, il réalise quelques œuvres sur commande, pour des amis ou des directeurs de galerie.

    En 1972, il fait un retour à la peinture avec des portraits sérigraphiés, comme ceux de Mao Zedong, tableaux retouchés de manière très gestuelle tout en réalisant des œuvres d'art abstrait et en utilisant la peinture à l'oxydation. Warhol est alors submergé par les commandes. Les séries Skulls et Still Life (marteaux et faucilles) sont produites en 1976.

    Entre 1979 et 1980, Warhol commence les grandes séries rétrospectives, séries reprenant les motifs les plus connus de son œuvre (Campbell's Soup, U.S. dollar Sign, flowers, ...).

    Années 1980 :

    Durant l'année 1980, Warhol produit des clips vidéos et ouvre la chaîne de télévision câblée Andy Warhol TV. Il fait aussi paraitre le livre POPsim, The Warhol's 60s.

    Entre 1982 et 1986, il réalise les dernières séries reprenant des œuvres très célèbres, comme la Naissance de Vénus de Boticelli ou la Cène de Vinci. En 1986 viendront les derniers Selfportraits et la série de portraits de Lénine.

     

     

    Pendant ses dernières années, il n'hésita pas non plus à profiter de sa notoriété pour mettre en avant de jeunes artistes de New York comme Jean-Michel Basquiat ou encore Keith Haring.

    Andy Warhol meurt à New York le 22février1987 à 6 h 32. Il avait subi une intervention banale de la vésicule biliaire au New York Hospital dont il semblait bien se remettre, mais il mourut dans son sommeil d'une attaque cardiaque soudaine. Warhol avait longtemps retardé l'intervention par peur du milieu médical.

     

    Minute culture : Andy Warhol

     

    Œuvre :

    Il fut amoureux de Marilyn Monroe dans les années 1950-1955, ce qui l'inspirera beaucoup dans ses projets futurs. Au début des années 1960, Andy Warhol était un illustrateur publicitaire reconnu. Dans ses dessins publicitaires, Andy Warhol utilisait une technique directe : il dessinait ses créations sur du papier hydrofuge, repassait les contours d'encre encore humide sur des feuilles de papier absorbant, sur le principe du buvard. Bien que, durant cette période, beaucoup d'artistes travaillaient en tant qu'illustrateur publicitaire pour des entreprises, tous le faisaient discrètement. Warhol était, quant à lui, si reconnu en tant que dessinateur publicitaire que le reste de son travail artistique n'était pas pris au sérieux.

    Pour y remédier, il tenta d'exposer dans une galerie quelques-unes de ses œuvres, utilisant ces techniques, mais ce fut un échec. C'est à ce moment-là qu'il reconsidéra son travail commercial et le reste de son art. Plutôt que de les opposer, il pensa à les réunir. Il tenta alors de rendre la culture populaire et commerciale plus élitiste. Il adhère au Pop-Art, mouvement lancé à Londres au milieu des années 1950 par Richard Hamilton et Eduardo Paolozzi.

    Le Pop-Art était une forme expérimentale que beaucoup d'artistes s'approprièrent indépendamment les uns des autres. Parmi les pionniers, on peut remarquer Roy Lichtenstein et Jasper Johns. Mais Andy Warhol sera, plus tard, considéré comme « Pope of the Pop » c'est-à-dire « Pape du Pop » par ses contemporains.

    En 1963, il adopte la technique qu'il utilise pour ses œuvres les plus célèbres : la photographie sérigraphiée est reportée sur toile. Les photographies utilisées sont en noir et blanc, il colore le fond de la toile, et ensuite, imprime le sujet, le visage de Marilyn Monroe par exemple, avec seulement quelques détails, pour le rendre plus neutre, pour les reproduire par sérigraphie. Souvent, c'est un motif qui sera reproduit plusieurs fois sur la toile. C'est le stéréotype du Pop art.

    Ses figures favorites sont les noms de marque déposés, le symbole du dollar ou les visages de célébrités. Le ton est à la fois populaire et iconoclaste, s'inspirant de la culture populaire. Le thème des Comics, qui avait d'abord intéressé l'artiste, est déjà pris par le peintre Roy Lichtenstein qui en fait son outil visuel. Celui de la typographie est utilisé par Jasper Johns.

    Pour se distinguer, Warhol comprend qu'il doit trouver une niche qui devienne son sujet principal. Ses amis lui suggèrent de peindre la chose qu'il adore le plus par-dessus tout. C'est ainsi que pour sa première exposition majeure, il peint les fameuses conserves Campbell's Soup.

    Cette œuvre est encore considérée comme sa marque de fabrique. Les thèmes fondamentaux chez Warhol sont l'image, son pouvoir au sein de la société de consommation et son lien avec la mort. Chez Warhol, la répétition de la figure se rapporte souvent à son exténuation. Le choix des sujets est en rapport avec cette obsession de la mort, y compris pour les toiles célèbres de Marilyn Monroe (peinte après sa mort) ou de Liz Taylor (peinte alors que l'actrice était gravement malade).

     

    Dans les dernières années de son œuvre, Warhol devient pratiquement un peintre de cour, appliquant son style à de nombreux portraits de commande, tout en continuant à creuser sa réflexion sur la peinture avec ses séries Shadows, Oxidation paintings, et des reprises de toiles de Botticelli ou de Léonard de Vinci.

     

    SOURCES Wikipedia - photos google et diverses.

     

    Minute culture : Andy Warhol

     

     

     

     

     

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     Thomas Lawrence

     

     

     

    “Portrait of Arthur Atherley as an Etonian”

    by Thomas Lawrence

     

     

     

    Sir Thomas Lawrence (13 avril 1769 à Bristol7 janvier 1830) est un célèbre peintre anglais, surtout de portraits.

     

    

Julia, Lady Peel - Thomas Lawrence - 1827

    Julia, Lady Peel - Thomas Lawrence - 1827

    (Source : fleurdulys, via calantheandthenightingale)

    Lawrence se rend à Londres en 1787, où il est reçu par Joshua Reynolds et devient étudiant à la Royal Academy. Il en est élu membre en 1794 et président de 1820 à sa mort.

     

    Il a peint de nombreux portraits de Caroline de Brunswick, dont il aurait été l'amant.

     

    En 1815, il est anobli[2]. En 1818, il se rend à Aix-la-Chapelle pour peindre les souverains et diplomates qui y sont réunis pour le troisième congrès. Il visite alors Vienne et Rome, recevant partout des princes de flatteuses marques de distinctions.

     

    Il fut un des maîtres de George Henry Harlow.

     

     

     

     

    Thomas Lawrence : Master Charles William Lambton, 1825

     

     

    Sir Thomas Lawrence  Mary Hamilton (1789) 

    Sir Thomas Lawrence Mary Hamilton (1789)

     

     

    Sir John Soane painted by Thomas Lawrence.

     

    Sir John Soane painted by Thomas Lawrence.

     

    in Candice's
    Regency World article 1788.

     

     

    (c) The Royal Society; Supplied by The Public Catalogue Foundation

    Sir Humphry Davy, after Sir Thomas Lawrence, c1821.
    National Portrait Gallery, London.
     
     
     
     
     
     

    

Julia, Lady Peel - Thomas Lawrence - 1827

     

    Julia, Lady Peel - Thomas Lawrence - 1827

    (Source : fleurdulys, via calantheandthenightingale

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lawrence est décédé subitement le 7 Janvier 1830, quelques mois seulement après son amie Isabelle Wolff. Quelques jours auparavant, il a éprouvé des douleurs thoraciques, mais a continué à travailler et il s'est effondré et est mort au cours d'une visite chez son ami Elizabeth Archibald Keightley.

      

    Après un examen post-mortel, les médecins ont conclu que la mort de l'artiste avait été causé par une ossification de l'aorte et les vaisseaux du cœur.

     

    Lawrence est enterré le 21 Janvier dans la crypte de la cathédrale St Paul. Parmi les personnes à l'enterrement il y avait Joseph Mallord William Turner qui peint une esquisse de l'enterrement.

     

     

     

    File:Thomas Lawrence Pinkie.jpg

     

     

     

    Pinky 1794

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
     
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    George Welbore Agar-Ellis

     

      

    Sir Thomas Lawrence, Portrait of George Welbore Agar-Ellis,

    Later 1st Baron Dover, c. 1823-1824

      

     

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  • Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Portrait of William B. Ogden, 1895.

      

    “Anders Zorn: A European Artist Seduces America” is a remarkable trio of firsts. It is the first historic exhibition to be shown in the new Renzo Piano designed wing (The Hostetter Gallery) of the Isabella Stewart Gardner Museum in Boston, it is the first show organized and realized by Oliver Tostmann, the museum’s new curator, and it is the first time in 25 years that an international loan exhibition of Zorn’s work is on display in the States.

    “Too young to be an Impressionist, too old to be a Modernist,” declares Tostmann, this intimate collection highlights Zorn’s influential place in the history of modern art. Bold brushstrokes, along with a masterful understanding of light, bring his subjects to life in a way that feels uniquely timeless and far from the academic portraits of the time. Take for example his painting of Isabella Stewart Gardner. Adorned in a luminous white dress with arms widespread, her youthful zest for life pops off the canvas, as if she is saying, I love life, I love art, I love beauty!

     

    anders zorn 5

    Self-Portrait, 1889, Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Florence, Galleria degli Uffizi, Soprintendenza Speciale Per Il Polo Museale Fiorentino

    anders zorn 6

    Portrait of Isabella Stewart Gardner in Venice, 1894, Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Isabella Stewart Gardner Museum, Boston

    anders zorn 3

    Omnibus (study) – oil sketch, 1892, Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Zorn Museum, Mora, Photo: Lars Bergland

    anders zorn 4

    The Omnibus, second version, 1892, Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Isabella Stewart Gardner Museum, Boston

    anders zorn 1

    In Wikström’s Studio, 1889, Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Zorn Museum, Mora, Photo: Patric Evinger

    anders zorn 2

    Opal, 1891, Anders Zorn (Swedish, 1860-1920), Worcester Art Museum, Worcester, Massachusetts 

     

      

     

     

      

      

      

      

      

      

      

     

     

    Mrs Walter Bacon

     

     

     

     

    Anders Zorn bruden oil painting picture

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      

      

      

      

      4 Martha Dana foremost Sweden painter Anders Zorn

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Rolf Armstrong

     

     

    Fichier:Rolf Armstrong self portrait 1914.jpg

    Rolf ARMSTRONG... le peintre 

     Rolf Armstrong, né le juin 1907 à Bay City (Michigan) et mort le 22 février 1960 à Oahu (Archipel d'Hawaï), est un peintre américain connu pour ses Pin-ups et ses portraits féminine en couverture du magazines Photoplay.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    William-Adolphe-Bouguereau,-Portrait-of-Gabrielle-Cot,-1890

      

      

     

     

     

     William-Adolphe Bouguereau (1825-1925)

     

     

    Autoportrait (1886)

     

    William Bouguereau (30 novembre 182519 août 1905), né et mort à La Rochelle, est un peintre français de style académique.Son acte de naissance indique Adolphe Williams Bouguereau, mais la dénomination d'usage est William Bouguereau.

     

    Bouguereau-Yvonne1896

     

     

     

    Il est le fils d'un négociant en vins de Bordeaux et sa famille de conviction catholique, a des origines anglaises.

     

     

     

    Il apprend le dessin à l'école municipale de dessins et de peintures de Bordeaux. En 1846, il entre aux Beaux-arts de Paris dans l'atelier de François-Édouard Picot sur la recommandation de J. P. Allaux.

    Lady with Glove - William-Adolphe Bouguereau

     

     

    Il remporte le second prix de Rome ex aequo avec Gustave Boulanger pour sa peinture Saint Pierre après sa délivrance de prison vient retrouver les fidèles chez Marie (1848).

     

     

    Bouguereau_William_L-_italienne_au_tambourin

     

     

    Il remporte le Premier Prix de Rome en 1850 avec Zénobie retrouvée par les bergers sur les bords de l'Araxe.

     

    William-Adolphe Bouguereau 

     

    En 1866, le marchand de tableaux Paul Durand-Ruel s'occupe de sa carrière et permet à l'artiste de vendre plusieurs toiles à des clients privés ; il a ainsi énormément de succès auprès des acheteurs américains, au point qu'en 1878 lors de la première rétrospective de sa peinture pour l'exposition internationale de Paris, l'État ne peut rassembler que douze œuvres, le reste de sa production

    étant expatriée aux États-Unis.

      

      

    Il passe aussi un contrat avec la maison d'édition Goupil pour la commercialisation de reproductions en gravure de ses œuvres.

     

     William Adolphe Bouguereau (William Bouguereau): Lady Maxwell

     William Adolphe Bouguereau (William Bouguereau): Lady Maxwell

     

     

    le_gouter-bouguereau-

     

     

     

    Professeur en 1888 à l'École des Beaux-Arts et à l’Académie Julian de Paris, ses peintures de genre, réalistes ou sur des thèmes mythologiques sont exposées annuellement au Salon de Paris pendant toute la durée de sa carrière.

      

      

    Il travaille aussi à de grands travaux de décoration, notamment

      

    pour l'hôtel de Jean-François Bartholoni, et fait aussi le plafond

    du Grand-Théâtre de Bordeaux.

     
    William-Adolphe Bouguereau

     

     

    3-bouguereau-

     

     

     

    En 1876, il devient membre de l'Académie des Beaux-Arts, mais l'année suivante est marquée par des deuils successifs, d'abord ses deux enfants et ensuite son épouse décèdent.

     

     William-Adolphe Bouguereau

     

    En 1885, il est élu président de la Fondation Taylor, fonction qu'il occupera jusqu'à la fin de sa vie.

      

    Il obtient la médaille d'honneur au Salon.

     

     

     

    Far-from-home-Loin-du-pays-1867

     

     

     

    À un âge assez avancé, Bouguereau épouse, en deuxièmes noces, une de ses élèves, le peintre Elizabeth Jane Gardner Bouguereau.

     

     

     

    Le peintre use également de son influence pour permettre l'accès des femmes à beaucoup d'institutions artistiques en France.

     

     

     

    Il meurt en 1905 à La Rochelle.

     

     

     

    François-Alfred Delobbe, Émile Vernon furent ses élèves. 

     

     

     

     

     

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

    William Adolphe Bougereau

    La tricoteuse

    border-031 

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Le gouter

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Les pommes

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Une vocation

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Parure des champs

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Le repos

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Les prunes

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    En Penitence

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Essai de l'eau

     

     

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    A la fontaine

     

     

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Au bord du ruisseau

     

     

     

     William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Bohemienne

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    Tricoteuse

     

     

     

    William Adolphe Bougereau

     

    William Adolphe Bougereau

     

    L'espiègle fillette

     

     

    William Adolphe Bougereau

    William Adolphe Bougereau

    L'Orage

     

    William Adolphe Bougereau

    William Adolphe Bougereau

     

    Tricoteuse

     

      

     

    sources : WIKIPEDIA - photos google - Wikipedia

     

      

    3-bouguereau-reading-the-bible-  

      

     

     

     border-031

     

     

     

     

     

     

     

     

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