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    Viggo Johansen

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Artists, Dordogne River ~ Jules Gervais Courtellemont

     

    Jules Gervais-Courtellemont est un photographe français né en 1863 en Seine-et-Marne et mort en 1931.

     

     

    Il est notamment connu pour une série d'autochromes (photographies en couleur réalisées suivant le procédé des frères Lumière à partir de 1907) dont une grande partie (5000) est conservée à la cinémathèque Robert-Lynen à Paris, l'autre partie se trouvant à la National Geographic Society dont la revue a publié de très nombreuses reproductions dans les années 1920. Quelques autochromes ont également été achetés par le banquier Albert Kahn et sont aujourd'hui conservés au Musée départemental Albert-Kahn à Boulogne-Billancourt.

    Il a grandi en Algérie et a toute sa vie recherché l'exotisme. Grand voyageur, Jules Gervais-Courtellemont a photographié l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, la Turquie, la Palestine, l'Égypte, L'Espagne, le Portugal, l'Inde et la Chine.

    Converti à l'Islam, il a ramené des photos inédites de la Mecque en 1896, publiées dans L'Illustration en 1897.

    Beau-fils de l'éditeur Charles Lallemand, il était également l'ami de Pierre Loti et du photographe Émile Fréchon qu'il a invité en Algérie pour y collaborer à sa revue l'Algérie Pittoresque et Artistique.

    Il a également photographié la Première Guerre mondiale avec des scènes reconstituées dans les tranchées après-guerre, et notamment les troupes coloniales. 

     

     

    1863-1931.

    Photographe et éditeur, ami de Pierre Loti, d’Auguste Rodin, d’Albert Kahn. Il consacra l’essentiel de sa vie à parcourir le monde, et plus spécialement l’Orient. De ces nombreux voyages, il rassembla une importante collection de photographies, essentiellement des autochromes. C’est dans les années 1880, en Algérie, qu’il acquiert la pratique de la photographie, voyant par ce médium l’outil le plus adapté pour « reproduire fidèlement les splendeurs du passé et le pittoresque du présent ». De ce fait, il se lancera d’ailleurs dans la publication d’une revue à partir de 1889 ; L’Algérie artistique et pittoresque. La première découverte de l’Orient pour Jules Gervais-Courtellemont s’effectua quelques années plus tard, en 1893. De Paris à Jérusalem via Constantinople, il traversa les pays avec pour unique regret de ne pouvoir rapporter que des clichés en noir et blanc. Ainsi, dès la démonstration du procédé de l’autochrome par les frères Lumière en 1907, il entreprit immédiatement le même voyage avec son épouse , rapportant cette fois-ci les premières Visions d’Orient colorées. Face aux succès que remportèrent ses témoignages photographiques en couleurs, lui et sa femme entreprirent de parcourir le monde, afin de constituer une collection importante d’autochrome . Ils parcoururent l’Algérie (1911, 1912), la Tunisie (1911), le Maroc (1921), l’Espagne (1911, 1914), l’Italie et les Indes (1913), le Japon et le Tibet. Converti à l’Islam, Jules Gervais-Courtellemont ramena des photographies inédites de la Mecque en 1896, publiées dans L’Illustration en 1897. Jules Gervais-Courtellemont photographia également la Première Guerre Mondiale avec des scènes reconstituées dans les tranchées après-guerre, ainsi que des clichés sur les troupes coloniales. La majorité de l’œuvre photographique de Jules Gervais-Courtellemont est conservée à la Cinémathèque Robert-Lynen de la ville de Paris.

    Les Visions d’OrientDès son retour en France, à la suite de son deuxième voyage vers l’Orient en 1907, Jules-Gervais Courtellemont eu la volonté de transmettre au public ses premières images autochromes. Sous le titre de Visions d’Orient, il organisa sa première « projection-conférence » en couleurs à l’Hôtel de l’Université des Annales en 1908. De 1908 à 1909, ses Visions d’Orient furent projetés chaque soir, salle Charras à Paris. La brochure publicitaire de cet évènement traduit l’engouement du public pour ce photographe et ses premières images en couleurs ;

    Grace à lui, nous verrons de notre fauteuil, défiler les prestigieux paysages remplis de chaudes lumière, que les immortelles pages de Loti ont célébrés, succession de clichés qui ont enregistré la féerie de ces colorations étranges et fugitives, si nouvelles à nos yeux d’Occident, suivis par les plaques sensibles à la couleur jusqu’après la disparition du soleil derrière l’horizon.

    Face à ce succès, il entreprit avec sa femme de rassembler une collection d’autochromes plus importante sur le même sujet. Plus de 1 500 plaques de verre furent rassemblées à leur retour et alimentent ces Visions d’Orient.

    L’amitié entre l’écrivain Pierre Loti et le photographe Jules Gervais-Courtellemont s’exprime clairement à travers ces autochromes. Ils partagèrent le même amour pour l’Orient et l’Islam , la même admiration pour Constantinople, source de leur inspiration. L’un l’exprimait par la force évocatrice de ces mots, l’autre par la magie des autochromes . Ces deux modes d’expressions fusionnèrent de temps à autre à l’occasion des conférences, les mots de Loti semblant être fait pour les autochromes de Courtellemont :

    Les phrases que j’avais « coupées » de vos œuvres s’appliquaient si exactement, si mathématiquement à la vérité documentaire de mes petites images que le public enthousiaste soulignait de ses applaudissements la vérité « saisissante » de vos descriptions.

    Les autochromes de Jules-Gervais Courtellemont n’eurent pas uniquement ses conférences comme support de diffusion. Le 26 novembre 1910, le magazine L’Illustration publia ses premières photographies couleurs, accompagnées de ses commentaires. Pour la première fois, le public vît dans la presse les toutes premières photographies en couleurs. Dès les premières lignes de l’article de Jules Gervais-Courtellemont, nous ressentons le regard d’un homme emprunt d’exotisme mais aussi très attaché à offrir des témoignages réalistes sur les pays qu’il traverse :

    Les souvenirs un peu confus des contes qui ont bercé notre enfance ou charmé notre adolescence, vagues réminiscences de romans ou de légendes, ont peuplé nos esprits de « Visions d’Orient » dont les images se précisent en somptueux palais, blanches coupoles et fins minarets, cavaliers fougueux brandissant le cimeterre, palmiers élancés se découpant sur un ciel très bleue. L’Orient des Mille et une Nuits et des Croisades. Sur l’Orient d’aujourd’hui, infiniment plus prosaïque et de jour en jour plus modernisé, nous sommes peu ou mal renseignés. Les choses les plus contradictoires nous sont quotidiennement dites sur ces pays et ces peuples d’Islam dont la civilisation diffère totalement de la notre, dont les conceptions philosophiques et sociales, voire économiques, sont aux antipodes de ce que nous considérons comme des vérités. Ils méritent d’être mieux connus.

    Jules Gervais-Courtellemont était qualifié de « maître artiste » par les critiques de l’époque. Les images regardées par l’homme d’aujourd’hui paraissent emblématiques d’une certaine idée de l’Orient, d’un exotisme mais aussi du regard d’un homme sincèrement attaché à décrire l’évolution sociale des pays traversés.

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    Mme Scherzo

     

     

     

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Julia, Lady Peel - Thomas Lawrence - 1827

    Julia, Lady Peel - Thomas Lawrence - 1827

    (Source : fleurdulys, via calantheandthenightingale)

     

     

     

     

     

     

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    Albert Anker (1831-1910), Girl Peeling Potatoes.

     

     

     

    Albert Anker (1831-1910), Girl Peeling Potatoes.

     

    Albert Anker, né le 1er avril 1831 et mort le 16 juillet 1910 à Anet (Berne), est un illustrateur et peintre suisse. On l'appelle fréquemment le « peintre national » de la Suisse en raison de ses représentations durablement populaires de la vie des villages de son pays au XIXe siècle

     

     

    Albert Anker art  

      

      

    Albert Anker est le deuxième enfant d’un vétérinaire d’Anet. Il va à l'école à Neuchâtel, ou en compagnie d'Auguste Bachelin, il suit ses premiers cours de dessin chez Louis Wallinger entre 1845 et 1848. Il étudie ensuite au gymnase de Kirchenfeld où il obtient sa maturité en 1851.

      

    Albert Anker art

     

      

    Anker entreprend ensuite des études de théologie à l'université de Berne, qu'il poursuit à celle de Halle, en Allemagne. Là, inspiré par les importantes collection d'art, il parvient à convaincre son père de l'autoriser à épouser la carrière artistique.

     

     

    Albert Anker art  


     

     

    Anker se rend alors à Paris, où il devient l'élève de Charles Gleyre, chez qui Pierre-Auguste Renoir étudie aussi, dès 1862. Puis, entre 1855 et 1860, il suit les cours de l'École nationale supérieure des beaux-arts.

     

     

    File:Albert Anker um 1901.jpg

      

      

    Il installe ensuite un studio dans la maison de ses parents et participe régulièrement à des expositions en Suisse et à Paris Anker épouse, en 1864, Anna Rüfli de Langnau. Le couple a six enfants dont deux meurent très jeunes, les quatre autres Louise, Marie, Maurice et Cécile apparaissent dans certaines de ses peintures.

      

    Albert Anker art

      

    En 1866, Albert Anker commence à faire des projets pour le céramiste Théodore Deck ; au fil des ans, il va réaliser plus de 300 dessins pour des faïences. La même année, il reçoit la médaille d'or du Salon de Paris pour Schlafendes Mädchen im Walde (1865) et Schreibunterricht (1865). La famille Anker passe généralement l'hiver à Paris et l'été à Anet.

      

    File:Albert Anker Schreibunterricht 1865.jpg

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    Schreibunterricht (1865), médaille d'or du Salon de Paris.

      

    Entre 1870 et 1874, il est élu député au Grand Conseil du canton de Berne, où il soutient la construction du Musée des beaux-arts. Anker voyage beaucoup, il se rend à Bruxelles, Anvers, Gand, Lille, passe l'hiver 1883-1884 à l'Académie Colarossi où il réalise des aquarelles, puis part pour l'Italie. Anker est membre de la Commission fédérale des beaux-arts, une première fois de 1889 à 1893, puis de 1895 à 1898[1].

     

    En 1890, il renonce à son domicile parisien pour demeurer uniquement à Anet. Il siège, dès 1891, à la commission fédérale de la fondation Gottfried Keller. Anker est membre du jury de l'Exposition internationale d'art de Munich, en 1897. Il effectue, en 1899, son dernier voyage à Paris. L'université de Berne lui confère, en 1900, le titre de docteur honoris causa. En septembre 1901, Anker est victime d'une attaque qui paralyse temporairement sa main droite.

      

      

    À cause de cette invalidité, il ne lui est plus possible de travailler sur de grandes toiles. Dans une position de travail qui lui est confortable - assis sur une chaise et la feuille de papier posée sur les genoux - il peint des aquarelles, plus de 500, dont le croquis au crayon est minimaliste.

     


     Albert Anker art

      

      

    Albert Anker meurt le 16 Juillet 1910 à Ins. Deux expositions commémoratives sont organisées, la première au Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel du 1er au 30 novembre 1910, puis au Musée des beaux-arts de Berne du 15 janvier au 12 février 1911.

      

      

    À l'occasion du 100e anniversaire de sa mort, le musée Oskar Reinhart de Winterthour organise une rétrospective de son œuvre, intitulée Albert Anker. Schöne Welt. Zum 100. Todestag.

     

     

     

    Œuvres

    Anker peint, entre autres, des portraits d'enfants, des représentations historiques et religieuses, des natures mortes et des paysages ruraux. Il se distingue de son maître Gleyre en ce que la représentation de ses personnages n'est ni parfaite, ni stylisée, mais très animée.

     

     


    File:Albert Anker 001.jpg

     

    La petite fille aux dominos

      

      

    Représentations enfantines

    Dans la peinture européenne du XIXe siècle, Anker est l'un des plus importants créateurs de représentations enfantines. Il a peint environ 600 huiles, dont plus de 250 tableaux d'enfants, seuls ou en groupe.

      

      

    Dans Knöchelspiel, de 1864, il peint des enfants, jouant aux osselets, un jeu de groupe qui leur permet l'acquisition de compétences pour leur vie future au sein de la société et de l'État.

      

      

    File:Anker Turnstunde in Ins 1879.jpg

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

      

    Leçon de gymnastique à Anet (1879)

      

    Le jeu dans la vie insouciante des enfants peut devenir la lumière de l'existence du monde sérieux des adultes. L'intérêt d'Anker pour le jeu va au-delà de la médiation anthropologique entre culture et éducation. Il exige à la fois une motricité fine et de la concentration, une imagination constructive et de la créativité.

      

      

      

    A l'image de La Jeune fille aux dominos, en 1900, qui illustre la puissance créatrice d'Anker, pour montrer la concentration de la jeune fille sur son jeu, qui révèle sa vision du monde des enfants. Dans les représentations des jeux de société d'Anker, l'enfant prend conscience de son individualité au travers de son acte créateur.

     

    Le monde des enfants d'Anker montre le changement éducatif en Europe au XIXe siècle, tel que nous le rencontrons dans l'esprit humaniste des suisses, Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) et Johann Heinrich Pestalozzi (1746-1827). L’œuvre d'Anker le raconte au travers de nombreuses représentations d'élèves au tableau noir, tenant une plume, lisant ou portant une ardoise.

      

      

      

    Il raconte l'histoire d'une époque où l'éducation des enfants du pays n'était pas évidente car ils étaient considérés comme de petits adultes. Ce n'est qu'en 1874 que l'enseignement primaire obligatoire est ancré dans la Constitution suisse.

     

    Dessins

    Anker développe, à un âge précoce, ses talents artistiques de dessinateur, bien avant qu'il ne commence sa formation à Paris en 1854. Encore enfant, il utilise chaque occasion pour dessiner, à l'école, en chemin ou à la maison.

      

      

    En 1846, pendant ses cours de dessin privés, il réalise l'étude d'un crâne au crayon, au gymnase de Neuchâtel, qui lui vaut un prix d'excellence, ce qui lui arrive ensuite régulièrement. Cette reconnaissance de son talent donne au jeune Anker la certitude qu'il a les compétences nécessaires pour devenir peintre professionnel.

     

    Sa gamme d'œuvres sur papier, va de croquis rapides, qui servent de variantes à ses dessins, ou d'échantillons pour ses clients, jusqu'à des travaux détaillés et élaborés, qui sont considérés comme des œuvres distincte. Il réalise 230 dessins et aquarelles, pour le compte de l'éditeur neuchâtelois Frédéric Zahn (1857–1919) afin d'illustrer son édition de œuvres de Jeremias Gotthelf, ainsi que pour d'autres publications populaires.

     

    On connait de lui des travaux au crayon, fusain, plume, craie, sanguine, pastel ou sépia et des mélange de divers techniques sur des formats variés. Le nombre d'œuvres sur papier, réalisées par Anker n'est pas connu, mais on peut supposer qu'il en existe plusieurs milliers.

      

      

      

    Le style de son langage pictural va du travail au crayon finement exécuté au dessin au noir de charbon vigoureusement tracé qui est à la base de ses aquarelles, peintures à l'huile et faïence, qui représentent une partie importante de son œuvre.

     

     

     

      

     

      

     

      

     

      

      

     

     

     

     

     

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    By Elizabeth R. Finley

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    File:William-Adolphe Bouguereau (1825-1905) - Portrait de Mademoiselle Elizabeth Gardner (1879).jpg

      

    Portrait of Miss Elizabeth Gardner 1879

      

      

    Elisabeth Jane Gardner (née le 4 octobre 1837 à Exeter dans le New Hampshire, et morte le 28 janvier 1922 à Paris) est une artiste-peintre américaine.

     

     

     

     

     

    Jeune fille de bonne éducation, Elisabeth Jane Gardner apprit le dessin et l'aquarelle au collège de Lasell et se lia d'amitié avec son professeur Imogene Robinson.

    Robinson partit en Europe et Elisabeth Jane Gardner alla étudier à Boston.

    Elle comprit qu'il lui fallait une formation plus poussée et partit pour Paris rejoindre Robinson en 1864.

     

     

     

     

     

     

    Elle fut la première femme peintre américaine à exposer au Salon de Paris en 1866 et la première à gagner la médaille d'or en 1872.

     

     

     

     

     

     

      

     

      

     

    Elle étudia avec Ange Tissier, Merle et Jules Joseph Lefebvre et finalement

    avec William-Adolphe Bouguereau, qu'elle épousa en 1896.

    Il était âgé de 71 ans.

     

     

    L’imprudente (The Imprudent Girl)

     

    In The Woods

     

    Young Girl Holding A Basket Of Grapes

     

    Bubbles

     

    Judgement of Paris

     

    An Apple Today

     

    In the Garden

     

    He Careth

     

    La Becquée

     

    The Farmer’s Daughter

     

    Friends

     

    The Shepherd David

     

    Young Girl With Lilies

     

    Young Girl At The Well

     

    Rudyard Kipling’s Daughter

     

    A la fontaine

     

     

     

     

     

     

      

     

    Influencée par son mari dans sa manière de peindre, elle avoua :

    « Je préférerais être connue comme le meilleur imitateur de Bouguereau que n'être personne. »

     

     

     

    [Elizabeth Gardner Bouguereau in her studio]

     

      

     

    Après la mort de son mari en 1905, elle peignit quatre toiles importantes

    avant d'arrêter, gênée par des rhumatismes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Portret van een meisje in blauw, Johannes Cornelisz. Verspronck,

    Rijksmuseum, Amsterdam

    Portret van een vrouw, Lucas Cranach de oudere,

    Natonal Gallery, Londen

    Portret van Gravin Ursula Mniszek, Dmitry Levitsky,

    The State Tretyakov Gallery, Moskou

    Gravin van Haussonville, Jean-Auguste-Dominique Ingres,

    The Frick Collection, New York

    Portret van een vrouw, Hans Baldung,

    Museo Thyssen-Bornemisza, Madrid

    De geboorte van Venus, Sandro Botticelli,

    Uffizi Gallery, Florence

    Flora, Rembrandt, The State Hermitage Museum,

    St. Petersburg

    Portret van M.I. Lopukhina, Vladimir Borovikovskiy, T

    he State Tretyakov Gallery, Moskou

    Portret van Hendrickje Stoffels, Rembrandt,

    Gemäldegalerie, Berlijn

    Portret van Madame Roulin, Vincent van Gogh,

    Van Gogh Museum, Amsterdam

     

     

     

     

     

     

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    Georges Ernest COQUART 

     

     

    Jean-Jacques Henner, est un peintre français né à Bernwiller

    (Haut-Rhin) le 5 mars 1829 et mort à Paris le 23 juillet 1905.

    Auteur d’un œuvre abondant présent dans de nombreux musées, il a une réputation de portraitiste et de dessinateur apprécié de son vivant. Il est surtout connu pour ses nombreux nus féminins aux chairs pâles et aux poses alanguies. Il est resté toute sa vie à l’écart des évolutions artistiques de son époque.

    Ses tableaux les plus connus, L’Alsace. Elle attend ou Fabiola, datent des années 1870 à 1890. En 1889, il est élu membre de l'Académie des beaux-arts.

     

     

     

     

    Henri Chapu

      

      

      Fils de paysan sundgauvien, ses premiers tableaux sont des portraits et des scènes de la vie quotidienne des habitants de sa région traitées dans un réalisme parfois naïf. Henner suit ses premiers cours de dessin au collège d’Altkirch auprès de Charles Goutzwiller de 1841 à 1843 puis entre dans l’atelier de Gabriel-Christophe Guérin à Strasbourg.

      

    Grâce à l’octroi de plusieurs bourses du conseil général du Haut-Rhin, il poursuit dès 1848 ses études à Paris à l'École des beaux-arts et fréquente l’atelier de Michel Martin Drolling puis, à la mort de celui-ci, celui de François-Édouard Picot en 1851. À cette époque, il réalise de nombreuses copies d’après des chefs-d’œuvre de Titien, Raphaël ou Poussin exposés au musée du Louvre. Ingres, Pierre-Paul Prud’hon et Corot comptent parmi les peintres du XIXe siècle qu’il apprécie par ailleurs.

     

     

     

     

     

    Prix de Rome

    En 1858, année de la mort d’Ary Scheffer, et après deux tentatives infructueuses, le jury de l’École des beaux-arts composé de trente-et-un membres, parmi lesquels Abel de Pujol, Jean-Victor Schnetz, François-Joseph Heim, Picot, Jacques Raymond Brascassat, Flandrin, Delacroix et Léon Cogniet, lui décerne le Prix de Rome pour sa composition Adam et Eve trouvant le corps d’Abel ce qui lui ouvre les portes de la villa Médicis pendant cinq ans de 1859 à 1864.
    Henner décrit lui-même son œuvre en ces termes : « Mon Abel est couché tout le long, sur le premier plan.

      

    Ève à genoux s’élance vers lui Adam lui semble plutôt reculer, car il a deviné tout de suite, tandis qu’Ève pourrait encore doute. »
     

      

    Aujourd’hui le tableau appartient aux collections de l’École des beaux-arts.

      

    Il en existe une esquisse peinte au musée national Jean-Jacques Henner de Paris, ainsi qu’une seconde au musée des beaux-arts de Mulhouse. Une troisième esquisse se trouvant dans le commerce d’art new-yorkais. Une quatrième ou répétition appartient à une collection privée parisienne réunissant une série d’esquisses pour le concours de Rome constituée de Picot, dont Henner fut élève

     

     

    File:Jean Jacques Henner - La liseuse.jpg

     

    L’Italie

    Après l’obtention de son Prix de Rome, Henner part à la villa Médicis en 1859. Sur les conseils de Jean-Victor Schnetz, alors directeur de l’académie de France à Rome, Henner visite l’Italie : Rome, Florence, Venise, Naples, etc. dont il peint des paysages sur le motif et découvre le pittoresque. Il étudie les grand maîtres et travaille à ses envois annuels. Attiré par Le Caravage et Raphaël à Rome, il se tourne ensuite vers le Corrège et Titien après avoir parcouru le nord du pays de juin à octobre 1860.

    Le Voyage d’Italie est capital pour la suite de son œuvre, sa palette s’éclaircit, son trait s’assouplit et il abandonne la raideur de ses débuts. À Rome, Henner se fait de nombreuses relations utiles pour la suite de sa carrière. En 1870, il sera à l’origine de la création des Caldarrosti, groupe d’anciens élèves de Rome qui se réunissent régulièrement à Paris autour d’Louis Hector Leroux et d’Ernest Hébert.

    Henner ne retournera que deux fois en Italie, en 1888 et 1891.

      

    Le Salon

    De retour en France en 1864, Henner s’établit définitivement à Paris et emménage dès 1867 dans un atelier place Pigalle, où il côtoie Puvis de Chavannes, installé dans le même immeuble. Il entame alors sa carrière au Salon avec succès, cumulant commandes de portraits et achats de l’État. Au Salon de 1865 Henner est médaillé avec son dernier envoi de Rome, La Chaste Suzanne.

    Il expose régulièrement au Salon jusqu’en 1903, deux ans avant sa mort. À partir de 1876, ses tableaux sont également appréciés dans les expositions du Cercle artistique et littéraire de la rue Saint-Arnaud, puis de la rue Volney à Paris où il présente des œuvres aux côtés d’autres artistes renommés avant l’ouverture du Salon.

      

     

    Style

    Tout d’abord tenté par les tendances modernes, Henner s’oriente ensuite vers une esthétique personnelle éloignée de la peinture académique et du naturalisme en vogue. Très marqué par la guerre de 1870, il exprime sa douleur de la perte de l’Alsace dans L’Alsace. Elle attend.

      

    Henner entretient en effet des liens constants avec sa région natale, où il retourne chaque année malgré son annexion par l’Empire allemand en 1871. À partir de l’Idylle exposée au Salon de 1872, aujourd’hui au musée d’Orsay de Paris, l’art de Jean-Jacques Henner devient surtout emblématique par ses représentations de femmes rousses, nues, situées dans des paysages à peine esquissés comme Les Naïades, L'Églogue' ou encore sa Nymphe endormie.

     

     

    « On a dit qu'Henner est le peintre des blondes : des rousses surtout. Son goût pour le roux, c'est-à-dire pour la lumière, traduit jusque dans la façon dont, en certaines natures mortes, il s’est plu à peindre des chaudrons de cuivre d’une étonnante réalité, l’entraine tout naturellement à choisir pour modèles, lorsqu’il fait un tableau, les filles rousses pareilles à celle de Titien, dont les cheveux incendient la toile. »

      

      

    Les grandes figures religieuses, comme sa série sur les Madeleines, ainsi que les têtes idéales, sont d’autres caractéristiques de son art. La poésie qui se dégage de ses œuvres embrumées d’un subtil sfumato valorisant les chairs blanches des figures, a contribué au succès de Henner auprès des collectionneurs de tous horizons, promu par des marchands d'art, tels Knoedler et Bernheim, qui diffusent ses œuvres en Amérique

      

    File:Jean-Jacques Henner00.jpg

     

     

    Reconnaissance

    Outre son prix de Rome en 1858, la carrière de Henner est celle d’un peintre reconnu du Second Empire et de la IIIe république. Médaillé de nombreuses fois aux Salons, comme par exemple au Salon de 1865 et aux Expositions universelles, il est élu en 1889 membre de l’Académie des beaux-arts, en remplacement d’Alexandre Cabanel. En 1903, il devient grand officier de la Légion d’honneur après avoir reçu les différentes distinctions honorifiques de l’État français depuis 1873.

     

    Henner entretient par ailleurs une vie sociale importante. Outre les clubs alsaciens auxquels il participe, il est membre de plusieurs association d’artistes, d’écrivains et d’hommes politiques, habitant souvent le quartier parisien de la Nouvelle Athènes, dont l’influence n’est sans doute pas étrangère à ses succès et à ses commandes.

      

      

    Il entre ainsi, en 1872 à « La Macédoine », structure organisée par ses amis Jules Claretie, auteur d’une première monographie sur le peintre publiée anonymement en 1878, et par Carolus-Duran. En 1876, il intègre parallèlement une association importante, « La Marmite ».

     

    Henner et l'impressionnisme

    Contrairement à certains de ses artistes contemporains opposés à l’impressionnisme, comme Jean-Léon Gérôme, Henner les côtoie volontiers. Il est invité à leurs expositions par Georges Charpentier et sa femme Marguerite Charpentier dont il est un proche. Membre en 1881 de la nouvelle Société des artistes français qui organise le Salon, Henner vote avec Carolus-Duran en faveur de l’attribution d’une médaille à Manet. Reconnu par le monde de l’art et la société de son temps, Henner meurt à Paris le 23 juillet 1905 à son domicile situé au 41 rue de La Bruyère. Il est inhumé au cimetière Montmartre (5e division) à Paris.

      

    Élèves

    Henner a de nombreux élèves et organise avec Carolus-Duran, de 1874 à 1889, ce qu’il appelle « l’atelier des dames » destiné comme son nom l’indique, aux femmes qui n’avaient pas le droit de suivre l’enseignement de l’École des Beaux-arts. Certaines lui servent aussi de modèles[8].

     

    • Juana Romani (1869-1924), est une autre élève de Henner.
    • Peintre mais aussi modèle cette italienne qui débute auprès du sculpteur Falguière et des peintres Henner et Roybet – dont elle deviendra la maîtresse – est grandement influencée dans son art par Henner et Regnault. Elle expose régulièrement à la Société des Artistes français de 1888 à 1904.

     

     

    • D’ailleurs, elle passe régulièrement en ventes ses œuvres, parfois sous le nom de Henner, alors qu’elles sont clairement signées. La plupart sont des figures de jeunes filles de la Bible ou de la mythologie, souvent des autoportraits.
    • On sait aussi que Juana Romani est l’un des nombreux modèle féminin de Jean-Jacques Henner, une femme « au visage triangulaire avec une frange et de grands yeux noirs, [qui posa] d’avril à décembre 1885 et de février à décembre 1887.
    • Elle habitait au 56, bd du Montparnasse avec sa sœur Carolina, surnommé
    • « l’Italienne » par Henner qui l'avait fait poser de juillet à décembre 1884, de février à novembre 1886 et en janvier 1889 »

     

     

    • Madeleine Smith (1864-1940), fondatrice de la Fondation Smith-Champion. Son œuvre reste le témoignages d’une vie entièrement consacrée à la peinture, laissant de nombreux tableaux où elle représente le parc et la maison du 16, rue Charles VII à Nogent sur Marne.
    • Dorothy Tennant (1855-1926), qui devient plus tard la femme de l’explorateur Henry Morton Stanley, passe deux mois dans l’atelier du peintre en décembre 1879 et janvier 1880. Elle semble y revenir en mars et mai 1883.

      

      

    Modèles

    Contrairement à de nombreux artistes de l’époque qui lui sont contemporains , Henner ne semble pas avoir exploité la photographie de nus pour composer ses œuvres. Attaché à l’emploi du modèle vivant, il fait poser régulièrement, comme l’attestent ses agendas. Il conserve cependant pour mémoire quelques reproductions photographiques découpées dans certaines revus ou albums qui paraissent alors, comme Les Classiques de l’art publiées en 1865.

     

     

     

    Outre les modèles de l’École des beaux-arts de Paris qui posent à partir de 1846 pour les académies dessinés, on recense après 1870 pas moins d’une cinquantaine de modèles professionnels, dont une dizaine de modèles masculins.

      

      

    Les plus connus sont Emma Dobigny, Camille Nerval, Juana Romani, et peut-être l’artiste et modèle Suzanne Valadon.

     

     

    Henner demande parfois à ses amis et proches de poser pour lui, comme notamment le collectionneur Charles Hayem ou encore l’historien d’art Émile Durand-Gréville.

      

    Ses élèves posent parfois pour lui :

      

    Dorothy Tennant, Juana Romani, Germaine Dawis ou encore Virginie Porgès.

    À partir 1890, alors qu’il séjourne de plus en plus en Alsace, il fait travailler les jeunes filles de son village.

     

     

    Wikipedia

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Domaine peinture
    Dénomination tableau
    Auteur/exécutant GALARD Gustave Comte de
    Titre PORTRAIT DE MONSIEUR ET MADAME MARANDON DEMONTYEL
    Période création/exécution 1er quart 19e siècle
    Lieu de conservation Bordeaux ; musée des beaux-arts
    Numéro d'inventaire Bx E 882 ; Bx M 7017
    N° 32346

     

     

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    A Regency Gentleman  by Henry Wyatt

     

    Henry WYATT

     

     

    A Regency Gentleman by Henry Wyatt

     

     

     

     

     

     

     

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    Anonymous, Soldat de l’Empire [Soldier of the Empire], 19th century. Oil on canvas, 64.5 x 54 cm. Musée Max Claudet, Salins-les-Bains.

     

     

    Anonymous, Soldat de l’Empire [Soldier of the Empire], 19th century.

    Oil on canvas, 64.5 x 54 cm. Musée Max Claudet, Salins-les-Bains.

     

     

     

     

     

     

     

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    Fur Traders Descending the Missouri, 1845 George Caleb Bingham (American, 1811–1879) Oil on canvas 29 x 36 1/2 in. (73.7 x 92.7 cm)

      

      

    Fur Traders Descending the Missouri, 1845 George Caleb Bingham

    (American, 1811–1879) Oil on canvas

    29 x 36 1/2 in. (73.7 x 92.7 cm)

     

     

     

     

     

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    Peters. Oil painting. I don't know the name or the year on this painting.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Portrait de femme au chapeau noir, manière de

    Matthew William Peters (1741/1742-1814)

     

     

     

     

     

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    Marion Ellis Rowan peintre naturaliste

     

     

    Marion Ellis Rowan

     

     

     

    Marion Ellis Rowan née Ryan est un peintre naturaliste australien.
    Née à Killan dans l'état de Victoria en 1848, elle étudie dans une école privée de Melbourne.

    Très jeune, elle se passionne pour la représentation de la flore et de la faune australienne. Bien que totalement autodidacte dans le domaine pictural, ses aquarelles de fleurs sauvages, d'oiseaux et de papillons attestent d'une qualité exceptionnelle.

     

    Image du Blog lusile17.centerblog.net

      

    Sa famille et plus tard son mari, Charles Rowan, officier britannique qu'elle épouse en 1873, l'encouragent à exposer ses oeuvres.
    Elle rejoint son mari affecté dans la région de Taranaki en Nouvelle Zélande.

     

    En 1877, les Rowan sont de retour dans l'état de Victoria.

    Ellis Rowan n'a jamais cessé de peindre et, de 1879 à 1893, ses œuvres figurent dans des expositions tant en Australie, qu'en Inde, qu'en Angleterre, qu'en Europe et aux Etats-Unis. Elle y reçoit de nombreux prix dont 10 médailles d'or.

     

    Marion Ellis Rowan peintre naturaliste

     

     

     

    En 1888, à Melbourne, lors de l'exposition internationale du centenaire, elle est honorée de la plus haute distinction.
    Cette récompense suscite l'envie et la jalousie de certains artistes qui estiment que son travail, qu'ils qualifient d'art mineur, n'est qu'une simple illustration de la flore et de la faune.

     

    Marion Ellis Rowan peintre naturaliste

     

     

    Après la mort de son mari en 1892, Ellis voyage en Nouvelle-Zélande, à Londres et aux États-Unis où elle expose ses oeuvres.

     

    En 1905, elle expose à Londres avec succès et la reine Victoria achète trois de ses tableaux.

     

    Ses tableaux atteignent des prix relativement élevés et le gouvernement d'Australie du Sud achète 100 de ses peintures, celui du Queensland 125.

     

    En 1916 et 1918, elle visite par deux fois la Papouasie-Nouvelle-Guinée et tente de trouver et d'illustrer des fleurs jusque-là non répertoriéees par les botanistes

     

    Marion Ellis Rowan peintre naturaliste

     

     

    Accompagnée d'un seul guide local et vivant dans des conditions difficiles, très souvent dangereuses, dans un territoire à l'époque quasi-inconnu et très mal cartographié, elle réussit à peindre, au cours de son second séjour, 47 des 52 espèces connues des oiseaux de paradis.

     

    Un superbe volume d'illustrations résulte de ses voyages.

    Fin 1918, agée de 70 ans et souffrante de paludisme, elle revient en Australie.

     

    Ellis Rowan a certainement produit, au cours de sa vie aventureuse, le plus grand nombre de peintures et d'illustrations de la flore et de la faune australienne qu'aucun autre artiste de son temps.

    En 1920, une exposition regroupant 1 000 de ses peintures est organisée à Sydney

     

    Ellis Rowan décède à Victoria en 1922.

    Marion Ellis Rowan peintre naturaliste

     

    Cf : La collection Ellis Rowan de la National Library of Australia

     

    http://peinturesetpoesies.blog50.com/

     

     

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    Biographie

    Anne Magill est un peintre. Son travail a lieu dans des collections privées et dans le monde entier, y compris ceux des stars de Hollywood , les réalisateurs et les producteurs.

    Après des études à St. Martins School d'Art Anne devient un primé illustrateur, travaillant pour des agences de magazine et de maisons d'édition et de conception et de publicité. Elle est passé gagnant du Benson & Hedges Illustration Awards.

    Sa première exposition solo en 1992 et depuis lors, Anne a régulièrement exposé dans des galeries de Londres ainsi que montrant en Europe, USA & Irlande.

    Né en Irlande, elle vit et travaille à Brighton.

     

     

    ANNE MAGILL

     

    Magill décrit son travail comme tout simplement essayer de capturer un sentiment de ces moments éphémères de la vie." il y a toujours de la narration dans mes tableaux, et j'essaie toujours de transmettre celà à travrs l'utilisation de la lumière, la couleur, la texture"

    Le travail est presque toujours figuratif. Je suis pris en essayant de transmettre ces moments où quelque chose d'épique est arrivé juste ou est sujet à se produire mais juste allusion à it-« une sorte de moins » est une approche plus. »

    «Magritte dit qu'il était un homme qui pense et qui a communiqué ses pensées au moyen de la peinture. Anne Magill est un témoin, qui témoigne d'une série de scènes humaines infiniment encore et plus silencieuses de sa peinture.

    La grande puissance de son travail est évoqué de sa trémie – comme le génie de nous obligent à tisser une histoire, de notre propre répertoire sur ces scènes. Bien que nous ne savons pas les hommes ou les femmes nous pensons nous reconnaissons, comme ils se situent à regarder lors d'un événement, que nous ne voyons ou marche, le visage caché sous un chapeau, vers une destination dont nous sommes pas au courant. Les peintures sont remplis de moins avec l'ambiguïté que de mystère ;

    the bather

    le jeune couple se brise ou qui composent ?

    Sont les plus vieux couple laissant ou approchant le paysage ? Y a-t-il un élément d'évasion ou de démission de l'ensemble carré de leurs épaules ? Elles établissent une note Yeatsian nous rappelant « Que dommage au-delà de tout raconter est caché dans le coeur de l'amour. »

    Permanent en transe devant l'une de ses peintures nous devenions persuadés que nous comprendrons, finalement, la vérité humaine qui a inspiré l'image. Le monde s'estompe, et nous sommes pris hors de notre temps par le pouvoir mystérieux et emblématique de la figure, son humanité, capturée par l'artiste. Josephine Hart

    « Elle est un maître du portrait chargées d'émotions et de tensions silencieuses et cela donne les peintures, leur pouvoir et leur éloquence. » Lucy Alexander, aux fois

     

    Publication des éditions

    En 2010, Magill a rejoint la Galerie Heartbreak, basée à Marylebone, Londres. Galerie Heartbreak Son travail est également publié par Heartbreak édition une nouvelle maison d'édition en copropriété par l'artiste, Jack Vettriano www.jackvettriano.com.

     

     

     

     

    PRIX

    1992 B & h or Illustration prix premier prix 1991 B & prix de Illustration d'or H, hautement félicité 1984 B & h or Illustration prix éloges 1983 B & h or Illustration prix éloges 1981 Design Conseil prix hautement félicité

     

     

     

     

     

     

    the letter acrylic on panel

     

     

     

     

     

     

     

    spring will come again

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    the first dance

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    hold me close

     

     

     

     

    the end of summer

     

     

     

    three friends

     

     

     

    summer

     

     

     

     

     

    By The River.

     

     

     

     

     

    untitled

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Storm

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    three friends

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



     

     

    the letter

     

     

     

    The great power of Anne's work is her Hopper-like genius to compel us to weave a story, conjured from our own repertoire about these scenes.  Tought we do not know the men or women we feel we recognize them, as they stand gazing at an event we cannot see or walking, face hidden under a hat, towards a destination of which we are unaware. - Joesphine Hart

     

     

     

    An Inner StrengthAn Inner Strength

     

    The Leading EdgeThe Leading Edge

     

     

     

    At SunsetAt Sunset

     

    Into the LightInto the Light

     

     
     
     
     
    EveningEvening
    SteadfastSteadfast
    WorkshopWorkshop
    SojournSojourn
    The First Read ThroughThe First Read Through
    MettleMettle
    On the Eve of DepartureOn the Eve of Departure
    The lights that guide me homeThe lights that guide me home
    The ExpeditionThe Expedition
    Southward

    Southward

     

     

     Anne Magill – A Perfect Moment

     

     

     

     

    Anne Magill – Smitten

     

    Anne Magill – By the River

     

    Anne Magill – You’re All That I Need

     

     

     

    Anne Magill – The Hopeless Romantic

     

     

    Anne Magill – A Perfect Day

     

     

    By the River

     

     

    Storm

     

     

     

    Late Evening

     

     

    A Distant Wave

     

     

    Journey’s End

     

     

    To Your Door

     

     

     

    Saturday Afternoon

     

     

    Harbour

     

    A Break in the Clouds

     

     

     

     

     

     

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    La maison Gallé voit le jour en 1844 par l’union de Charles Gallé (1818 - 1902), né à Paris, voyageur de commerce en porcelaine (et peintre sur porcelaine de formation) et de Fanny Reinemer (1825 – 1891), fille de Marguerite et Jean Martin Reinemer propriétaires d’un magasin de cristaux et porcelaine à Nancy. En 1877, Emile Gallé reprend la tête de l’entreprise paternelle, la "Maison Gallé-Reinemer", spécialisée dans le domaine de la décoration sur faïence et sur verre.

    Emile Gallé manifeste dès 1884 son intérêt pour l’ébénisterie et l’explique dans sa note au jury de l’Exposition Universelle de 1889 en ces termes : "depuis longtemps, je suis épris des bois de pays, du chêne au grain robuste et fier, du noyer odorant et fin, des cuivres étincelants sur les crédences lorraines, des rouets vosgiens au tournage délicat". En 1885, il décide de la création d’atelier d’ébénisterie – domaine dont il n’a aucune expérience – et, en 1889, il présente à l’Exposition Universelle, quatorze meubles de luxe, dont les formes sont inspirées des styles historiques alors à la mode, ainsi la Table du Rhin, mais dont les décors de bois marqueté et sculpté empruntent une voie qui renouvelle le répertoire décoratif. La nature ne se contente plus de venir égayer la pièce, mais vient s’y fondre pour peu à peu la modeler à son image.



    La Table du Rhin
     

     



    Le buffet Les Métiers d’Emile Gallé présente la production Gallé à l’époque où s’amorce la conversion des ateliers familiaux en manufacture d’art, un changement d’échelle qui conduit à la production de série. Par le biais de l’utilisation d’essences locales, Gallé va montrer un attachement profond à sa région, illustré par la commode Les parfums d’autrefois, mais il va aussi prouver l’excellence de sa maîtrise des techniques de la marqueterie et de l’incrustation. Les quelques six cent essences de bois exploitées lui donnent la possibilité d’évoquer la moindre variation de couleur qu’offre la nature, afin de s’approcher le plus fidèlement possible de sa représentation. Peu à peu, la nature contraint Gallé à laisser s’effacer les styles marqués et prend sa vraie place sous la forme d’une tige ondulante et d’une fleur épanouie, pour atteindre une ligne innovante, si simple et d’une grande modernité, comme en témoigne le mobilier aux ombelles, hommage aux leçons de l’art japonais.

      

      

    Émile Gallé, né à Nancy le 4 mai 1846 et décédé dans la même ville le 23 septembre 1904, est un industriel, maître verrier, ébéniste et céramiste français. Il est fondateur et premier président de l’École de Nancy en 1901.

    Enfant de l'Art et du commerce, il est l'une des figures les plus marquantes des arts appliqués à son époque et l'un des pionniers de l'Art nouveau. C'est également un précurseur en matière de génétique et d'évolution concernant le monde végétal, ses travaux méconnus du grand public sont d'une grande pertinence puisqu'ils précèdent ceux de Mendel et en annoncent pourtant les grandes lignes. À la porte de son atelier de Nancy on pouvait lire cette devise : « Ma racine est au fond des bois. ».

     

    Son père, Charles Gallé (1818-1902), est déjà d'une envergure peu commune. Artiste peintre, il maîtrise l'art délicat de l'émail mais, après son mariage avec Fanny Reinemer issue d'une famille de négociants en faïences et cristaux, il lance l'entreprise familiale dans une production propre et y rencontre le succès. C'est dans cette ambiance éclectique qu'Émile recevra une éducation à la fois attentive et audacieuse.

      

    Après des études secondaires à Nancy couronnées du baccalauréat, il va en 1865 apprendre l'allemand à Weimar et y poursuit des études de minéralogie. C'est ensuite l'apprentissage des métiers du verre et de la céramique à Meisenthal. Son approche n'est pas simplement théorique et Émile ne craint pas de s'initier au soufflage. Il adjoint à cela de bonnes connaissances en ébénisterie et surtout la passion familiale pour les sciences naturelles et plus particulièrement pour les plantes qui l'amène au dessin.

      

    Émile Gallé mène une vie simple, voire austère. Il effectue des études sur les plantes, les animaux, les insectes. Quelques fois, il seconde son père. Le soir, il lit des recueils de poésie. Cette influence sera notable surtout vers 1882, quand il aura assimilé les différentes expériences de sa jeunesse. De 1884 à 1889, il cristallise ses idées dans son livre Écrits pour l'Art.

      

    Gallé est moins connu pour son engagement social, notamment avec son ami, le botaniste Georges Le Monnier. Humaniste convaincu, il est un des fondateurs de l'Université populaire de Nancy et devient trésorier de la Ligue française pour les droits de l'homme. Il condamne publiquement le génocide arménien, défend les Juifs de Roumanie et, malgré les risques commerciaux, est le premier[réf. nécessaire] à défendre publiquement Alfred Dreyfus.

      

    Ses voyages

    De 1862 à 1866 : Il est en Allemagne, en particulier à Weimar.

    1866 : il est à Meisenthal, dans la vallée de la Sarre, où il travaille dans les verreries de Burgun, Schwerer & Cie. C'est ici qu'il développe ses connaissances sur la chimie du verre.

    1870 : Il est de nouveau à Saint-Clément où, avec Victor Prouvé, il compose un service de vaisselles rustiques avant de s'engager volontairement comme soldat dans la guerre.

    1871 : Il est à Londres où il travaille au musée de Kensington et au jardin botanique.

     

      

    Le séjour à Paris

     

    Il y étudie l'art des cristaux anciens, les émaux de masse des lampes arabes de Philippe-Joseph Brocard, les vases de verres aux riches matières, quasi-chinoises ou l'art japonais d'Eugène Rousseau, période du japonisme.

    Il retourne à Nancy, ayant de nouvelles voies d'exploration de la technique du verre et il s'emploie à imiter la nature avec des stries, des nœuds, des éclats, des reflets, des ombres, des marbrures.

    Il superpose les couches de matières et y interpose des feuilles d'or et d'argent. Il suscite des bullages et des rayures.

     

      

    Parcours professionnel

     
     

    1875 : Il épouse Henriette Grimm.

    1877 : Il reprend les activités développées par son père et s'installe à La Garenne. Travailleur acharné, il développe l'affaire.

    1878 : Il participe à l'exposition universelle. Sa renommée s'étend au monde entier : il obtient quatre médailles d'or.

    1883 : Il construit de vastes ateliers de faïencerie, de verrerie et d'ébénisterie. Il s'y réserve une pièce au centre ou il élabore ses projets. De nombreux artistes et artisans commencent à travailler pour lui. Il va ouvrir plusieurs comptoirs et va régulièrement exposer ses propres œuvres.

    1884 : Il expose à Paris La Pierre, le Bois, la Terre, le Verre obtient une médaille d'or.

    1885 : Il expose à Paris

    1889 :

    • Il reçoit le grand prix de l'exposition universelle. Il est fait officier de la Légion d'honneur.
    • Vers cette époque environ trois cents artistes et artisans travaillent pour lui. Il interdit à ses collaborateurs de reproduire une fleur sans en avoir le modèle sous les yeux.

    1893 : Il participe à l'exposition universelle de Chicago.

    1894 : Il ouvre sa cristallerie et participe à l'exposition d'art décoratif de Nancy.

    1897 : Il participe à l'exposition de Munich ou il reçoit une médaille d'or, puis il expose à Francfort, et à Londres.

    1900 : Couronnement de sa carrière : 2 grands prix, une médaille d'or. Sa collaboratrice Rose wild obtient une médaille de Bronze à l'exposition Universelle. Il est nommé commandeur de la Légion d'honneur et le 19 mai, il est admis à l'Académie de Stanislas de Nancy. Il y effectue un discours de réception sur le décor symboliste[2].

    1901 :

    1902 :

    1903 :

    1904 : Le 23 septembre à l'âge de 58 ans, il meurt d'une leucémie.

    Il repose au cimetière de Préville, à Nancy.

     

    Les œuvres de verrerie

     
     
     

    C'est fort improprement qu'on parle de l'œuvre verrier d'Émile Gallé sous le nom de pâte de verre .

    La pâte de verre désigne une technique consistant à garnir un moule de verres colorés pilés et à amener le tout à une température voisine de la température de fusion pour souder les grains. On démoule ensuite. La pâte de verre est une matière bulleuse, selon la granulométrie du verre utilisé, qui prend à la lumière un aspect cireux, mat, transluscide ou ponceux, comme le montrent les œuvres délicates de Charles Cros ou d'Argy Rousseau.

    Si Gallé connaissait cette technique, l'essentiel de sa production était soufflée, non pas en verre mais en Cristal, c'est-à-dire avec adjonction de sels de plomb. À la paraison initiale de cristal, Gallé ajoutait des couches nouvelles colorées d'oxydes métalliques, des inclusions, avant de souffler la pièce de cristal, de la retravailler d'inclusions nouvelles, d'appliques, de feuille d'or ou d'argent.

      

    Au refroidissement, les différences de dilatation de ces couches étaient la cause d'accidents très fréquents, l'ouverture des fours révélant une casse impressionnante, qui faisait la rareté des pièces réussies.

    Issues de la halle de cristallerie, les pièces étaient alors retravaillées par gravure, à la roue pour les plus précieuses, à l'acide fluorhydrique pour les plus courantes. On dégageait ainsi un décor en camée, le plus souvent floral, rencontre heureuse des hasards du soufflage et du savoir faire des graveurs-décorateurs.

    Gallé est également l'inventeur de plusieurs techniques, dont celle de la marqueterie de verre (brevet qu'il dépose en 1898)[3], par dépot de petites inclusions de verre dans la pâte en fusion.

      

      

      

    Après la mort de Gallé, en 1904, sa verrerie continua à produire jusqu'en 1936.

    Chaque pièce portait la signature de Gallé, avec des centaines de variantes qui donnent lieu à catalogue, mais elles ne sont pas toutes référencées. Sauf rares exceptions, les verreries sont toutes signées, soit en creux sous la pièce, soit sur le corps même de la pièce en camée ou en creux. Du vivant de Gallé, les signatures étaient particulièrement recherchées et supervisées par l'artiste lui-même. Par la suite, après 1904, les marques gallέ, sur le corps des pièces des Etablissements Gallé, deviendront relativement standardisées mais, là encore, de nombreuses variantes demeureront. Les signatures et marques permettent, en principe, de dater les pièces[.

      

      

    Sur la production de 1904 à 1906, puis très sporadiquement ensuite (mais pas après 1914), la signature est précédée d'une petite étoile, que des antiquaires peu scrupuleux n'hésitent pas à faire meuler pour faire penser que l'oeuvre a été produite du vivant de Gallé. Après 1906, pour avoir été considérée morbide par les appréciateurs de cet art, elle a été abolie. De 1904 à 1914, la production est très proche des pièces industrielles qui sortaient de l'usine Gallé avant sa mort. Il s'agit presque exclusivement de pièces en verre multicouche gravée à l'acide, parfois retouchées à la meule pour éliminer les défauts, les motifs sont presque toujours des reprises créées de son vivant.

      

      

    De 1918 à 1936, une production à grande échelle et standardisée se met en place. La plupart des pièces aujourd'hui sur le marché datent de cette époque, elle correspondent des pièces en verre doublé ou multicouche gravées à l'acide. La production est de bonne qualité technique, du moins pour les grandes pièces, dans la mesure où la maîtrise de l'attaque acide est parfaite, alors que les pièces produites antérieurement, du vivant de gallé ou de 1904 à 1914 présentaient parfois des défauts. De nouveaux motifs sont créés, s'éloignant parfois du style Art nouveau avec des décors stylisés, une nouvelle technique dite soufflée-moulée, tel est le cas du vase aux éléphants[5] produit pour l'exposition universelle de 1925 . Mais la banalisation de cette production à grande échelle et le manque de renouvellement artistique ont fini par lasser les clients ; la crise économique a mis fin à la production de l'usine Gallé en 1936.

     

    Écrits

    • Lettres pour l'art : correspondance, 1882-1904 (Émile Gallé, Roger Marx), édition établie par Françoise-Thérèse Charpentier et complétée par Georges Barbier-Ludwig et Bernard Ponton, Nuée bleue, Strasbourg, 2006, 346 p. (ISBN 2716506906)
    • Le décor symbolique, Imprimerie Berger-Levrault et Cie., 1900 (Académie de Stanislas, séance publique du 17 mai 1900, discours de réception)
    • Écrits pour l'Art : floriculture, art décoratif, notices d'exposition (avec une préface de Françoise Thérèse Charpentier, ainsi qu'une iconographie), Laffitte, Marseille, 1980, 379 p. (réimpression de la première édition, Librairie Renouard, H. Laurens, Paris, 1908)

     

     

    WIKIPEDIA

      

      

     

      

      

     

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