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    Aucun doute possible, cette Civa, sculpture chryséléphantine estimée 50 000 € à 80 000 €, en bronze émaillé à froid, onyx et argent, est bien de Chiparus.    Alors que d'autres productions sont déclinées jusqu'à quatre hauteurs différentes, Civa n'a été réalisée qu'en un seul format, signe qu'elle était destinée à des collectionneurs fortunés.

    Demetre Haralamb Chiparus (16 septembre 1886, Dorohoi, Roumanie - 22 janvier 1947, Paris, France) était un sculpteur de l'ère art déco. Il a vécu et travaillé à Paris. Chiparus est connu principalement de par ses sculptures en bronze (et ivoire) représentant des danseuses exotiques. Il réalisa ses œuvres les plus remarquables entre 1914 et 1933.

     

     

    chiparus

     

     

    Dimitri Chiparus (1888-1950) Né en Roumanie Chiparus émigré à Paris, où il a étudié sous Antonin Mercier et Jean Boucher.

      

      

    Il commence à exposer de petites sculptures, ses montrant en premièr au Salon de la Société des artistes français en 1914 qui lui vaut une mention honorable cette année là.

      

    Demeter CHIPARUS (1888-1950)


     

    «Danseuse de Palmyre» Epreuve en bronze à patine dorée reposant sur un socle à gradins en onyx marron veiné beige. Signée «Chiparus». Fonte d'édition ancienne. Vers 1930

     

      

      

      

      

      

    Louis Comfort Tiffany a également reçu une mention honorable cette même année.

      

      

      

    Chiparus était un artiste extrêmement prolifique, produisant une grande variété de figures principalement des petites.

      

      

      

    Elles ont été exécutées généralement soit toutes en bronze ou en bronze et en ivoire.

      

     

    Sa dernière exposition enregistrée au salon était en 1939.

      

    Ses personnages féminins et danseurs ont fait sa réputation, il a également produit une vaste gamme de sculptures d'enfants.

      

    Certains de ses bronzes ont été coulés à la fonderie Marcel Guillemard à Paris.

      

     

    Il a été primé au salon des Beaux-Arts, dans lequel plusieurs sculptures chryséléphantine sont exposées .


    http://www.liveinternet.ru/community/2281209/post124976125/

     

     

     

     

     

    Chiparus

     

     

     

     

    chiparus

     

     

     

     

     

    Chiparus

     

    Chiparus-bronze-sculpture

     

     

     

    Démeter Chiparus  (Dorohoi, 1886 - Bagneux, 1947) Danseuse, circa 1925

     

     

     

     

     

     

    Chiparus, Russian Dancers”, 1928, Gilt, cold-painted and ivory

    Chiparus, Russian Dancers”, 1928, Gilt, cold-painted and ivory

     

     

     

    Art of Demètre Chiparus Art Deco Sculptor

     

     

    Chiparus

     

     

     

     

     

    'Civa' -1928

     

     

     

     

     

    "Alméria" a large bronze and ivory sculpture by Demetre Chiparus, France circa 1925.

     

     

     

     

     

     

    'Ayouta'- Ballet Russe - circa 1925

     

    'Ayouta'- Ballet Russe - circa 1925

     

     

    Ayouta - Ballet Russe - circa 1925

     

    Art Deco Sculpture "Antina" By Demetre Chiparus

    Art Deco Sculpture "Antina" By Demetre Chiparus

     

     

     

    SOURCES

    wikipepdia

     

     

     

     

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    John White Alexander, Sunlight, 1909. With thanks to Her Sails Filled with a Dream.

     

     

     

     

    John White Alexander, Sunlight, 1909. With thanks to

    Her Sails Filled with a Dream.

     

     

     

     

     

     

     

    Portrait of Mrs. John White Alexander (1902)                    

     

     

     

     

     

     

     

    Repose (1895)                    

     

     

     

     

     

    The Green Dress (c. 1890-1899)
    Source

     

     

     

     

     

     

    Portrait of Mrs. Herman Duryea (c. 1900)
    Source

     

     

     

     

     

     

     

     

    Woman in Black and Green, study                   

     

     

     

     

     

    Young Girl in Rose / Portrait of Eleanora Randolph Sears (1895)
    Source

     

     

     

     

     

     

     

    Young Woman Arranging Her Hair
    Source

     

     

     

     

     

     

    A Ray of Sunlight / The Cellist (1898)
    Source

     

     

     

     

     

    A Woman in Rose (c. 1901)
    Source

     

     

     

     

     

     

     

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    Kenneth Frazier:  Woman with a Rose (1891-1892) by carol.li.9803

     

     

    Kenneth Frazier: Woman with a Rose (1891-1892)            

     

    Kenneth Frazier (1867-1949) était un peintre et illustrateur américain né en France.
    Son style était un mélange d'Art Nouveau, d'impressionnisme et de réalisme.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Naissance :

    1885 Gradizhsk (Ukraine) Mort :

    1979 Paris Pays principal :

    Ukraine Lieu de travail principal :

    Paris, Grasse

     

     

     

     
     
    Artiste aux multiples facettes et épouse de Robert Delaunay, Sonia Delaunay naît Sarah Ilinitchna Stern à la fin du XIXe siècle à Gradizhsk, en Ukraine, avant d'être placée très jeune à Saint-Pétersbourg, chez son oncle Henri Terk, qui l'adopte. Personnage d'influence, Henri Terk fait voyager sa fille adoptive en Europe, dont elle visite pendant sa jeunesse les principaux musées.
     
     
     
     
     
     

    Après ses études secondaires, Sonia s'installe à Karlsruhe, en Allemagne, où elle suit les cours de l'Académie des Beaux-Arts, puis s'installe à Paris en 1905, à l'âge de vingt ans. Son art est alors très influencé par le post-impressionnisme de Van Gogh, Gauguin,le Douanier Rousseau et par les Fauves.
     
     
     
      
      
    En 1908 elle épouse le galeriste allemand Wilhelm Uhde, qui lui permet d'exposer ses œuvres.
     
     
     
     
    Le mariage avec Uhde est bancal, et dès l'année suivant son mariage, elle devient la maîtresse de Robert Delaunay, qu'elle épouse dès 1910.
     
    Ensemble, les deux artistes vont lancer un mouvement artistique, l'orphisme — terme inventé par Apollinaire en référence à l'un de ses poèmes, et qui l'assimile à une forme de poésie pure, de « langage lumineux ».
     
     
    L'anecdote veut que ce soit la création par Sonia d'un patchwork pour le lit de leur fils qui fut le point de départ de cette nouvelle esthétique, basée sur l'usage spontané de la géométrie et de la couleur, hors de toute recherche de perspective et de naturalisme
     
     
     

     

    Qualifier l’oeuvre de Sonia Delaunay contredirait toute l’entreprise de cette artiste pluri-disciplinaire.

     

    Née en 1885 dans la région d’Odessa en Ukraine, elle est adoptée par un oncle fortuné qui lui donne accès à l’éducation, à l’Art et aux musées des grandes capitales européennes.

     

     

    Elle arrive à Paris en 1905, dans le cadre de ses études artistiques, mais dans l’esprit de ce début de XXè siècle, réfractaire au prédestiné, à la règle et au dictat, elle s’en détourne pour préférer l’errance dans les galeries où elle découvre les Fauves, Cézanne, Van Gogh, Gauguin,…

     

     

    Par l’entremise de son premier mari, un galeriste allemand, elle rencontre son second époux, Rober Delaunay. En couple, les Delaunay entament une recherche sur la couleur qui deviendra l’essence, le fond et la forme mais aussi la ligne d’une nouvelle peinture pour un art non-figuratif.

     

     

     

    Sous l’influence du fauvisme, elle présente des premières oeuvres aux sujets et modèles tranchés, cassés par la brutalité des tons. Perfection créative à viser, la musique offre aux artistes, en ce début de siècle, le constat philosophique qui sous-tendra leurs oeuvres respectives.

     

     

    Associations puissantes de rythmes et de mélodies, les compositions se rassemblent dans l’idée de “simultané”, ce qui constitue un défi nouveau pour les poètes et les peintres. Sonia Delaunay développe alors progressivement une utilisation et une signification lyrique de la couleur, proche du cubisme, entre rythme et teinte. Répétitions formelle, structurelle, mais aussi des tons, ses peintures prennent une direction que suivront toutes ses propositions artistiques.

     

     

     

    De 1913 à 1917, elle travaille notamment à l’illustration des poèmes de Blaise Cendrars, lui aussi obsédé par un art “simultané”. Sonia Delaunay et lui proposeront , en tant que langage nouveau, une édition en accordéon de la “Prose du transsibérien et la petite Jehanne de France” de deux mètres de long repliée par 10 fois pour obtenir un format livresque de 18 centimètres.

     

    En 1923, elle reçoit une commande d’une cinquantaine de dessins destinés à la production textile.

     

     

    Sceptique dans un premier temps, elle saisit rapidement l’intérêt de cette proposition et y voit l’occasion de poursuivre ses recherches. Le textile inspirera son goût pour la couleur en tant que médium d’un art “simultané”. Elle ouvrira d’ailleurs une boutique textile de 1924 à 1926, nommée “Boutique Simultané”.

     

     
    1885 Gradižsk 1979 Paris
     

    Sonia Delaunay-Terk

    Sonja Delaunay-Terk, née Stern, naît en 1885 à Gradizhsk en Ukraine. Delaunay découvre sa passion pour l’art très tôt et fait des études de dessin à l’Académie des Beaux-Arts de Karlsruhe de 1903 à 1905.

      

    Elle s’installe ensuite à Paris. Pendant sa formation à l’Académie de la Palette, Delaunay crée des œuvres qui témoignent nettement de son inspiration par des artistes comme Paul Gauguin, Vincent van Gogh et les Fauves.

      

    Son mariage conclu en 1910 avec Robert Delaunay, artiste ambitieux de l’avant-garde parisienne, est caractérisé par un échange artistique réciproque.

      

    Les deux artistes étudient la représentation de la lumière et du mouvement de manière intensive et découvrent une nouvelle forme d’expression artistique basée sur le contraste simultané.

      

    Les tableaux de Delaunay sont précédés par de nombreuses études sur les couleurs traitant la problématique de la lumière, de la couleur et du mouvement.

     

    Le tableau "Bal Bullier" de Sonja Delaunay, peint en 1913, correspond à la mise en pratique de l’idée des mouvements de danse rythmiques par la représentation de formes circulaires mélangées à des couleurs pures au milieu.

      

    L’application de ces intentions artistiques à la culture quotidienne, du stylisme de mode à la conception d’un livre en passant par la décoration intérieure, fait de cette artiste l’une des représentantes les plus importantes du mouvement Art déco.

      

    Ses premières robes "simultanées" sont ainsi créées en 1913 et incitent le poète Blaise Cendrars à écrire le poème "Sur la robe elle a un corps".

     

    Après un séjour au Portugal en 1914, Sonja Delaunay vit à Madrid avec sa famille. Dans la capitale espagnole, elle fait la connaissance de Serge Diaghilev (1872-1929) pour lequel elle conçoit des costumes et des décors destinés à ses "Ballets russes".

      

    A la fin de la Première Guerre mondiale, elle rentre à Paris et crée alors entre autres des décors pour des pièces de théâtre dadaïstes ainsi que pour différents films.

      

    Un point culminant est la décoration d’un pavillon à l’Exposition universelle de 1937 élaborée en commun par le couple.

      

    L’artiste obtient la médaille d’or pour sa fresque "Portugal" dans le pavillon des chemins de fer. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale,

     

    Sonja Delaunay se consacre de nouveau plus à la peinture et crée l’importante série de tableaux "Rythme", "Rythme coloré"

     

    et "Rythmes-couleurs" dans une phase de travail particulièrement intensive et vigoureuse. Sonja Delaunay meurt à Paris en 1976.

     

     

     

    Ce simultanéisme fondera toute les productions de Sonia Delaunay, qu’elles soient strictement picturales, modistes ou encore matérielles, par la conception de mobilier ou le design de voitures.

      

    Malgré la tentative presque politicienne d’Apollinaire de rattacher le travail des Delaunay au cubisme orphique (du nom de son poème “Orphée”), l’oeuvre de Sonia a plus en commun avec l’abstraction, qui refuse la figuration et ne nécessite point de thème précisé, tout en s’en écartant par le privilège accordé aux couleurs.

    Le théâtre ou le cinéma reprendront et utiliseront son travail (“Le Petit Parigot”). Sonia Delaunay décède à Paris en 1979.

     

     

     

    Elle drappait les femmes de peintures abstraites, envoyait le Modernisme à la plage, habillait les acteurs des films de Man Ray et des pièces de Tristan Tzara de « poèmes qui se meuvent ».

    De Sonia Delaunay (1885-1979), son ami André Breton, chantre du Surréalisme, déclarait dès 1905 qu’elle « traitait les couleurs comme des bâtons de dynamite, les faisant exploser pour faire jaillir la lumière ».

     

    She wrapped women into abstract paintings, sent Modernism to the beach, dressed actors of Man Ray’s films and Tristan Tzara’s plays into « moving poems ». Of Sonia Delaunay (1885-1979), her friend André Derain said, as soon as 1905, that she « treated colors like sticks of dynamite, exploding them to produce light. »

     

     

     

     

     

    Sonia (née Terk, elle avait vu le jour en Ukraine), épouse du peintre Robert Delaunay, s’était prise de passion pour la théorie des couleurs développée par Chevreul en 1839. Le Simultanéisme allait devenir le fil rouge de ses expériences variées, comme les quelque 300 pièces exposées à New York au Cooper-Hewitt, National Design Museum, le racontent.

    Ukrainian-born Sonia (née Terk), wife of painter Robert Delaunay, was passionate about the theory developped in 1839 by chemist Chevreul. Simultanéisme was to be the common thread to her various experiences, as demonstrates no less than 300 pieces displayed at the Cooper-Hewitt, National Design Museum in New York.

     

     

     

     

    « Color Moves, Art & Fashion by Sonia Delaunay », Cooper-Hewitt National Design Museum, NY (until June 19th)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    sources http://arts.fluctuat.net/sonia-delaunay.html

    Personnalités associées à Sonia Delaunay

    Personnalités Similaires Serge Poliakoff
    Inspirations Paul Gauguin, Georges Seurat, Le douanier Rousseau
    Collaborations Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars
    Amis/Famille

    Robert Delaunay

     

     

     

     

     

     

     

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    NPG L174; Dorothy Jordan by John Hoppner

     

     

    Dorothea Jordan by John Hoppner, 1791.
    National Portrait Gallery, London.

    This portrait shows Mrs. Jordan in one of her most popular ‘breeches’ roles in Cibber’s She Would and She Would Not, where she dresses as a young soldier to follow her lover to Madrid.

     

     

    Portrait of a Lady as Evelina, c. 1780-1789  by John Hoppner

     

    John Hoppner (4? avril 1758 - 23 janvier 1810), peintre anglais, est né à Whitechapel.

     

    John Hoppner

    Son père est d'origine allemande, et sa mère est une des domestiques du palais royal.

    Hoppner est par conséquent tôt remarqué et reçoit le patronage du roi George III ; la considération de celui-ci à son égard conduit à des rumeurs laissant entendre qu'il pourrait être le fils illégitime du roi.

      

    Il est tout d'abord choriste à la chapelle royale ; mais, comme il montre pour l'art une forte inclination, il entre comme étudiant à l'Académie Royale en 1775.

      

      

     

    Portrait of Anne, Lady Grenville, nee Pitt, c.1803

      

      

    En 1778, il obtient une médaille d'argent pour ses dessins d'après nature, et, en 1782, la plus haute récompense de l'Académie, la médaille d'or pour la peinture historique, avec comme sujet le Roi Lear

     Portrait of a Lady wearing a Turban by John Hoppner, 1790

    Il expose pour la première fois à l'Académie royale en 1780.

      

    C'est la peinture de paysage qui l'attire au début, mais ses besoins d'argent le contraignent bientôt à se trourner vers le portrait, plus rémunérateur.

      

      

     

     

      Mary Robinson

        

    Rencontrant le succès dès le début, il a pour sujet tout au long de sa vie les personnages les plus à la mode et les plus fortunés ; il est le principal rival de Thomas Lawrence, qui connait alors une faveur croissante.

      

      

      

    Il n'aborde que très rarement les sujets imaginaires; bien qu'on mentionne parmi ses œuvres une Vénus endormie, un Bélisaire, un Jupiter et Io, une Bacchante et un Cupidon et Psyché.

      

    Le Prince de Galles lui rend en particulier fréquemment visite, et beaucoup de ses plus beaux portraits se trouvent dans

    les appartements d'apparat de St. James's Palace ; les plus réussis sont peut-être ceux du prince, du duc et de la duchesse d'York, de Lord Rodney et de l'amiral Nelson.

      

     

    Portrait of Miss Elizabeth Beresford, half...

      

    John Hoppner
    £Optional

      

    Parmi les autres personnages dont il a peint le portrait,

    on compte Sir Walter Scott, le duc de Wellington, Frere, et Sir George Beaumont.

     

     

     1790 John Hoppner

     

    John Hoppner portrait of  Mrs Williams circa 1790.

     

     

     

     

     

    Portrait of William Locke aged seventeen, c.1783

      

      

     

     

    Portrait of Anne Isabella Milbanke

      

      

    Mary Boteler by John Hoppner, 1786.  

    Mary Boteler by John Hoppner, 1786.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Portrait of The Hon. Mrs Hugo Meynell

     

     

     

     

    Viscount Lascelles      

     

     

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    Alfred Henry Maurer
    (New York, N.Y. 1868–1932 New York, N.Y.)
    Young Woman in Kimono, c. 1901
    Oil on canvas

     

     

    Alfred Henry Maurer (April 21, 1868 – August 4, 1932) was an American modernist painter. He exhibited his work in avant-garde circles internationally and in New York City during the early twentieth century. Highly respected today, his work met with little critical or commercial success in his lifetime, and he died, a suicide, at the age of sixty-four.

     

     

     

    File:Arrangement.jpg

    "An Arrangement", 1901,

     

    Maurer was born in New York City. He was the son of German-born Louis Maurer, a lithographer with a pronounced disdain for modern art. At age sixteen, Maurer had to quit school to work at his father's lithographic firm. In 1897, after studying with the sculptor John Quincy Adams Ward and painter William Merritt Chase, Maurer left for Paris, where he stayed the next four years, joining a circle of American and French artists. Finding the instruction at the Academie Julian too limited, he spent most of his time copying in the Louvre. His self-portrait from that time expresses the 'youthful optimism" of that period of his life. At the time, Maurer worked in a conventional but self-assured realist style.

      

     

    Maurer's An Arrangement, which was compared to the work of Whistler in its color sense and fluid handling of paint, made his reputation in the American art world. Comparisons were made to Chase and Sargent. The painting received first prize at the 1901 Carnegie International Exhibition, whose jurors included Thomas Eakins and Winslow Homer. It was an honor that promised a bright future, and Maurer hoped it would convince his demanding and skeptical father that he could, in fact, paint.

     

     

      In a Cafe

     

     

    Other awards received by Maurer included the Inness Jr. Prize of the Salmagundi Club in 1900 and a bronze medal at the Pan-American Exposition at Buffalo, New York in 1901. In 1905, he won the third medal at the Liege (Belgium) Exposition and a gold medal at the International Exposition in Munich. A successful future beckoned.

     

     

    File:Brooklyn Museum - Carrousel - Alfred Henry Maurer - overall.jpg

    Carousel 1902 - Brooklyn

     

     

    Yet, at age thirty-six, in Paris, deviating from what everyone (including himself, at times) called "acceptable" painting styles, Maurer changed his methods sharply and from that point on painted only in a cubist and fauvist manner. His break from realism and new commitment to modernism, fostered by exposure to the art collected by his friends Gertrude and Leo Stein, subsequently cost him his international reputation and any hope of paternal regard. He had a two-man exhibition with John Marin in New York City at Alfred Stieglitz's 291 gallery, and four of his paintings were included in the legendary Armory Show of 1913. He acquired esteem in avant-garde circles. He did not, however, find the popular following he needed to make a living.

     

     

     

    Leaving Paris on the eve of World War I, he returned to his father's house only to be denied support. It was the beginning, as art critic Robert Hughes wrote, of "a banishment to a hell of Oedipal conflict."[4] For the next seventeen, increasingly depressed years, Maurer painted in a garret in his father's house on the West Side of Manhattan and gained only limited critical acclaim.

      

    [Alfred H. Maurer and others in a canoe]  

      

    He was friends with respected avant-garde American artists like Arthur Dove, Marsden Hartley, and John Marin, almost all of whom were better known than he was. He participated in prestigious exhibitions, such as "The Forum Exhibition of Modern American Painters" in 1916, a New York show which featured seventeen of the most significant native modernists of the time.

      

     

    "Eugenia Maurer"

     

    Alfred Henry Maurer - dessin - 1897

      

    He also exhibited regularly at the New York-based Society of Independent Artists and was elected their director in 1919. In 1924, the New York dealer Erhard Weyhe bought the contents of Maurer's studio and represented the artist for the remainder of his career. The death of his mother in 1917, however, intensified his gradual withdrawal from the world.[5]

      

    Alfred Henry Maurer (American painter, 1868-1932) The Black Cape c 1901

      

      

      

    The artist Jerome Myers wrote poignantly of him in his autobiography, Artist In Manhattan:

    Alfred Maurer, whom I knew casually, had a pleasant personality. After his early talent had brought him a prize at the Carnegie Institute, he went to Paris, where he stayed for years ...

      

    Alfred Henry Maurer (American painter, 1868-1932) An Arrangement 1901

    There was no doubt that he was happy in his Parisian atmosphere. Like many other young Americans there, he was attracted by the life of the boulevards, the cares, the daily affinity with brother artists with whom he was then studying the problem of color ... His father, Louis Maurer, was an old-time artist, who had worked on the Currier & Ives lithographs.

      

     

     

    [Alfred Henry Maurer]

     

      

      

    When I met him at an exhibition of the Independents at the Grand Central Palace, he was a quiet-mannered man, whom I took to be about seventy-five years old. Later I learned that he was then already ninety-five ... Speaking of his son, Alfred, he evidently could not sympathize with—or, as he said, understand—the ultra-violets and ultra-blues of that phase of Alfred's work. He seemed so proud of what his son had done, but so grieved at what he was then doing.

     

    IMG 4287 Jeanne alfred henry maurer

    Jeanne 1904

     

     

    For some reason, Alfred was subsequently forced to return to New York, leaving behind in Paris his beloved boulevards and the friends of his heart. The idea and the style of his work seemed to change; he turned to the painting of elongated women, after the pattern of Modigliani.

      

      

    Then Louis Maurer, seemingly outraged by his son's work, did an extraordinary thing. He gave an exhibition of his own paintings at the age of one hundred years, a record for all time. Between this unique rejuvenescence of his remarkable father, with the implied reproof against his own art, and the suffering due to ill health, the pit yawned and the unhappy Alfred Maurer left the scene of his sorrows a suicide, his gallant heart broken.

     

    1904

      

    About his approach to painting after abandoning realism, Maurer commented, "My main concern in painting is the beautiful arrangement of color values -- that is, harmonized masses of pigment, more or less pure. For this reason, it is impossible to present an exact transcription of nature....It is necessary for art to differ from nature....Perhaps art should be an intensification of nature; at least it should express an inherent feeling which cannot be obtained from nature except through a process of association....The artist must be free to paint his effects. Nature must not bind him.

     

     

    As the art historian Sheldon Reich observed, had Maurer been a European or remained in Europe in 1914, he would probably be discussed today in the same terms applied to Vlaminck or Derain.

     

    Lady with Muff 1904

      

    Instead, he became a citizen of a country with very limited interest in bold artistic experimentation and took his place as part of that "tragic fraternity of artists who during their lifetimes have suffered the tortures of neglect."

      

    Girl in White 1901

      

    He enjoys a marginal status in most American art history textbooks. It is also extremely difficult to encounter Maurer’s paintings in public collections as most of his work is still privately owned.

    Maurer took his own life by hanging several weeks after his father's death.  Alfred Stiegltiz wanted to arrange a posthumous exhibition of his work at his gallery, An American Place, but was unable to do so.  Five years after Maurer's death, the art critic Henry McBride, reviewing a show of his work at the Hudson Walker Gallery in New York, wrote: "He lived exclusively for his art and in sharp contrast to most painters of today who never lift a paint brush to canvas without thought of the box office results....he had the courage of his principles."

     

     

    Maurer's works are included today in the collection of the Carnegie Museum of Art, the Chicago Art Institute, the Whitney Museum of American Art, the Metropolitan Museum of Art, the Brooklyn Museum, the National Museum of American Art of the Smithsonian Institution, the Reynolda House Museum in North Carolina, Memorial Hall Museum in Philadelphia, PA, the Phillips Memorial Gallery, and the Barnes Collection, among others.

     

     

     

     

     

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    Charles Courtney Curran (né en 1861 à Hartford dans le Kentucky, mort en 1942

    à New York) est un peintre américain.

     

    Charles Courtney Curran (1861-1942) On the Cliff 1910

     

     

    Charles Courtney Curran (1861-1942)

      

     

     

     

    En 1881, à l'âge de 20 ans, Charles Courtney Curran quitte son Kentucky natal et s'installe à Sandusky, dans l'Ohio. Il étudie durant une année à la Cincinnati School of Design, puis il part à New York.

      

      

      

    File:Fair Critics (detail).JPG

     

     

     

     

     Afin de parfaire sa formation, il vient étudier à Paris où, de 1888 à 1902, il est l'élève, à l'Académie Julian, de Jean-Joseph Benjamin-Constant, Jules Joseph Lefebvre et Henri-Lucien Doucet.

     

     

     slideshow

      

      

    À New York, Curran devient lui aussi un enseignant au Pratt Institute, à la Cooper Union et à la National Academy of Design. 

     

     

    Biography 

     

    Early American Impressionist Charles Courtney Curran was memorable both for his elegant interior and exterior portraits of women and children, as well as for his leadership role at the Cragsmoor Art Colony.

      

      

    Often compared to fellow American Impressionists Mary Cassatt, Frank Benson, and Edmund Charles Tarbell, Curran’s iconic paintings featuring graceful young women in flowing dresses set against the vast expanse of nature captivated art critics and the public, as well as his contemporaries.

      

      

      

      

    Curran’s impressionistic techniques utilizing loose brushstrokes and a vivid palette combined with his nostalgic subject matter encapsulate the leisurely summer beauty of Cragsmoor.

     

     

     

     

     



     

    Charles Courtney Curran was born in 1861 in Hartford, Kentucky and raised in Sandusky, Ohio. He studied under Thomas B.

      

      

      

      

    Noble at the Cincinnati School of Design for a year before moving to New York City in 1882 where he first attended the National Academy of Design and later studied at the Art Student’s League under Walter Satterlee.

      

      

     

      

    At the age of 23, he made his public debut at the Academy of Design, a venue that showcased his work for the remainder of his career.

      

      

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    In 1887, Curran’s paintings also began exhibiting at the Pennsylvania Academy where he continued to show his work for nearly three decades.

      

      

      

    He left for Paris in 1889 where he studied under Jules Lefebvre at the Académie Julian for two years.

     

      

      

      

    Upon his return to the United States, the artist settled in New York and began teaching at the Pratt Institute and Art Students League.

     

     

     



    In 1903, fellow artist and friend Frederick Dellenbaugh invited Curran to visit Cragsmoor.

      

      

    A bourgeoning summer art center started by Edward Lamson Henry, Cragsmoor was located along a plateau in the Shawangunk Mountains of the Hudson River Valley.

      

      

      

      

    Captivated by the landscape and creative atmosphere and Curran set up a summer home and studio.

     

      

      

      

    He soon established himself as a central figure of the art colony, painting, teaching, and with the help of his wife, editing the student art publication Palette and Brush during his summers in Cragsmoor.

     

      

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    While he is best known for his sweeping landscapes featuring young women and children, Curran also painted many portraits and created a series of works featuring the Imperial Temples of Peking.

     

     



    For nearly thirty years, until his death in 1942, Curran split his time between Cragsmoor and New York City. He continued to paint and maintained teaching positions at Pratt Institute, Cooper Union, and the National Academy.

      

      

      

    In addition to his role as a leader of the Cragsmoor Art Colony, Curran remained an active member of the American Water Color Society, Society of American Artists, and the National Arts Club.

     

    Written and compiled by Lauren A. Zelaya

     

      

    sources

    http://www.caldwellgallery.com/bios/curran_biography.html

     

     

     

     Charles Courtney Curran (1861-1942) Sunlit Valley 1920

     

     

     

     File:Charles Courtney Curran - Nénuphars.jpg

     

     

    Charles Courtney Curran Lady with a Bouquet ( S

     

    Charles Courtney Curran Lady with a Bouquet

     

    http://forum.artinvestment.ru/blog.php?b=227441

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Lucas_John_Seymour_The_Interval

    JOHN SEYMOUR LUCAS

     

     

     

    John Seymour Lucas (21 December 1849 – 8 May 1923) was a Victorian English historical and portrait painter as well as an accomplished theatrical costume designer. He was born into an artistic London family, (he was the nephew of the painter John Lucas) and originally trained as a woodcarver, but turned his attention to portrait painting and entered first the St. Martin's Lane Art School and later the Royal Academy Schools.

      

      

      

    Here he met his French wife, fellow artist Marie Cornelissen, whom he married in 1877.

      

    Lucas’ artistic education included extensive travels around Europe, particularly Holland and Spain, where he studied the Flemish and Spanish Masters.

      

    He first started exhibiting in 1872, was elected an associate member of the Royal Academy in 1876 and a full Royal Academician in 1898.

     

     

     

     

    John Seymour Lucas was first and foremost a historical genre painter with a particular talent for realism in the depiction of costumes and interiors. Inspired by van Dyck and particularly Diego Velázquez, he excelled in depicting scenes from the English 16th- to 18th-century Tudor and Stuart periods, including in particular the Spanish Armada, the English Civil War and the Jacobite rebellions.

     

     

    File:John Seymour Lucas 14 December 1899.JPG

    John Seymour Lucas 14 December 1899.

     

      

    His first major work to achieve widespread public acclaim was Rebel Hunting after Culloden, executed in 1884. It was praised not only for the obvious tension between the muscular blacksmiths and the red-coated forces of law and order (or repression) but for the extraordinary realism in the depiction of the rough smithy and glowing horseshoe on the anvil.

     

      

      

    As his reputation grew, Lucas increasingly mixed in society circles, and became firm friends with the famous society portrait painter John Singer Sargent who was his almost exact contemporary. A portrait of Lucas executed by John Singer Sargent is displayed in Tate Britain.

      

    Towards the 1890s John Seymour Lucas executed a number of major works for prestigious public buildings or royal clients.

      

      

      

    These include: The Flight of the Five Members (Houses of Parliament), The Granting of the Charter of the City of London (Royal Exchange), Reception by HM King Edward VII of the Moorish Ambassador (Royal Collection), HRH the Prince of Wales in German Uniform (Royal Collection)

     

     

    Apart from executing over 100 major oil paintings and a host of drawings, Lucas was renowned as a set and costume designer for the historical dramas popular on the late Victorian and early Edwardian stages.

    One of his more unusual commissions was the "Duke of Normandy" costume for the ill-fated prince Alfred of Saxe Coburg-Gotha for the Devonshire House Ball in 1897. Lucas was also a prolific watercolour painter and was elected a member of the Institute of Painters in Water Colours in 1877.

      

      

    During most of his artistic career, John Seymour Lucas lived in a purpose-built studio in South Hampstead, London, designed for him by his friend and fellow artist, architect Sydney Williams-Lee.

     

     

     

    He retired from painting towards the end of World War I, and moved to Blythburgh, Suffolk, where re-designed a house next to the church known as "The Priory". Lucas died in 1923 and is interred in Blythburgh church yard. His son, Sydney Seymour Lucas, was also an artist, and illustrator.

     

     

     

     

     

    http://rceliamendonca.wordpress.com/category/pintores/ 

     

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    2-victor-gabriel-gilbert-gardening

    VICTOR GABRIEL GILBERT

     

     

     

     

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    Rosamund Smith Bouve

    (American artist, 1876-1949) In the Shade 1912

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Ignacio Díaz Olano

    Ignacio Díaz Olano

     

     

     

     

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    Emile Munier - A Girl Playing with a Kitten

     

     

     

     

    Munier_Emile_Amies_1881

    ÉMILE MUNIER     

     

    Emile Munier est né en 1840 et mourut en 1895 et est devenu mondialement connu pour ses portraits, des représentations d'enfants et la vie telle qu'elle était au 19e siècle en France.

    Emile Munier est né à Paris le 2 Juin, 1840 et vivait avec sa famille au

    66, rue des Fossés, Saint-Marcel.

      


    Le père de Munier, Pierre François Munier, a été un tapissier artiste à la Nationale des Gobelins Fabrication et sa mère, Marie-Louise Carpentier, a été un polissoir dans une manufacture de draps de cachemire.

     



    Emile Munier et son frère François âgés ont reçu leur scolarisation précoce à l'école communale. Au moment où son jeune frère, Florimond, est né, la famille de la situation s'était améliorée et Florimond a été autorisé à s'inscrire dans un pensionnat. Tous les frères Munier trois étaient doués dans l'art du dessin et chacun avait produit un auto-portrait pastel entre les âges de 13 et 14 - Emile est datée 1854.

      



    Les trois enfants Munier entrée des Gobelins, mais François était le seul qui est resté et lui, comme son père, finit par atteindre le poste de chef-contremaître. Emile Munier assisté à des cours de dessin, la peinture, l'anatomie, la perspective et la chimie, en ce qui concerne de teinture de la laine afin de devenir un tapissier artiste.

      

      

    L'artiste, Abel Lucas, a supervisé le cours de dessin, M. Chabale enseigné les fleurs et les ornements de classes, la chimie a été enseignée par M. Chevreuil et M. Decaux a été l'ingénieur des Arts et Manufactures .

      

    dawny portret XIX wiek, blog historia

    Emile Munier développé une relation étroite avec son professeur (Abel Lucas) et sa famille. Le 10 août 1861, Emile Munier épousé Henriette Lucas, fille de Abel, dans la chapelle des Gobelins. Munier, puis un tapissier artiste à la Manufacture Nationale des Gobelins, a continué à dessiner et à peindre à côté de son beau-père de la loi. Munier a étudié la peinture, dans la tradition académique, principalement par l'interprétation d'œuvres de Boucher.

      

    dawny portret XIX wiek, blog historia



    Durant les années 1860, Emile Munier a reçu trois médailles aux Beaux-Arts et en 1869 il expose au Salon.  Munier est devenu un grand partisan des idéaux académiques et un disciple de Bouguereau, dont l'objet serait une grande source d'inspiration pour les jeunes Munier.

      

    dawny portret XIX wiek, blog historia

      


    En 1867, Henriette a donné naissance à un fils, Emile Henri.  Six semaines après la naissance, ayant contracté des rhumatismes sévères, Henriette mourut prématurément. En 1871, Munier a abandonné sa carrière en tant que tapissier et consacre son temps exclusivement à la peinture; Munier a également commencé à donner des cours aux adultes trois soirs par semaine.

    dawny portret XIX wiek, blog historia

      


    Sargine Augrand, un étudiant d'Abel Lucas et un ami proche de Emile & Henriette (avant sa mort), a pris l'œil Emile. Sargine a enseigné le dessin et avait acquis une certaine réputation en tant que portraitiste pastel - exposer au Salon de 1863 à 1870. Le jeune couple a décidé de se marier et le mariage a eu lieu à Paris le 4 Janvier 1872. Le couple a vécu au 8 rue des Beaux-Arts, dans un petit appartement et un studio, où Corot et Fantin-Latour eut aussi des studios.

      

      

    dawny portret XIX wiek, blog historia

      

    Emile Munier fréquenta l'atelier de William Bouguereau, à qui il était très aimé et apprécié. Le capitaine avait même surnommé la sagesse (la sagesse) ou Le Sage Munier (Munier le sage). En 1873, Emile peint Le Voleur de pommes et de La Leçon de Tricot. En 1874 Sargine Munier a donné naissance à une fille: Marie-Louise.

      

    blog historia, dawny portret XIX wiek

     


    À partir de 1876, le Muniers passé leurs vacances d'été sur la mer en Normandie coût. Là, Emile produit de nombreux dessins ainsi que quelques aquarelles représentant des scènes de bateaux et de pêcheurs. Avant de rejoindre sa famille pour leurs vacances d'été en 1879, il voyage dans les Ardennes pour peindre un portrait commandé de madame de Chanzy.

      



    En 1883, le Muniers visité le lac du Bourget (le lac du Bourget) où Emile certainement peint La jeune fille au Lac et La petite fille aux oranges. Durant leur séjour à Aix, Emile souvent assisté à l'opéra italien et après son retour à Paris, il poursuit ses intérêt accentué pour la musique et le chant.

    Emile, qui avait déjà peint une Vierge couronnée d'un halo en 1883, a produit un enfant Jésus qui est devenu l'objet d'une religieuse populaire image même que demeure un classique du 1er images communion jusqu'au milieu du 20e siècle.

      



    Munier développé un talent exceptionnel pour décrire la durée de vie courte expressions et les mouvements de ses sujets. Munier se sont intéressés à des scènes d'enfants dans les situations de pays et à partir de 1886, il reviendrait à l'Auvergne, sur une base régulière, la production de nombreuses esquisses de jeunes paysans parmi les animaux de la ferme.

    En 1886, Munier suis retourné à l'objet de chérubins, dont il avait déjà travaillé avec trois ans plus tôt dans cupidons Les Deux (1883). Munier peinture L'amour désarmé (Love désarmé), présenté au Salon en 1886, affiche encore une fois l'influence de Bouguereau sur Munier et un certain nombre de collectionneurs américains avaient effectivement attribué cette peinture à Bouguereau.

      



    Parmi ses nombreuses mécènes américains ont été, M. et Mme H. Chapman Hyams. Ils ont été d'importants collectionneurs de peintures contemporaines française pendant le 19ème siècle et les artistes favorisées comme Henner, Bouguereau, Gérôme, Vinel et Schreye. Munier peint son portrait en 1889, et ce, avec une grande partie de leur collection, est maintenant dans le Orléans nouveau musée d'art.

    Au Salon de 1890, Emile Munier exposées Rêve d'enfant: une petite fille dans son lit, entouré de deux anges allégoriques. L'artiste en a plusieurs tableaux retrouver la jeune fille face à l', les yeux pleins d'émotion. Tout au long de l'année de 1892, Emile Munier peint et religieuses peintures mythologiques: Amours plusieurs, une déesse avec un bras levé, une vierge Marie priant ainsi que la fameuse mère et l'enfant. Munier continué à enseigner la peinture à Paris et assister à l'Atelier de peinture de l'Ecole Polytechnique de 1892 à 1893.

    'Girl with a Basket' Emile Munier 1875 {{PD-Art}}



    Au cours de l'année 1894, Emile Munier a produit un certain nombre de tableaux dans son style bien affirmé, y compris l'un des deux amours intitulé Un Sauvetage. Munier a aussi peint un travail très inhabituelle Premier Prix, dans lequel un chien est parmi les fleurs à une exposition canine et au cours de son séjour au Mont Dore, il a produit un certain nombre de peintures à l'aquarelle qui a exploré les paysages environnants et jardins en Auvergne.

    Emile Munier est décédé le samedi 29 Juin 1895 à 9 h et a été enterré au cimetière du Mont-parnasse.

     

     

    Texte écrit en 1995 par Eric Divry, arrière arrière petit fils de l'artiste, à l'occasion du centenaire de la mort d'Emile Munier

    Lien et texte

     

    Emile Munier voit le jour le 2 juin 1840 à Paris, 66 rue des Fossés St Marcel. Il est baptisé en l'église de St Médard.

     

    Son père, Pierre François Munier est artiste tapissier à la Manufacture Nationale des Gobelins.

     

    Sa mère, Marie Louise Carpentier, originaire de Liéramont, près de Péronne, est liseuse dans un tissage de cachemires.

     

    Comme toutes les familles d'artistes tapissiers, les Munier sont logés à la Manufacture.

      

    suite... cliquere sur le lien

     

    http://munier.chez.com/sa_vie.htm

     

     

     

     

     

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    LouisAdolpheTessier_pierrot_entertaining_in_the_garden

    LOUIS ADOLPHE TESSIER

     

     

    Louis Adolphe Tessier (1858-1915) est un peintre français. 

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Jeune pécheur dans un port de Dionisio BAIXERAS-VERDAGUER (1862-1943)

     

     

      

      

     

    Dionisio Baixeras - Felicidad

     

    DIONISIO BAIXERAS

     

     

     

     

     

      

     

     

     

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    Edward August BELL

     

     

     

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Carl Timoleon von Neff

    (Estonian artist, 1804–1877, Portrait of a Young Lady

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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     Joseph  R. DE CAMP 

    American painter born 1858- died 1923

    Joseph DeCamp né le 5 novembre 1858 à Cincinnati, mort le 11 février 1923 est un peintre impressionniste américain. Il était membre des Ten American Painters. Wikipédia 

     Date de décès : 11 février 1923
     Périodes : Impressionnisme américain, Ten American Painters
     
     

     
     
    Also known as:
    Joseph R. DeCamp, Joseph Rodefer De Camp
     
     
     
     
     
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Steve Hanks_Summer_RainHanks_Steve_Shelter_For_The_Heart

    STEVE HANKS

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    Sightly Panty Lines!

     
     Artwork, scans copyright © 2010 John Kacere and respected galleries mentioned.

    John Kacere is one of my favorite Hyperrealists. His worx are often considered sexist by feminists but to me they are compelling and provocative. It's what men's dreams are made of and Kacere idealizes women to a perfection. He is pretty anal (pardon the pun) about detail.

    Check him out throughout the web but you can start at these linx:
    rogallery.com
    artnet.com
    harukaze.net
    amorosart.com
    meiselgallery.com
    picassomio.com

     
     
     
     
     
     
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     120e anniversaire de la naissance de Raymond Loewy, « père du design industriel »

     

    Peu connu en France, Raymond Loewy aurait fêté son 120e anniversaire aujourd’hui. Né le 5 novembre 1893 à Paris et mort le 14 juillet 1986 à Monaco, ce designer français, naturalisé aux Etats-Unis (où il a passé la plupart de sa carrière) est aujourd’hui considéré par beaucoup comme « le père du design industriel ».

     

     

     

    Les logos Shell, BP, New Man, Spar, la bouteille de Coca-Cola, le bus Greyhound, le paquet de cigarette Lucky Strike ne sont que des exemples parmi tant d’autres de produits qui ont fait de lui l’un des designers les plus influents du XXe siècle.

     

    Reconnu internationalement, il fait la une des magazines Time en 1949 et Spiegel en 1953.

     

     

     

    Lucky Strike cigarettes

     

     

    Vétéran décoré de la Première Guerre mondiale, Raymond Loewy accompagne de son trait de crayon le XXe siècle et ses innovations techniques.

      

    Raymond Loewy: Google ehrt den Erfinder der Stromlinienführung mit Doodle

      

    Il travaille sur de nombreuses voitures comme la Studebaker Avanti, Champion et Starliner, des locomotives, comme la S-1.

     

    Greyhound Scenicruiser

     

    Il participe aussi à une grande aventure du siècle, la conquête spatiale, collaborant avec la NASA pour dessiner l’intérieur des fusées Saturn I, Saturn V et Skylab.

     

     

     

    D’après France Culture, il fut le « designer de l’ « american way of life » à partir des années 40 », et « se plaisait à dire qu’il était impossible pour un Américain de n’être pas en contact avec l’une ou l’autre de ses créations au moins une fois par jour ».

     

     

     

     

    Raymond Loewy: Das Leben des Designers

    Anlässlich des 120. Geburtstages von Raymond Loewy (5. November 1893 bis 14. Juli 1986) hat Google am heutigen Tag auf seiner Startseite eine Konzeptzeichnung ganz im Stile von Loewys revolutionärem Stromlinienverlauf zur Schau gestellt.

    Dabei ist einer der bedeutendsten Industriedesigner bei den meisten Deutschen eher unbekannt. Der Erfinder schnittiger Logos wie etwa SPARs, Lucky Strike, der Coca Cola-Flasche und der Shell-Muschel wurde 1893 in Paris als Kind eines Wiener Journalisten geboren. In Paris studierte der junge Loewy, ehe er sich für die Industrie und vor allem dessen Design verschrieb.

     

     

    Gezwungen, Europa nach dem Ersten Weltkrieg zu verlassen, setzte er seine kreative Arbeit bei den Zeitschriften Vogue und Harper’s Bazar als Illustrator fort.

     

    loewyloewy_autobiografie never leave well enough alone

     

    Während er in seiner Autobiografie “Never leave well enough alone” sein Leben als Automobildesigner erzählt, strebte Loewy in allen Bereichen stets Perfektion an. So stammt zum Beispiel der Greyhound-Bus Scenicruiser aus der Feder Loewys.

     

    “Hässlichkeit verkauft sich schlecht”

    Mit dem Prinzip MAYA, Most Advanced, Yet Acceptable wusste der Designer seine Arbeiten sowohl mit Funktion, aber auch formschönem Design zu versehen. So gilt Raymond Loewy unter anderem auch als Erfinder der Stromlinienführung.

     

    Sears-Roebuck Coldspot Refrigerator

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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